Le directeur du commerce de la wilaya d'Alger a été l'invité du forum d'El Bahdja hier, où il a répondu à un ensemble de questions liées au commerce informel, aux marchés de gros, aux opérations de soldes, ainsi qu'aux statistiques relatives aux infractions aux règles commerciales, d'où la fermeture d'un nombre important de commerces. Abordant la situation générale des marchés, il a indiqué l'existence de 97 marchés informels au niveau de la wilaya d'Alger, 35 marchés en cours de réaménagement à l'exemple des marchés, d'El Harrach, de Bab El Oued, Zakaria, Bologhine… Par ailleurs, l'on note la fermeture définitive de 15 marchés informels, notamment à Bab El Oued et Badjarah. En outre, M, Lamari youcef a annoncé l'ouverture de nouveaux marchés dans la capitale dans les prochains jours et un nouvel abattoir moderne à Baba Ali avec une capacité de 400 et de 100 têtes entre ovins et bovins, et ce, en remplacement de l'abattoir de ruisseau qui date de 1929. Interrogé sur la question de l'intervention effectuée par les services du commerce au niveau de la wilaya d'Alger, l'orateur donnera le chiffre de 25.200 interventions, dont 11.000 procès verbaux transmis à la justice et 496 commerces fermés, en plus des saisies de marchandises d'une valeur qui dépasse les 16 millions de DA. Par ailleurs, la valeur des produits non facturé le montant s'élève à 1 milliard 733 millions de DA. Faisant le tour d'horizon sur l'ensemble des questions liées au secteur du commerce dans la capitale, notamment les fast Foods qui ont atteint 7.000 commerces, dont la plupart exercent sans autorisations, sans pour autant nier la qualité des prestations assurées par bon nombre de commerces, contrairement à d'autres qui ne respectent pas les règles d'hygiène, d'où la nécessité de contrôle et de suivi régulier par les services publics concernés. Ajoutés à cela les trottoirs squattés par les commerçants et autres revendeurs à la sauvette, ce qui est strictement interdit aux yeux de la loi. L'infraction est passible de 1 à 6 mois de prison à l'encontre des contrevenants. L'hygiène dans les cafés, les restaurants et autres magasins d'alimentation, ainsi que le contrôle des restaurants universitaires, ont étés abordés jusqu'au moindre détail.. Sollicité sur la question des moyens humains mis en place pour répondre aux besoins du contrôle du commerce dans la capitale, M, Lamari a indiqué 190 agents de contrôle et 35 nouveaux recrutés sont en formation, tout en exhortant le citoyen à dénoncer les infractions auprès des services concernés. En outre, interrogé sur la question de la flambée des prix, il répondra que les interventions concernent les prix du pain, du lait et de la semoule. A. C. Le directeur du commerce de la wilaya d'Alger a été l'invité du forum d'El Bahdja hier, où il a répondu à un ensemble de questions liées au commerce informel, aux marchés de gros, aux opérations de soldes, ainsi qu'aux statistiques relatives aux infractions aux règles commerciales, d'où la fermeture d'un nombre important de commerces. Abordant la situation générale des marchés, il a indiqué l'existence de 97 marchés informels au niveau de la wilaya d'Alger, 35 marchés en cours de réaménagement à l'exemple des marchés, d'El Harrach, de Bab El Oued, Zakaria, Bologhine… Par ailleurs, l'on note la fermeture définitive de 15 marchés informels, notamment à Bab El Oued et Badjarah. En outre, M, Lamari youcef a annoncé l'ouverture de nouveaux marchés dans la capitale dans les prochains jours et un nouvel abattoir moderne à Baba Ali avec une capacité de 400 et de 100 têtes entre ovins et bovins, et ce, en remplacement de l'abattoir de ruisseau qui date de 1929. Interrogé sur la question de l'intervention effectuée par les services du commerce au niveau de la wilaya d'Alger, l'orateur donnera le chiffre de 25.200 interventions, dont 11.000 procès verbaux transmis à la justice et 496 commerces fermés, en plus des saisies de marchandises d'une valeur qui dépasse les 16 millions de DA. Par ailleurs, la valeur des produits non facturé le montant s'élève à 1 milliard 733 millions de DA. Faisant le tour d'horizon sur l'ensemble des questions liées au secteur du commerce dans la capitale, notamment les fast Foods qui ont atteint 7.000 commerces, dont la plupart exercent sans autorisations, sans pour autant nier la qualité des prestations assurées par bon nombre de commerces, contrairement à d'autres qui ne respectent pas les règles d'hygiène, d'où la nécessité de contrôle et de suivi régulier par les services publics concernés. Ajoutés à cela les trottoirs squattés par les commerçants et autres revendeurs à la sauvette, ce qui est strictement interdit aux yeux de la loi. L'infraction est passible de 1 à 6 mois de prison à l'encontre des contrevenants. L'hygiène dans les cafés, les restaurants et autres magasins d'alimentation, ainsi que le contrôle des restaurants universitaires, ont étés abordés jusqu'au moindre détail.. Sollicité sur la question des moyens humains mis en place pour répondre aux besoins du contrôle du commerce dans la capitale, M, Lamari a indiqué 190 agents de contrôle et 35 nouveaux recrutés sont en formation, tout en exhortant le citoyen à dénoncer les infractions auprès des services concernés. En outre, interrogé sur la question de la flambée des prix, il répondra que les interventions concernent les prix du pain, du lait et de la semoule. A. C.