A moins de deux mois de la tenue de l'élection présidentielle, prévue le 9 avril, rien ne laisse supposer que le FNA est à l'orée d'un événement historique dans la vie du parti. Au siège du parti, où on a fait une petite virée hier, c'est l'impression première qu'on a eue tant il n'y avait aucun signe d'effervescence et c'était plutôt le calme plat. Dans les différents bureaux du siège, l'activité se déroulait normalement et il n'y avait point de va-et-vient. Quelques militants, dont certains venaient des wilayas de l'intérieur du pays, attendaient de voir le président du mouvement qui était, nous a-t-on dit, en réunion avec les députés du parti. Moussa Touati, une fois « cette rencontre interne » avec les élus du peuple terminée, s'est adressé à chacune des personnes qui voulaient le voir pour s'enquérir des raisons qui les ont conduites à faire le déplacement au siège central du parti en leur demandant de patienter un moment. Moussa Touati, qui a annoncé officiellement sa candidature à l'élection présidentielle du 9 avril prochain le 25 janvier dernier, lors d'une conférence de presse tenue au CIP (Centre international de presse), nous a indiqué, avec une pointe d'humour, que «ce calme qui règne au siège est un indice que nous sommes un parti qui n'a pas beaucoup de moyens, contrairement aux sièges des partis ou des candidats qui ont d'énormes moyens financiers et où généralement ça grouille de monde. De 1999 à aujourd'hui, notre compte bancaire n'a jamais dépassé la somme de 4 milliards de centimes. ». « Nous, nous sommes un parti de principes et les hommes qui font le FNA sont notre seule richesse, et c'est pourquoi d'ailleurs, nous sommes les premiers à avoir fini l'opération de collecte des signatures ». Sur cette question Moussa Touati dira qu'il compte déposer son dossier de candidature au niveau du Conseil constitutionnel le 18 février prochain. Le Conseil constitutionnel a, après la convocation du corps électoral le 7 février par le président de la République, rappelé avant-hier aux candidats que le dernier délai pour le dépôt des dossiers de candidatures est fixé au 23 février à minuit. Le FNA a déjà annoncé avoir collecté plus de 96.000 signatures de citoyens et presque 1.600 signatures d'élus locaux et nationaux. Le 18 février donc Moussa Touati, qui réunira les membres du bureau national, les présidents des 48 bureaux de wilaya ainsi que les députés du parti et sans doute accompagné de l'ensemble de l'état major du parti, prendra le chemin du siège du Conseil constitutionnel pour déposer son dossier de candidature. « Je ne suis pas un candidat indépendant mais un candidat d'un parti politique qui doit alors associer les hommes et les femmes qui ont participé à l'effort de réunir toutes les conditions légales de ma candidature » a-t-il souligné. En 2004, lors des presidentiellees du 8 avril, Moussa Touati, qui a pourtant réuni comme il nous l'a réitéré hier plus de 83.000 signatures, a vu son dossier rejeté par le Conseil constitutionnel pour le motif que 8.000 signatures ne sont pas valides. Comme il le fera sans doute durant la campagne électorale notre interlocuteur a surtout mis l'accent sur l'impératif du changement. « Le changement est inévitable, car c'est le vœu principal des citoyens et il faut que le peuple décide souverainement le jour du vote », a indiqué le président du FNA. Pour Moussa Touati, dont le programme électoral sera dévoilé lors de la rencontre du 18 février, « le FNA œuvrera toujours contre les maux qui portent préjudice au peuple dont particulièrement la corruption, le népotisme et le régionalisme ». A. S. A moins de deux mois de la tenue de l'élection présidentielle, prévue le 9 avril, rien ne laisse supposer que le FNA est à l'orée d'un événement historique dans la vie du parti. Au siège du parti, où on a fait une petite virée hier, c'est l'impression première qu'on a eue tant il n'y avait aucun signe d'effervescence et c'était plutôt le calme plat. Dans les différents bureaux du siège, l'activité se déroulait normalement et il n'y avait point de va-et-vient. Quelques militants, dont certains venaient des wilayas de l'intérieur du pays, attendaient de voir le président du mouvement qui était, nous a-t-on dit, en réunion avec les députés du parti. Moussa Touati, une fois « cette rencontre interne » avec les élus du peuple terminée, s'est adressé à chacune des personnes qui voulaient le voir pour s'enquérir des raisons qui les ont conduites à faire le déplacement au siège central du parti en leur demandant de patienter un moment. Moussa Touati, qui a annoncé officiellement sa candidature à l'élection présidentielle du 9 avril prochain le 25 janvier dernier, lors d'une conférence de presse tenue au CIP (Centre international de presse), nous a indiqué, avec une pointe d'humour, que «ce calme qui règne au siège est un indice que nous sommes un parti qui n'a pas beaucoup de moyens, contrairement aux sièges des partis ou des candidats qui ont d'énormes moyens financiers et où généralement ça grouille de monde. De 1999 à aujourd'hui, notre compte bancaire n'a jamais dépassé la somme de 4 milliards de centimes. ». « Nous, nous sommes un parti de principes et les hommes qui font le FNA sont notre seule richesse, et c'est pourquoi d'ailleurs, nous sommes les premiers à avoir fini l'opération de collecte des signatures ». Sur cette question Moussa Touati dira qu'il compte déposer son dossier de candidature au niveau du Conseil constitutionnel le 18 février prochain. Le Conseil constitutionnel a, après la convocation du corps électoral le 7 février par le président de la République, rappelé avant-hier aux candidats que le dernier délai pour le dépôt des dossiers de candidatures est fixé au 23 février à minuit. Le FNA a déjà annoncé avoir collecté plus de 96.000 signatures de citoyens et presque 1.600 signatures d'élus locaux et nationaux. Le 18 février donc Moussa Touati, qui réunira les membres du bureau national, les présidents des 48 bureaux de wilaya ainsi que les députés du parti et sans doute accompagné de l'ensemble de l'état major du parti, prendra le chemin du siège du Conseil constitutionnel pour déposer son dossier de candidature. « Je ne suis pas un candidat indépendant mais un candidat d'un parti politique qui doit alors associer les hommes et les femmes qui ont participé à l'effort de réunir toutes les conditions légales de ma candidature » a-t-il souligné. En 2004, lors des presidentiellees du 8 avril, Moussa Touati, qui a pourtant réuni comme il nous l'a réitéré hier plus de 83.000 signatures, a vu son dossier rejeté par le Conseil constitutionnel pour le motif que 8.000 signatures ne sont pas valides. Comme il le fera sans doute durant la campagne électorale notre interlocuteur a surtout mis l'accent sur l'impératif du changement. « Le changement est inévitable, car c'est le vœu principal des citoyens et il faut que le peuple décide souverainement le jour du vote », a indiqué le président du FNA. Pour Moussa Touati, dont le programme électoral sera dévoilé lors de la rencontre du 18 février, « le FNA œuvrera toujours contre les maux qui portent préjudice au peuple dont particulièrement la corruption, le népotisme et le régionalisme ». A. S.