Les représentants des factions palestiniennes qui mènent des discussions au Caire dans le cadre du processus de dialogue en vue d'une réconciliation nationale, ont obtenu des progrès substantiels en dépit d'un désaccord sur le programme et la composition du gouvernement d'union. Les discussions en vue d'une entente nationale, engageant entre autres les mouvements Fatah et Hamas, ont été marquées par des progrès substantiels concernant notamment des dossiers épineux tels que l'organisation d'élections générales d'ici l'année prochaine. A ce propos, les négociateurs palestiniens ont convenu dimanche, au sixième jour de leur réunion, que des élections présidentielles et législatives soient organisées en Palestine avant le 25 janvier 2010. Ils ont également accepté de former une Commission électorale, a affirmé le chef du Front de libération de la Palestine, Wasel Abou Youssef. Toutefois, des désaccords sont apparus à propos du programme et de la composition du gouvernement d'union nationale, a déclaré lundi au Caire, Abdel Rahim Mellouh, membre de l'exécutif de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP). «Nous avons enregistré des progrès sur certains dossiers épineux comme la réconciliation, les élections, mais des divergences subsistent sur la composition et le programme d'un gouvernement d'entente nationale», a-t-il indiqué. Les divergences, a-t-il dit, portent sur «les engagements que devrait prendre le gouvernement pour s'ouvrir à la communauté internationale et sur la composition du gouvernement». Le Hamas est appelé dans ce contexte à reconnaître les accords conclus par l'OLP qui a accepté la création d'un Etat palestinien aux côtés d'Israël et a «renoncé à la violence», en vue de sa participation à un gouvernement d'entente nationale. Le Hamas demeure attaché à la résistance armée pour mettre fin à l'occupation israélienne. Selon des sources ayant pris part au dialogue, le Hamas a appelé à la formation d'un cabinet d'union à l'instar du gouvernement issu de l'accord de la Mecque de 2007, à même de faciliter la mise en oeuvre du programme de reconstruction de Ghaza, la levée du blocus israélien imposé au territoire et l'organisation d'élections. Le Hamas a proposé que les ministres soient désignés selon le système de quotas, refusant par ailleurs qu'un délai soit arrêté pour la tenue d'élections législatives de même qu'il rejette leur organisation en même temps que la présidentielle. Quant au mouvement Fatah (parti présidentiel), il a demandé au Hamas, en contrepartie de sa participation au gouvernement, de «s'engager à reconnaître les accords conclus» par l'OLP. L'ambassadeur de Palestine au Caire, M. Nabil Amr a précisé que l'OLP et l'autorité nationale devraient trouver des solutions effectives aux questions en suspens telle la formation d'un gouvernement d'union nationale. En dépit des quelques divergences, les factions palestiniennes, qui ont lancé leurs travaux le 10 mars dans le cadre du processus de réconciliation nationale, affichent, selon des sources palestiniennes, une ferme volonté de transcender les difficultés pour dégager un terrain d'entente Les représentants des factions palestiniennes qui mènent des discussions au Caire dans le cadre du processus de dialogue en vue d'une réconciliation nationale, ont obtenu des progrès substantiels en dépit d'un désaccord sur le programme et la composition du gouvernement d'union. Les discussions en vue d'une entente nationale, engageant entre autres les mouvements Fatah et Hamas, ont été marquées par des progrès substantiels concernant notamment des dossiers épineux tels que l'organisation d'élections générales d'ici l'année prochaine. A ce propos, les négociateurs palestiniens ont convenu dimanche, au sixième jour de leur réunion, que des élections présidentielles et législatives soient organisées en Palestine avant le 25 janvier 2010. Ils ont également accepté de former une Commission électorale, a affirmé le chef du Front de libération de la Palestine, Wasel Abou Youssef. Toutefois, des désaccords sont apparus à propos du programme et de la composition du gouvernement d'union nationale, a déclaré lundi au Caire, Abdel Rahim Mellouh, membre de l'exécutif de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP). «Nous avons enregistré des progrès sur certains dossiers épineux comme la réconciliation, les élections, mais des divergences subsistent sur la composition et le programme d'un gouvernement d'entente nationale», a-t-il indiqué. Les divergences, a-t-il dit, portent sur «les engagements que devrait prendre le gouvernement pour s'ouvrir à la communauté internationale et sur la composition du gouvernement». Le Hamas est appelé dans ce contexte à reconnaître les accords conclus par l'OLP qui a accepté la création d'un Etat palestinien aux côtés d'Israël et a «renoncé à la violence», en vue de sa participation à un gouvernement d'entente nationale. Le Hamas demeure attaché à la résistance armée pour mettre fin à l'occupation israélienne. Selon des sources ayant pris part au dialogue, le Hamas a appelé à la formation d'un cabinet d'union à l'instar du gouvernement issu de l'accord de la Mecque de 2007, à même de faciliter la mise en oeuvre du programme de reconstruction de Ghaza, la levée du blocus israélien imposé au territoire et l'organisation d'élections. Le Hamas a proposé que les ministres soient désignés selon le système de quotas, refusant par ailleurs qu'un délai soit arrêté pour la tenue d'élections législatives de même qu'il rejette leur organisation en même temps que la présidentielle. Quant au mouvement Fatah (parti présidentiel), il a demandé au Hamas, en contrepartie de sa participation au gouvernement, de «s'engager à reconnaître les accords conclus» par l'OLP. L'ambassadeur de Palestine au Caire, M. Nabil Amr a précisé que l'OLP et l'autorité nationale devraient trouver des solutions effectives aux questions en suspens telle la formation d'un gouvernement d'union nationale. En dépit des quelques divergences, les factions palestiniennes, qui ont lancé leurs travaux le 10 mars dans le cadre du processus de réconciliation nationale, affichent, selon des sources palestiniennes, une ferme volonté de transcender les difficultés pour dégager un terrain d'entente