Adelaziz Bouteflika, qui est arrivé à bord de sa Mercedés de couleur noire, sourire aux lèvres, s'est refusé à faire la moindre déclaration et ce, malgré les sollicitations des journalistes présents. Adelaziz Bouteflika, qui est arrivé à bord de sa Mercedés de couleur noire, sourire aux lèvres, s'est refusé à faire la moindre déclaration et ce, malgré les sollicitations des journalistes présents. Le président candidat a déposé, dans l'après midi d'hier, son dossier de candidature à l'élection présidentielle du 9 avril prochain au Conseil constitutionnel. Adelaziz Bouteflika est arrivé au siége de cette institution vers 14h27mn. Personne ne l'a accompagné à bord de la Mercedés de couleur noire où il était assis à coté de son chauffeur. Le directeur de sa campagne électorale, Abdelamalek Sellal, qui l'a précédé au siège du conseil constitutionnel où aucun officiel ne s'est fait visible, a révélé devant les journalistes le chiffre exact des signatures collectées par le président candidat. Ainsi les partisans de celui qui veut briguer un troisième mandat, emmenés notamment par les trois partis de l'alliance présidentielle, auxquels se sont joints les 8 grandes organisations nationales et des dizaines d'autres associations, ont dépassé la barre des 4 millions de signatures de citoyens puisque ils ont collectés, en effet, 4.038.008 signatures exactement. Ce chiffre est de très loin supérieur à celui réalisé lors de la présidentielle d'avril 2004 ou les alliés et les soutiens de l'actuel chef de l'Etat ont collectés, pour rappel, 1,5 millions de signatures. Sellal, qui a été nommé ainsi pour la deuxième fois à la tête de la direction de campagne du candidat Bouteflika puisque c'était aussi le cas au précèdent scrutin présidentiel, a aussi annoncé que 11.761 élus ont apposés leurs signatures au bas du formulaire en guise de soutien au locataire du palais d'El Mouradia. Dans le bureau du président du conseil constitutionnel, Bouteflika est resté un peu plus d'une demi heure étant donné qu'il n'a descendu les marches de cette institution qu'aux environs de 15h 04 mn. Boualem Bessaieh, comme le veut le protocole en pareille circonstance et comme il l'a fait d'ailleurs avec tous les autres candidat, n'a pas raccompagné son hôte jusqu'au perron du conseil constitutionnel. Bouteflika, sourire aux lèvres, s'est refusé à faire la moindre déclaration et ce, malgré les sollicitations des journalistes présents. Il s'est, en revanche, prêté volontiers aux flashs des photographes. Pour rappel c'est la troisième fois depuis 1999 que Bouteflika emprunte le chemin menant au conseil constitutionnel pour déposer son dossier de candidature. Et, comme à son habitude, il a laissé jusqu'au dernier jour de la clôture des délais de dépôt des dossiers de signatures pour déposer le sien. En effet, comme prévu par la loi électorale les candidats ont un délai de quinze jours à partir de la convocation du corps électoral pour déposer leur dossier de candidatures. Et ce délai a expiré hier à minuit. Rappelons que Bouteflika a fait sa déclaration de candidature le 12 février dernier. Dans cette déclaration, il a énoncé quelques grands axes du programme quinquennal, pour lequel il a annoncé la mobilisation d'une enveloppe financière de 150 milliards de dollars qu'il compte mettre en œuvre s'il obtient le suffrage des algériens. Il a ainsi tout particulièrement promis de consolider davantage la reconciliation nationale. A. S. Le président candidat a déposé, dans l'après midi d'hier, son dossier de candidature à l'élection présidentielle du 9 avril prochain au Conseil constitutionnel. Adelaziz Bouteflika est arrivé au siége de cette institution vers 14h27mn. Personne ne l'a accompagné à bord de la Mercedés de couleur noire où il était assis à coté de son chauffeur. Le directeur de sa campagne électorale, Abdelamalek Sellal, qui l'a précédé au siège du conseil constitutionnel où aucun officiel ne s'est fait visible, a révélé devant les journalistes le chiffre exact des signatures collectées par le président candidat. Ainsi les partisans de celui qui veut briguer un troisième mandat, emmenés notamment par les trois partis de l'alliance présidentielle, auxquels se sont joints les 8 grandes organisations nationales et des dizaines d'autres associations, ont dépassé la barre des 4 millions de signatures de citoyens puisque ils ont collectés, en effet, 4.038.008 signatures exactement. Ce chiffre est de très loin supérieur à celui réalisé lors de la présidentielle d'avril 2004 ou les alliés et les soutiens de l'actuel chef de l'Etat ont collectés, pour rappel, 1,5 millions de signatures. Sellal, qui a été nommé ainsi pour la deuxième fois à la tête de la direction de campagne du candidat Bouteflika puisque c'était aussi le cas au précèdent scrutin présidentiel, a aussi annoncé que 11.761 élus ont apposés leurs signatures au bas du formulaire en guise de soutien au locataire du palais d'El Mouradia. Dans le bureau du président du conseil constitutionnel, Bouteflika est resté un peu plus d'une demi heure étant donné qu'il n'a descendu les marches de cette institution qu'aux environs de 15h 04 mn. Boualem Bessaieh, comme le veut le protocole en pareille circonstance et comme il l'a fait d'ailleurs avec tous les autres candidat, n'a pas raccompagné son hôte jusqu'au perron du conseil constitutionnel. Bouteflika, sourire aux lèvres, s'est refusé à faire la moindre déclaration et ce, malgré les sollicitations des journalistes présents. Il s'est, en revanche, prêté volontiers aux flashs des photographes. Pour rappel c'est la troisième fois depuis 1999 que Bouteflika emprunte le chemin menant au conseil constitutionnel pour déposer son dossier de candidature. Et, comme à son habitude, il a laissé jusqu'au dernier jour de la clôture des délais de dépôt des dossiers de signatures pour déposer le sien. En effet, comme prévu par la loi électorale les candidats ont un délai de quinze jours à partir de la convocation du corps électoral pour déposer leur dossier de candidatures. Et ce délai a expiré hier à minuit. Rappelons que Bouteflika a fait sa déclaration de candidature le 12 février dernier. Dans cette déclaration, il a énoncé quelques grands axes du programme quinquennal, pour lequel il a annoncé la mobilisation d'une enveloppe financière de 150 milliards de dollars qu'il compte mettre en œuvre s'il obtient le suffrage des algériens. Il a ainsi tout particulièrement promis de consolider davantage la reconciliation nationale. A. S.