Mauvaise nouvelle pour les mordus de facebook, le site communautaire le plus populaire qui compte plus de 140 millions de facebookers à travers le monde. Le site va devenir payant à partir du 31 Décembre 2009. C'est ce que vient d'annoncer quelques médias aux Etats-Unis. Mauvaise nouvelle pour les mordus de facebook, le site communautaire le plus populaire qui compte plus de 140 millions de facebookers à travers le monde. Le site va devenir payant à partir du 31 Décembre 2009. C'est ce que vient d'annoncer quelques médias aux Etats-Unis. Nouvelle qui a valu la mobilisation de millions de personnes pour préserver la gratuité du site contre ces concepteurs qui désirent rendre l'accès payant. Ainsi, si la décision rentre en vigueur, aucun facebooker ne pourrait avoir accès à son espace sans avoir payé la modique somme de 3,99 $. Alors que ce site a charmé, depuis sa création il y a de cela cinq ans, plusieurs individus de par le monde, le voilà aujourd'hui transformé en une surface payante et ce, au grand dam des facebookers qui ne comprennent pas les fondements de cette décision. En effet, tel que vu dans les reportages diffusés sur TVA le 07 mars 2008, les concepteurs du site Web FACEBOOK ont l'intention de rendre payant l'accès à leur site. Et pour cause : les revenus de publicité que les concepteurs reçoivent ne peuvent plus subvenir aux frais reliés à l'utilisation de la bande passante et au coût de programmation qui augmente sans cesse depuis les derniers mois. Les concepteurs ont, de ce fait, l'intention de charger des frais de 3,99 $ par mois pour l'accès au site Web. Une lettre conçue par quelques facebookers est envoyée à tous les adeptes. Son but est d'appeler tous les fervents du site à se mobiliser afin que le réseau communautaire ne devienne pas payant. Interrogés sur la nouvelle décision qui devra rentrer en vigueur le 31 décembre 2009, quelques facebookers rencontrés sur le site n'ont pas manqué de manifester leur colère et leur révolte contre «des personnes incompétentes animées par la soif du gain», disent certains. Pour Rabah, facebooker depuis deux ans, si facebook commence à charger des frais mensuels pour qu'on utilise son service, il verra le nombre de ses adeptes diminuer d'une manière vertigineuse. «Tout le monde partira, c'est clair, parce que pour rester, il faudrait non seulement que ça ne me dérange pas de payer, mais en plus, il faudrait que j'aie l'assurance que la plupart de mes amis facebookers paient aussi. Comme personne n'a cette assurance, tout le monde partira. À ce que je sache, Facebook n'est pas un service essentiel», déclare-t-il. De son côté, Ghania, une secrétaire âgée de 28 ans, affirme que si elle possède actuellement un compte sur Facebook, c'est parce que l'accès est gratuit. «Si réellement le service devient payant, je vous garantis de désactiver mon compte sans regarder en arrière», assure-t-elle tout de go. Plusieurs adeptes de Facebook s'entendent à dire que supprimer la gratuité du site revient à dire de fermer facebook. «C'est tout ce qui nous manque vraiment. Le seul espace qui faisait notre bonheur va devenir payant parce que ses concepteurs n'ont pas la possibilité de gérer les dépenses qui en découlent de sa popularité. Cela est insensé», se plaint Tarek. Si pour Tarek et bien d'autres, l'unique solution qui reste, au cas où le réseau devient payant, est de désactiver son compte, pour d'autres, quasiment dépendant des services du site, il n'en demeure pas moins que le choix est difficile à faire. «Je n'ai même pas envie de penser à cette fatalité. Si je n'ouvre pas mon compte chaque matin, je ne sais pas comment je pourrais commencer ma journée. Entre Facebook et moi, une véritable histoire d'amour est née», affirme, bien déçue, Leïla. La question qui se pose maintenant est : la lettre de mobilisation, signée par des milliers de facebookers à travers le monde, aura-t-elle l'effet voulu ? Autrement dit, les concepteurs de Facebook vont-t-il revenir sur leur décision. Si non, il semble que le plus grand réseau communautaire vit ces derniers jours. D. S. Nouvelle qui a valu la mobilisation de millions de personnes pour préserver la gratuité du site contre ces concepteurs qui désirent rendre l'accès payant. Ainsi, si la décision rentre en vigueur, aucun facebooker ne pourrait avoir accès à son espace sans avoir payé la modique somme de 3,99 $. Alors que ce site a charmé, depuis sa création il y a de cela cinq ans, plusieurs individus de par le monde, le voilà aujourd'hui transformé en une surface payante et ce, au grand dam des facebookers qui ne comprennent pas les fondements de cette décision. En effet, tel que vu dans les reportages diffusés sur TVA le 07 mars 2008, les concepteurs du site Web FACEBOOK ont l'intention de rendre payant l'accès à leur site. Et pour cause : les revenus de publicité que les concepteurs reçoivent ne peuvent plus subvenir aux frais reliés à l'utilisation de la bande passante et au coût de programmation qui augmente sans cesse depuis les derniers mois. Les concepteurs ont, de ce fait, l'intention de charger des frais de 3,99 $ par mois pour l'accès au site Web. Une lettre conçue par quelques facebookers est envoyée à tous les adeptes. Son but est d'appeler tous les fervents du site à se mobiliser afin que le réseau communautaire ne devienne pas payant. Interrogés sur la nouvelle décision qui devra rentrer en vigueur le 31 décembre 2009, quelques facebookers rencontrés sur le site n'ont pas manqué de manifester leur colère et leur révolte contre «des personnes incompétentes animées par la soif du gain», disent certains. Pour Rabah, facebooker depuis deux ans, si facebook commence à charger des frais mensuels pour qu'on utilise son service, il verra le nombre de ses adeptes diminuer d'une manière vertigineuse. «Tout le monde partira, c'est clair, parce que pour rester, il faudrait non seulement que ça ne me dérange pas de payer, mais en plus, il faudrait que j'aie l'assurance que la plupart de mes amis facebookers paient aussi. Comme personne n'a cette assurance, tout le monde partira. À ce que je sache, Facebook n'est pas un service essentiel», déclare-t-il. De son côté, Ghania, une secrétaire âgée de 28 ans, affirme que si elle possède actuellement un compte sur Facebook, c'est parce que l'accès est gratuit. «Si réellement le service devient payant, je vous garantis de désactiver mon compte sans regarder en arrière», assure-t-elle tout de go. Plusieurs adeptes de Facebook s'entendent à dire que supprimer la gratuité du site revient à dire de fermer facebook. «C'est tout ce qui nous manque vraiment. Le seul espace qui faisait notre bonheur va devenir payant parce que ses concepteurs n'ont pas la possibilité de gérer les dépenses qui en découlent de sa popularité. Cela est insensé», se plaint Tarek. Si pour Tarek et bien d'autres, l'unique solution qui reste, au cas où le réseau devient payant, est de désactiver son compte, pour d'autres, quasiment dépendant des services du site, il n'en demeure pas moins que le choix est difficile à faire. «Je n'ai même pas envie de penser à cette fatalité. Si je n'ouvre pas mon compte chaque matin, je ne sais pas comment je pourrais commencer ma journée. Entre Facebook et moi, une véritable histoire d'amour est née», affirme, bien déçue, Leïla. La question qui se pose maintenant est : la lettre de mobilisation, signée par des milliers de facebookers à travers le monde, aura-t-elle l'effet voulu ? Autrement dit, les concepteurs de Facebook vont-t-il revenir sur leur décision. Si non, il semble que le plus grand réseau communautaire vit ces derniers jours. D. S.