Le service de l'état civil, comme celui de la daïra est en passe de devenir une véritable tare dans la ville de Annaba : pour retirer un document administratif, il faut se lever tôt et s'armer de patience et pour affronter la longue file d'attente qui se forme quotidiennement devant les sièges de ces institutions. Les difficultés sont constatées surtout durant les périodes de forte demande de documents. Cette situation exceptionnelle ne semble pas atténuer un tant soit peu la bureacratie qui semble avoir la peau dure. Cependant, la difficulté réside dans l'outil informatique qui ne fonctionne pas à plein temps. Les équipements mettraient un terme à cette foire. Celle-ci ouvre une brèche à tous les excès, et le personnel de l'état civil ne connaîtra pas le moindre répit. Même scénario au niveau des services de la daïra où il faudra faire le pied de grue pour déposer ou se faire délivrer un document. Ces tracasseries génèrent, il va sans dire, l'ire des usagers et des prises de bec avec les préposés aux guichets. Les guichets de la daïra de Annaba sont insuffisants pour une wilaya qui compte un million d'habitants, et ces services des passeports et des cartes grises sont au bord de l'asphyxie. Les tracasseries au quotidien sont légion et afin d'arriver à se frayer une place pour retirer une carte grise ou déposer un dossier d'immatriculation, il faut être armé de patience. A. A. B. Le service de l'état civil, comme celui de la daïra est en passe de devenir une véritable tare dans la ville de Annaba : pour retirer un document administratif, il faut se lever tôt et s'armer de patience et pour affronter la longue file d'attente qui se forme quotidiennement devant les sièges de ces institutions. Les difficultés sont constatées surtout durant les périodes de forte demande de documents. Cette situation exceptionnelle ne semble pas atténuer un tant soit peu la bureacratie qui semble avoir la peau dure. Cependant, la difficulté réside dans l'outil informatique qui ne fonctionne pas à plein temps. Les équipements mettraient un terme à cette foire. Celle-ci ouvre une brèche à tous les excès, et le personnel de l'état civil ne connaîtra pas le moindre répit. Même scénario au niveau des services de la daïra où il faudra faire le pied de grue pour déposer ou se faire délivrer un document. Ces tracasseries génèrent, il va sans dire, l'ire des usagers et des prises de bec avec les préposés aux guichets. Les guichets de la daïra de Annaba sont insuffisants pour une wilaya qui compte un million d'habitants, et ces services des passeports et des cartes grises sont au bord de l'asphyxie. Les tracasseries au quotidien sont légion et afin d'arriver à se frayer une place pour retirer une carte grise ou déposer un dossier d'immatriculation, il faut être armé de patience. A. A. B.