Le Dr Hadef, «candidat des innocents et des sans voix» a dit prendre acte de son élimination par le Conseil constitutionnel et a expliqué le rejet de sa candidature par «des pratiques et des manières déshonorantes». Le Dr Hadef, «candidat des innocents et des sans voix» a dit prendre acte de son élimination par le Conseil constitutionnel et a expliqué le rejet de sa candidature par «des pratiques et des manières déshonorantes». Le président du MNE (Mouvement national d'espérance), le Dr Mohamed Hadef a affirmé, hier au cours de sa conférence de presse tenue à Alger, consacrée à la préparation de l'élection présidentielle, qu' «il n'a pas de candidat préféré» à l'élection présidentielle d'avril prochain, soulignant qu' «il n'a aucun droit d'appeler quiconque au boycott ou à la participation». Pour le candidat malheureux à la candidature, «les six concurrents sont des Algériens» auxquels «il souhaite beaucoup de succès», indiquant qu' «il laisse le soin aux électeurs de faire le juste choix». Le patron du MNE assure qu' «il y aura des surprises», lors de ce scrutin populaire, sans vouloir avancer un chiffre sur le taux de participation, notant que dans ce domaine où aucun instrument de vérification n'existe, donner un chiffre, «c'est verser dans la spéculation», en raison de la «versatilité de l'électorat » qui est, selon lui «insaisissable». En préambule de son intervention, le Dr Hadef, «candidat des innocents et des sans voix» a dit prendre acte de son élimination par le Conseil constitutionnel et a expliqué le rejet de sa candidature par «des pratiques et des manières déshonorantes». Il dénonce le favoritisme des médias lourds à l'égard de certains candidats, l'entrave dressée par plusieurs administrations locales au moment des légalisations des signatures, attitude qu'il qualifie de «perverse», le détournement des formulaires légalisés par son parti, dont «il ne sait où ils ont atterri». Toutefois, il trouve légal que «le Conseil constitutionnel ait rejeté sa candidature en raison du retard enregistré dans la remise des signatures» à cette Institution. Le leader du MNE qui déclare «ne pas être surpris» par cette élimination, tire les leçons de cette malheureuse expérience. Pour lui «c'est une façon implicite de nous empêcher de participer à la vie politique» et «c'est une manière pernicieuse de nier notre droit de participer à cette importante élection», affirmant qu'en tant que politologue, il constate que «la société n'est pas bloquée, mais c'est la politique noble qui est en train de mourir», engendrant «la stérilité politique et la perversion du multipartisme». Plus explicite, il relève que «le champ politique est toujours accaparé par des ignorants». Il met en garde ce personnel politique et menace «de s'intéresser aux faits et arguments et s'intéresser à leurs agissements», déplorant que «l'Algérie manque d'élite politique». Il estime qu' «on a dégoûté et fatigué le peuple algérien avec une certaine forme d'activité politique», bâtie sur des valeurs étrangères à la population algérienne, comme il déclare son rejet des «discours populistes et des réunions baroques et folkloriques». Optimiste sur son avenir politique et sur celui de son parti, le Dr Hadef, rappelle qu'«il a un projet de société» et se dit «solidaire et à côté», «ni devant ni derrière», précise-t-il, «avec les forces politiques nationales républicaines et républicanisées». Il se dit confiant sur son avenir politique et sur celui de sa formation politique. Dans ce sens, il annonce qu'il va entamer une tournée nationale pour expliquer «les objectifs de son parti», procéder à «une phase d'ouverture des structures de sa formation politique» et «élaborer une espérance nationale pour les silencieux et les absents». Le président du MNE (Mouvement national d'espérance), le Dr Mohamed Hadef a affirmé, hier au cours de sa conférence de presse tenue à Alger, consacrée à la préparation de l'élection présidentielle, qu' «il n'a pas de candidat préféré» à l'élection présidentielle d'avril prochain, soulignant qu' «il n'a aucun droit d'appeler quiconque au boycott ou à la participation». Pour le candidat malheureux à la candidature, «les six concurrents sont des Algériens» auxquels «il souhaite beaucoup de succès», indiquant qu' «il laisse le soin aux électeurs de faire le juste choix». Le patron du MNE assure qu' «il y aura des surprises», lors de ce scrutin populaire, sans vouloir avancer un chiffre sur le taux de participation, notant que dans ce domaine où aucun instrument de vérification n'existe, donner un chiffre, «c'est verser dans la spéculation», en raison de la «versatilité de l'électorat » qui est, selon lui «insaisissable». En préambule de son intervention, le Dr Hadef, «candidat des innocents et des sans voix» a dit prendre acte de son élimination par le Conseil constitutionnel et a expliqué le rejet de sa candidature par «des pratiques et des manières déshonorantes». Il dénonce le favoritisme des médias lourds à l'égard de certains candidats, l'entrave dressée par plusieurs administrations locales au moment des légalisations des signatures, attitude qu'il qualifie de «perverse», le détournement des formulaires légalisés par son parti, dont «il ne sait où ils ont atterri». Toutefois, il trouve légal que «le Conseil constitutionnel ait rejeté sa candidature en raison du retard enregistré dans la remise des signatures» à cette Institution. Le leader du MNE qui déclare «ne pas être surpris» par cette élimination, tire les leçons de cette malheureuse expérience. Pour lui «c'est une façon implicite de nous empêcher de participer à la vie politique» et «c'est une manière pernicieuse de nier notre droit de participer à cette importante élection», affirmant qu'en tant que politologue, il constate que «la société n'est pas bloquée, mais c'est la politique noble qui est en train de mourir», engendrant «la stérilité politique et la perversion du multipartisme». Plus explicite, il relève que «le champ politique est toujours accaparé par des ignorants». Il met en garde ce personnel politique et menace «de s'intéresser aux faits et arguments et s'intéresser à leurs agissements», déplorant que «l'Algérie manque d'élite politique». Il estime qu' «on a dégoûté et fatigué le peuple algérien avec une certaine forme d'activité politique», bâtie sur des valeurs étrangères à la population algérienne, comme il déclare son rejet des «discours populistes et des réunions baroques et folkloriques». Optimiste sur son avenir politique et sur celui de son parti, le Dr Hadef, rappelle qu'«il a un projet de société» et se dit «solidaire et à côté», «ni devant ni derrière», précise-t-il, «avec les forces politiques nationales républicaines et républicanisées». Il se dit confiant sur son avenir politique et sur celui de sa formation politique. Dans ce sens, il annonce qu'il va entamer une tournée nationale pour expliquer «les objectifs de son parti», procéder à «une phase d'ouverture des structures de sa formation politique» et «élaborer une espérance nationale pour les silencieux et les absents».