Confrontées à un grave problème de liquidités et de financement pour faire fonctionner leur appareil productif, les entreprises algériennes doivent augmenter leur niveau de productivité et faire face à la rude et impitoyable concurrence, ainsi qu'à la dure et féroce compétitivité des sociétés étrangères. En effet, à l'orée de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et en vertu de l'accord d'association avec l'Union européenne, nos entreprises risquent carrément de disparaître, selon certains chefs d'entreprises, et ce, même avec une mise à niveau des PME nécessitant plus 40 millions d'euros dans le cadre de l'aide financière octroyée dans le programme Meda II. Les opérateurs économiques, notamment ceux du secteur privé, craignent beaucoup les effets pervers de la crise économique et financière internationale, surtout après la flambée des prix des matières premières sur le marché international, qui se répercute sur le budget et les dépenses et les frais de fonctionnement. Sachant que les institutions financières et banques publiques ont également d'énormes difficultés en matière de liquidités, les PME algériennes n'arrivent pas à trouver des sources de financement pour finaliser certains projets de développement. Pour permettre aux entreprises algériennes de maximiser leur niveau de productivité et pouvoir continuer à exister dans un environnement économique et financier contraignant, il faut, selon le Dr Abdelhak Lamiri, Phd (USA) et directeur de l'INSIM, «élever le niveau de gestion des entreprises à travers notamment la modernisation de leur système de management. Il devient impérieux de développer les capacités managériales et de marketing de nos entreprises, notamment par la formation continue des cadres gestionnaires et des ressources humaines». Cet économiste estime qu'il faut utiliser rationnellement et scientifiquement les ressources financières de l'Etat pour assurer un développement harmonieux et durable, car les ressources sont épuisables. Il considère que les investissements productifs sont en mesure de créer des richesses et résister, par conséquent, aux aléas et aux effets pervers de la crise internationale. Cette situation de crise de liquidités hypothèque non seulement l'évolution de l'économie du pays, mais menace aussi sérieusement les ménages et l'économie réelle, selon le président de l'Ordre des experts comptables et commissaires aux comptes, M. Hamdi. A. A. Confrontées à un grave problème de liquidités et de financement pour faire fonctionner leur appareil productif, les entreprises algériennes doivent augmenter leur niveau de productivité et faire face à la rude et impitoyable concurrence, ainsi qu'à la dure et féroce compétitivité des sociétés étrangères. En effet, à l'orée de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) et en vertu de l'accord d'association avec l'Union européenne, nos entreprises risquent carrément de disparaître, selon certains chefs d'entreprises, et ce, même avec une mise à niveau des PME nécessitant plus 40 millions d'euros dans le cadre de l'aide financière octroyée dans le programme Meda II. Les opérateurs économiques, notamment ceux du secteur privé, craignent beaucoup les effets pervers de la crise économique et financière internationale, surtout après la flambée des prix des matières premières sur le marché international, qui se répercute sur le budget et les dépenses et les frais de fonctionnement. Sachant que les institutions financières et banques publiques ont également d'énormes difficultés en matière de liquidités, les PME algériennes n'arrivent pas à trouver des sources de financement pour finaliser certains projets de développement. Pour permettre aux entreprises algériennes de maximiser leur niveau de productivité et pouvoir continuer à exister dans un environnement économique et financier contraignant, il faut, selon le Dr Abdelhak Lamiri, Phd (USA) et directeur de l'INSIM, «élever le niveau de gestion des entreprises à travers notamment la modernisation de leur système de management. Il devient impérieux de développer les capacités managériales et de marketing de nos entreprises, notamment par la formation continue des cadres gestionnaires et des ressources humaines». Cet économiste estime qu'il faut utiliser rationnellement et scientifiquement les ressources financières de l'Etat pour assurer un développement harmonieux et durable, car les ressources sont épuisables. Il considère que les investissements productifs sont en mesure de créer des richesses et résister, par conséquent, aux aléas et aux effets pervers de la crise internationale. Cette situation de crise de liquidités hypothèque non seulement l'évolution de l'économie du pays, mais menace aussi sérieusement les ménages et l'économie réelle, selon le président de l'Ordre des experts comptables et commissaires aux comptes, M. Hamdi. A. A.