Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN a indiqué hier que l'ex-président de la République, Liamine Zeroual, « a le droit de se présenter comme candidat aux prochaines élections présidentielles ». Abdelaziz Belkhadem, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion au sommet des trois partis de l'Alliance présidentielle au siège du FLN, a affirmé que l'ex- président de la République, autant que n'importe quel citoyen, a entièrement le droit d'être candidat, ce d'autant qu'il assumé par le passé la plus haute charge de l'Etat. Le nom de Liamine Zeroual comme potentiel candidat a, il est vrai, fortement circulé ces derniers jours. Le conférencier a annoncé aussi que les prochaines élections présidentielles se tiendront probablement le 2 ou le 9 avril prochain. Avant Belkhadem, il y'a juste quelques jours, le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, a avancé les mêmes dates en y ajoutant celle du 26 mars. Belkhadem, voulant sans doute faire preuve de sérénité, a soutenu que les trois partis, « ne craignent pas l'abstention lors de cette élection ». Dans la déclaration commune ayant sanctionné le sommet d'hier, exclusivement consacré à l'agression israélienne contre la bande de Ghaza, les partis de l'Alliance présidentielle n'ont soufflé mot sur les prochaines élections présidentielles. Pourtant cette question a été largement abordée par les trois leaders lors de leur rencontre hier au siège du FLN, parti qui préside, depuis le 30 novembre dernier, aux destinées de ce groupe politique. Selon des échos qui ont filtré de ce sommet dont les travaux se sont déroulés à huis clos, il a été surtout question de la stratégie électorale que compte adopter ces partis qui ont, pour rappel, annoncé que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, sera leur candidat. Ce dernier n'a pas pour l'heure levé le voile sur son intention ou non de briguer un troisième mandat. Abdelaziz Belkhadem, Ahmed Ouyahia et Aboudjerra Soltani, assistés de leurs proches collaborateurs, ont discuté durant ce conclave sur la nécessité de faire un travail coordonné durant l'ensemble du processus électoral. Il a aussi été question de la meilleure manière pour le président de la République de présenter sa candidature. L'idée d'organiser une conférence nationale, avec la participation des grandes organisations sociales qui ont déclaré leur soutien à la candidature de Bouteflika a été avancée. Tout compte fait, les trois leaders ont pris un nouveau rendez-vous pour samedi prochain, en vue de finaliser leur stratégie électorale. K. H. Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN a indiqué hier que l'ex-président de la République, Liamine Zeroual, « a le droit de se présenter comme candidat aux prochaines élections présidentielles ». Abdelaziz Belkhadem, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à l'issue de la réunion au sommet des trois partis de l'Alliance présidentielle au siège du FLN, a affirmé que l'ex- président de la République, autant que n'importe quel citoyen, a entièrement le droit d'être candidat, ce d'autant qu'il assumé par le passé la plus haute charge de l'Etat. Le nom de Liamine Zeroual comme potentiel candidat a, il est vrai, fortement circulé ces derniers jours. Le conférencier a annoncé aussi que les prochaines élections présidentielles se tiendront probablement le 2 ou le 9 avril prochain. Avant Belkhadem, il y'a juste quelques jours, le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, a avancé les mêmes dates en y ajoutant celle du 26 mars. Belkhadem, voulant sans doute faire preuve de sérénité, a soutenu que les trois partis, « ne craignent pas l'abstention lors de cette élection ». Dans la déclaration commune ayant sanctionné le sommet d'hier, exclusivement consacré à l'agression israélienne contre la bande de Ghaza, les partis de l'Alliance présidentielle n'ont soufflé mot sur les prochaines élections présidentielles. Pourtant cette question a été largement abordée par les trois leaders lors de leur rencontre hier au siège du FLN, parti qui préside, depuis le 30 novembre dernier, aux destinées de ce groupe politique. Selon des échos qui ont filtré de ce sommet dont les travaux se sont déroulés à huis clos, il a été surtout question de la stratégie électorale que compte adopter ces partis qui ont, pour rappel, annoncé que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, sera leur candidat. Ce dernier n'a pas pour l'heure levé le voile sur son intention ou non de briguer un troisième mandat. Abdelaziz Belkhadem, Ahmed Ouyahia et Aboudjerra Soltani, assistés de leurs proches collaborateurs, ont discuté durant ce conclave sur la nécessité de faire un travail coordonné durant l'ensemble du processus électoral. Il a aussi été question de la meilleure manière pour le président de la République de présenter sa candidature. L'idée d'organiser une conférence nationale, avec la participation des grandes organisations sociales qui ont déclaré leur soutien à la candidature de Bouteflika a été avancée. Tout compte fait, les trois leaders ont pris un nouveau rendez-vous pour samedi prochain, en vue de finaliser leur stratégie électorale. K. H.