Le SG de l'ex-parti unique confie que «le FLN pousse au plus large soutien possible». Il souhaite, par ailleurs, qu'il ait d'autres «bons candidats, de fortes pointures» Le SG de l'ex-parti unique confie que «le FLN pousse au plus large soutien possible». Il souhaite, par ailleurs, qu'il ait d'autres «bons candidats, de fortes pointures» Ce samedi, se tiendra une réunion des partis FLN, RND et MSP, formant l'alliance présidentielle pour donner le coup de starter aux préparatifs de l'élection présidentielle. Elle sera élargie, mercredi prochain, aux autres organisations et syndicats qui soutiennent la candidature du président de la République sortant à un troisième mandat. « Ces réunions visent à la mise en œuvre d'un chantier pour élaborer un programme commun allant du début à la fin de la campagne électorale ». C'est ce qu'a révélé, jeudi sur les ondes de la radio nationale, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui assure actuellement la présidence tournante de la coalition présidentielle. Invité à l'émission « En toute franchise » de la chaîne III, le premier responsable du vieux parti refuse d'avancer une quelconque date à laquelle le candidat Abdelaziz Bouteflika annoncera sa candidature, mais il annonce que cela se fera «près la convocation du corps électoral». Sous quelle étiquette se présentera le Président de la République sortant? Candidat de l'alliance ou indépendant ? Le SG de l'ex-parti unique confie que « le FLN pousse au plus large soutien possible ». Il souhaite, par ailleurs, qu'il ait d'autres « bons candidats, de fortes pointures », à l'image de Louisa Hanoune, Saïd Sadi ou encore de Cheikh Djaballah, du moment qu'il n'y a « ni entraves ni handicaps pouvant entacher processus ». «Vaincre sans périls, C'est triompher sans gloire », rappelle-t-il, relativisant les craintes d'un fort taux d'absentions de l'électorat à ce scrutin populaire, appelant « tous les partis politiques, les mouvements associatifs à faire le nécessaire pour que les citoyens répondent à l'obligation de l'appel du pays ». Le candidat que nous soutenons, juge Abdelaziz Belkhadem, « a montré ses compétences », ce qui pousse, selon lui, les partis de l'alliance « à aller vers l'électorat », arguant que « le bilan du Président de la République et les perspectives qui en découlent sont éminemment positifs ». Le SG du FLN réitère que son parti n'est pas contre la venue d'observateurs étrangers (Ligue Arabe, ONU, Union Africaine, et OCI) pour le moment, pour superviser le déroulement de la présidentielle, déclarant que « si d'autres Institutions ou Organisations internationales dont l'Algérie n'est pas membres font la demande, il leur sera répondu favorablement ». Abordant un tout autre sujet, la problématique des harragas, le conférencier s'interroge « s' il y a des solutions miracles à ce phénomène », rappelant la mise en œuvre par l'Etat des différents dispositifs d'insertion des jeunes dans le monde du travail, même s'il estime que ce n'est pas suffisant, mais « l'effort est là », assène-t-il. Au sujet de l'abolition de la peine de mort, un sujet en débat ces derniers jours, le premier responsable livre le fond de sa pensée. En tant que personne, il dit ne pas être « abolitionniste », et estime que « l'auteur d'un crime doit être puni » et refuse de polémiquer affirmant « respecter tous les avis, même ceux qu'il ne partage pas ». S. B. Ce samedi, se tiendra une réunion des partis FLN, RND et MSP, formant l'alliance présidentielle pour donner le coup de starter aux préparatifs de l'élection présidentielle. Elle sera élargie, mercredi prochain, aux autres organisations et syndicats qui soutiennent la candidature du président de la République sortant à un troisième mandat. « Ces réunions visent à la mise en œuvre d'un chantier pour élaborer un programme commun allant du début à la fin de la campagne électorale ». C'est ce qu'a révélé, jeudi sur les ondes de la radio nationale, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui assure actuellement la présidence tournante de la coalition présidentielle. Invité à l'émission « En toute franchise » de la chaîne III, le premier responsable du vieux parti refuse d'avancer une quelconque date à laquelle le candidat Abdelaziz Bouteflika annoncera sa candidature, mais il annonce que cela se fera «près la convocation du corps électoral». Sous quelle étiquette se présentera le Président de la République sortant? Candidat de l'alliance ou indépendant ? Le SG de l'ex-parti unique confie que « le FLN pousse au plus large soutien possible ». Il souhaite, par ailleurs, qu'il ait d'autres « bons candidats, de fortes pointures », à l'image de Louisa Hanoune, Saïd Sadi ou encore de Cheikh Djaballah, du moment qu'il n'y a « ni entraves ni handicaps pouvant entacher processus ». «Vaincre sans périls, C'est triompher sans gloire », rappelle-t-il, relativisant les craintes d'un fort taux d'absentions de l'électorat à ce scrutin populaire, appelant « tous les partis politiques, les mouvements associatifs à faire le nécessaire pour que les citoyens répondent à l'obligation de l'appel du pays ». Le candidat que nous soutenons, juge Abdelaziz Belkhadem, « a montré ses compétences », ce qui pousse, selon lui, les partis de l'alliance « à aller vers l'électorat », arguant que « le bilan du Président de la République et les perspectives qui en découlent sont éminemment positifs ». Le SG du FLN réitère que son parti n'est pas contre la venue d'observateurs étrangers (Ligue Arabe, ONU, Union Africaine, et OCI) pour le moment, pour superviser le déroulement de la présidentielle, déclarant que « si d'autres Institutions ou Organisations internationales dont l'Algérie n'est pas membres font la demande, il leur sera répondu favorablement ». Abordant un tout autre sujet, la problématique des harragas, le conférencier s'interroge « s' il y a des solutions miracles à ce phénomène », rappelant la mise en œuvre par l'Etat des différents dispositifs d'insertion des jeunes dans le monde du travail, même s'il estime que ce n'est pas suffisant, mais « l'effort est là », assène-t-il. Au sujet de l'abolition de la peine de mort, un sujet en débat ces derniers jours, le premier responsable livre le fond de sa pensée. En tant que personne, il dit ne pas être « abolitionniste », et estime que « l'auteur d'un crime doit être puni » et refuse de polémiquer affirmant « respecter tous les avis, même ceux qu'il ne partage pas ». S. B.