De nous jours, c'est différent. Il sont devenus des lieux d'agression, de harcèlement, de vol... Les familles ont, par conséquent, tendance à «fuir» ces petits espaces verts qui, pourtant, de par leur vocation, sont censés apporter détente et quiètude . Ces endroits sont malheureusement devenus les lieux de prédilection de bandes de délinquants. De nous jours, c'est différent. Il sont devenus des lieux d'agression, de harcèlement, de vol... Les familles ont, par conséquent, tendance à «fuir» ces petits espaces verts qui, pourtant, de par leur vocation, sont censés apporter détente et quiètude . Ces endroits sont malheureusement devenus les lieux de prédilection de bandes de délinquants. La capitale est dotée de plusieurs jardins publics. Il n'y a pas une seule commune d'Alger où l'on ne trouve pas un espace public, petits jardins, airs de détente… Cet héritage de la période coloniale avait connu naguère ses meilleurs jours et ce, durant des années. Les plus âgés d'entre nous se souviennent sûrement de cette époque où les jardins publics étaient de véritables lieux de détente. De nous jours, c'est différent. Il sont devenus des lieux d'agression, de harcèlement, de vol... Les familles ont par conséquent tendance à «fuir» ces petits espaces verts qui, pourtant, de par leur vocation, sont censés apporter détente et quiètude . Ces endroits sont malheureusement devenus les lieux de prédilection de bandes de délinquants. Ces derniers jours un phénomène tout nouveau a fait son apparition. Un simple tour dans les différentes placettes, particulièrement celles en bord de mer, permet de le constater. Ce sont de jeunes couples, d'âges différents, qui s'installent sur les bancs, sur le gazon s'il y en a, ou parfois à même le sol en faisant carrément fi du monde qui les entoure. C'est le cas, à titre d'exemple, du jardin du « Square Sofia», situé en contrebas de la Grande Poste, sur la grande avenue Zighout Youcef. Ce lieu est quotidiennement fréquenté par des dizaines de couples qui prennent place et qui parfois même n'hésitent pas à s'adonner à des gestuelles qui pourraient être aisément classées dans la catégorie «atteinte à la pudeur sur lieu public». Même les différentes descentes organisées à maintes reprises par les brigades des mœurs ne sont pas venues à bout de ce regrettable phénomène au grand désarroi des personnes âgées qui veulent s'installer dans ces lieux à défaut d'une autre occupation. «Je suis incapable de rester éternellement à la maison et je ne peux pas rester dans un café maure toute la journée, alors le seul refuge pour moi est de venir ici et discuter avec les personnes de mon âge ou jouer aux dominos» affirme un vieux retraité. Cependant, regrette-t-il, «ces jeunes indécents nous entourent et gâchent notre plaisir de savourer la détente. On préfère aller ailleurs alors que c'est eux qui devraient ne pas être là » ajouta-t-il. La capitale est dotée de plusieurs jardins publics. Il n'y a pas une seule commune d'Alger où l'on ne trouve pas un espace public, petits jardins, airs de détente… Cet héritage de la période coloniale avait connu naguère ses meilleurs jours et ce, durant des années. Les plus âgés d'entre nous se souviennent sûrement de cette époque où les jardins publics étaient de véritables lieux de détente. De nous jours, c'est différent. Il sont devenus des lieux d'agression, de harcèlement, de vol... Les familles ont par conséquent tendance à «fuir» ces petits espaces verts qui, pourtant, de par leur vocation, sont censés apporter détente et quiètude . Ces endroits sont malheureusement devenus les lieux de prédilection de bandes de délinquants. Ces derniers jours un phénomène tout nouveau a fait son apparition. Un simple tour dans les différentes placettes, particulièrement celles en bord de mer, permet de le constater. Ce sont de jeunes couples, d'âges différents, qui s'installent sur les bancs, sur le gazon s'il y en a, ou parfois à même le sol en faisant carrément fi du monde qui les entoure. C'est le cas, à titre d'exemple, du jardin du « Square Sofia», situé en contrebas de la Grande Poste, sur la grande avenue Zighout Youcef. Ce lieu est quotidiennement fréquenté par des dizaines de couples qui prennent place et qui parfois même n'hésitent pas à s'adonner à des gestuelles qui pourraient être aisément classées dans la catégorie «atteinte à la pudeur sur lieu public». Même les différentes descentes organisées à maintes reprises par les brigades des mœurs ne sont pas venues à bout de ce regrettable phénomène au grand désarroi des personnes âgées qui veulent s'installer dans ces lieux à défaut d'une autre occupation. «Je suis incapable de rester éternellement à la maison et je ne peux pas rester dans un café maure toute la journée, alors le seul refuge pour moi est de venir ici et discuter avec les personnes de mon âge ou jouer aux dominos» affirme un vieux retraité. Cependant, regrette-t-il, «ces jeunes indécents nous entourent et gâchent notre plaisir de savourer la détente. On préfère aller ailleurs alors que c'est eux qui devraient ne pas être là » ajouta-t-il.