Las d'endurer une situation qui se répète quotidiennement, les chauffeurs de taxi relevant du faubourg Lamy et ceux de l'université centrale de Constantine ont décidé de rehausser le ton. Le mépris que nourrissent à leur égard les agents de l'ordre «devient insupportable et même scandaleux», dénoncent des centaines de «taximen». Une source sûre nous indique que la grève risque de se généraliser si des mesures immédiates ne sont pas prises pour remettre à leur place ces agents publics. Les «taxieurs» grévistes se disent être une cible privilégiée des policiers. «Au lieu de traquer les bandits qui font ravages, ils focalisent leurs efforts sur nous, ce qui nous rend la vie impossible», s'insurgent-ils. Ces chauffeurs de taxi dénoncent les violations et infractions qu'on leur impute sans justificatif convaincant : «En une semaine, j'ai dû payer une dizaines de procès. Motif : arrêt illégal ! On nous interdit de faire monter ou descendre un client ; c'est inconcevable. C'est de la pure anarchie», nous affirme un chauffeur de taxi. Chaque jour, plusieurs chauffeurs de taxi sont verbalisés avec retrait de papiers ou mise à la fourrière. Un calvaire qui s'est aggravé avec le lancement du nouveau plan de la circulation, enfanté par les moult projets lancés çà et là. Las d'endurer une situation qui se répète quotidiennement, les chauffeurs de taxi relevant du faubourg Lamy et ceux de l'université centrale de Constantine ont décidé de rehausser le ton. Le mépris que nourrissent à leur égard les agents de l'ordre «devient insupportable et même scandaleux», dénoncent des centaines de «taximen». Une source sûre nous indique que la grève risque de se généraliser si des mesures immédiates ne sont pas prises pour remettre à leur place ces agents publics. Les «taxieurs» grévistes se disent être une cible privilégiée des policiers. «Au lieu de traquer les bandits qui font ravages, ils focalisent leurs efforts sur nous, ce qui nous rend la vie impossible», s'insurgent-ils. Ces chauffeurs de taxi dénoncent les violations et infractions qu'on leur impute sans justificatif convaincant : «En une semaine, j'ai dû payer une dizaines de procès. Motif : arrêt illégal ! On nous interdit de faire monter ou descendre un client ; c'est inconcevable. C'est de la pure anarchie», nous affirme un chauffeur de taxi. Chaque jour, plusieurs chauffeurs de taxi sont verbalisés avec retrait de papiers ou mise à la fourrière. Un calvaire qui s'est aggravé avec le lancement du nouveau plan de la circulation, enfanté par les moult projets lancés çà et là.