Le Conseil de sécurité de l'ONU a une nouvelle fois réitéré mardi sa volonté de lutter par tous les moyens contre les menaces à la paix et à la sécurité internationales résultant d'actes de terrorisme. A l'issue d'un débat d'une journée sur ce thème organisé par la Croatie, qui assume ce mois-ci sa présidence, le Conseil a adopté à l'unanimité une déclaration dans laquelle il réaffirme que «le terrorisme, sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations, constitue une des menaces les plus graves contre la paix et la sécurité internationales». «Tout acte de terrorisme est injustifiable, quels qu'en soient les motifs, le lieu, le moment et l'auteur», ajoute cette déclaration non contraignante, qui a été lue par le président croate, Stipe Mesic. Le Conseil réaffirme «sa volonté de lutter par tous les moyens, dans le respect de la Charte des Nations unies, contre les menaces à la paix et à la sécurité internationales résultant d'actes de terrorisme». Le Conseil réaffirme notamment que «les Etats doivent renforcer leur coopération afin de découvrir, priver de refuge et traduire en justice (...) quiconque prête appui au financement, à l'organisation, à la préparation ou à la commission d'actes de terrorisme (...) ou donne refuge à leurs auteurs». En ouvrant le débat, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a qualifié le terrorisme de «fléau mondial». «Le carnage qu'il cause est horrible et moralement répréhensible», a-t-il ajouté, notant que «les affreux attentats de Bombay il y a deux semaines ne sont que le dernier cas où des individus insensés et à l'esprit dévoyé se comportent comme des déments». Ces attaques coordonnées à Bombay (Inde) ont duré près de trois jours fin novembre et fait 172 morts, dont neuf assaillants. Elles ont fait monter la tension entre l'Inde et le Pakistan voisin, New Delhi affirmant qu'elles ont été organisées et menées par le groupe islamiste pakistanais interdit Lashkar-e-Taïba. Lors du débat à l'ONU, le secrétaire d'Etat indien aux Affaires extérieures, E. Ahamed, a exigé que «tous ceux qui ont trempé d'une manière ou d'une autre dans les attentats terroristes de Bombay, où qu'ils se trouvent, soient traduits en justice». Le thème du terrorisme comme menace à la paix revient régulièrement à l'ordre du jour du Conseil, bien que les 192 Etats membres de l'ONU n'aient jamais pu se mettre d'accord sur une définition précise du terrorisme. Le Conseil de sécurité de l'ONU a une nouvelle fois réitéré mardi sa volonté de lutter par tous les moyens contre les menaces à la paix et à la sécurité internationales résultant d'actes de terrorisme. A l'issue d'un débat d'une journée sur ce thème organisé par la Croatie, qui assume ce mois-ci sa présidence, le Conseil a adopté à l'unanimité une déclaration dans laquelle il réaffirme que «le terrorisme, sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations, constitue une des menaces les plus graves contre la paix et la sécurité internationales». «Tout acte de terrorisme est injustifiable, quels qu'en soient les motifs, le lieu, le moment et l'auteur», ajoute cette déclaration non contraignante, qui a été lue par le président croate, Stipe Mesic. Le Conseil réaffirme «sa volonté de lutter par tous les moyens, dans le respect de la Charte des Nations unies, contre les menaces à la paix et à la sécurité internationales résultant d'actes de terrorisme». Le Conseil réaffirme notamment que «les Etats doivent renforcer leur coopération afin de découvrir, priver de refuge et traduire en justice (...) quiconque prête appui au financement, à l'organisation, à la préparation ou à la commission d'actes de terrorisme (...) ou donne refuge à leurs auteurs». En ouvrant le débat, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a qualifié le terrorisme de «fléau mondial». «Le carnage qu'il cause est horrible et moralement répréhensible», a-t-il ajouté, notant que «les affreux attentats de Bombay il y a deux semaines ne sont que le dernier cas où des individus insensés et à l'esprit dévoyé se comportent comme des déments». Ces attaques coordonnées à Bombay (Inde) ont duré près de trois jours fin novembre et fait 172 morts, dont neuf assaillants. Elles ont fait monter la tension entre l'Inde et le Pakistan voisin, New Delhi affirmant qu'elles ont été organisées et menées par le groupe islamiste pakistanais interdit Lashkar-e-Taïba. Lors du débat à l'ONU, le secrétaire d'Etat indien aux Affaires extérieures, E. Ahamed, a exigé que «tous ceux qui ont trempé d'une manière ou d'une autre dans les attentats terroristes de Bombay, où qu'ils se trouvent, soient traduits en justice». Le thème du terrorisme comme menace à la paix revient régulièrement à l'ordre du jour du Conseil, bien que les 192 Etats membres de l'ONU n'aient jamais pu se mettre d'accord sur une définition précise du terrorisme.