Cinq pays, dont l'Algérie, ne sont pas concernés par les compressions de personnel envisagées par le groupe sidérurgique Arcelor-Mittal, a indiqué hier le secrétaire général du syndicat de cette entreprise au complexe d'El Hadjar (Annaba). Cinq pays, dont l'Algérie, ne sont pas concernés par les compressions de personnel envisagées par le groupe sidérurgique Arcelor-Mittal, a indiqué hier le secrétaire général du syndicat de cette entreprise au complexe d'El Hadjar (Annaba). Voila une nouvelle qui va apporter de la sérénité, après tant d'inquiétudes, aux travailleurs du Complexe sidérurgique d'El Hadjar, à Annaba. Et pour cause, cinq pays, dont l'Algérie, ne sont pas concernés par les compressions de personnel envisagées par le groupe sidérurgique Arcelor-Mittal, a indiqué hier le secrétaire général du syndicat de cette entreprise au complexe d'El Hadjar (Annaba). Cette déclaration de M. Smaïl Kouadria, faite au sortir d'une réunion avec le Président-directeur général du complexe Arcelor-Mittal, fait suite à l'annonce par le syndicat du personnel de l'entreprise d'une grève dans ce complexe en cas de licenciements. Des licenciements qui paraissaient inévitables dans cette conjoncture morose où le leader mondial de la sidérurgie se retrouve impuissant face à la chute de ses ventes causant ainsi un ralentissement sans précédent de son activité. Pour rappel, Arecelor Mittal a annoncé le 30 octobre qu'il arrêtait pour au moins deux trimestres des hauts-fourneaux sur "une douzaine" de ses sites européens, dont trois en France pour faire face à une nette baisse des commandes des constructeurs automobiles. Mais en Algérie, la direction et les employés de l'usine d'Arcelor Mittal installée à Annaba ont pu parvenir, au début de ce mois, à un accord pour éviter tout licenciement sur ce site du numéro un mondial de l'acier. Cet accord prévoit une «rationalisation des dépenses» qui devrait éviter à la société de licencier du personnel sur ce site alors que la crise économique mondiale a entraîné une baisse de la demande internationale. Il prévoit également la sauvegarde des acquis sociaux pour les quelque 8.000 employés de l'entreprise qui produisait 1,3 million de tonnes au début de l'année, mais le nombre de sous-traitants locaux sera revu à la baisse. Des sources bien informées avaient révélé aussi que cette rationalisation des dépenses vise principalement les charges liées à la maintenance industrielle, à la prestation de services, aux frais de missions à l'étranger et aux heures supplémentaires. Aujourd'hui, après tous les troubles qui ont marqué ces derniers jours le quotidien des ouvriers du plus important complexe industriel de l'Algérie, tout le monde peut pousser un soupir de soulagement. A ce propos, le secrétaire général du syndicat a également indiqué que trois assemblées générales sont prévues "pour sensibiliser les travailleurs et les informer que les licenciements ne toucheront pas le complexe de Annaba". Selon la même source, une première assemblée générale est prévue dès aujourd'hui avec les travailleurs du complexe d'El Hadjar. S. A. Voila une nouvelle qui va apporter de la sérénité, après tant d'inquiétudes, aux travailleurs du Complexe sidérurgique d'El Hadjar, à Annaba. Et pour cause, cinq pays, dont l'Algérie, ne sont pas concernés par les compressions de personnel envisagées par le groupe sidérurgique Arcelor-Mittal, a indiqué hier le secrétaire général du syndicat de cette entreprise au complexe d'El Hadjar (Annaba). Cette déclaration de M. Smaïl Kouadria, faite au sortir d'une réunion avec le Président-directeur général du complexe Arcelor-Mittal, fait suite à l'annonce par le syndicat du personnel de l'entreprise d'une grève dans ce complexe en cas de licenciements. Des licenciements qui paraissaient inévitables dans cette conjoncture morose où le leader mondial de la sidérurgie se retrouve impuissant face à la chute de ses ventes causant ainsi un ralentissement sans précédent de son activité. Pour rappel, Arecelor Mittal a annoncé le 30 octobre qu'il arrêtait pour au moins deux trimestres des hauts-fourneaux sur "une douzaine" de ses sites européens, dont trois en France pour faire face à une nette baisse des commandes des constructeurs automobiles. Mais en Algérie, la direction et les employés de l'usine d'Arcelor Mittal installée à Annaba ont pu parvenir, au début de ce mois, à un accord pour éviter tout licenciement sur ce site du numéro un mondial de l'acier. Cet accord prévoit une «rationalisation des dépenses» qui devrait éviter à la société de licencier du personnel sur ce site alors que la crise économique mondiale a entraîné une baisse de la demande internationale. Il prévoit également la sauvegarde des acquis sociaux pour les quelque 8.000 employés de l'entreprise qui produisait 1,3 million de tonnes au début de l'année, mais le nombre de sous-traitants locaux sera revu à la baisse. Des sources bien informées avaient révélé aussi que cette rationalisation des dépenses vise principalement les charges liées à la maintenance industrielle, à la prestation de services, aux frais de missions à l'étranger et aux heures supplémentaires. Aujourd'hui, après tous les troubles qui ont marqué ces derniers jours le quotidien des ouvriers du plus important complexe industriel de l'Algérie, tout le monde peut pousser un soupir de soulagement. A ce propos, le secrétaire général du syndicat a également indiqué que trois assemblées générales sont prévues "pour sensibiliser les travailleurs et les informer que les licenciements ne toucheront pas le complexe de Annaba". Selon la même source, une première assemblée générale est prévue dès aujourd'hui avec les travailleurs du complexe d'El Hadjar. S. A.