Sur l'autoroute Ben Aknoun-Dar el Beïda, ceci sous le pont de l'université des sciences politiques et de l'information (ITFC). Des dizaines de personnes empruntent, chaque jour, la montée menant vers le chemin Doudou-Mokhtar ou la rue Drareni de Hydra. Une passerelle de fortune a été aménagée par les citoyens: une espèce d'escaliers taillés dans la terre. Une jeune fille en tentant de les escalader a glissé et est tombé dans le fossé, manquant de peu l'autoroute. Quand il pleut, la boue rend l'escalade difficile, surtout pour les femmes, qui prennent le risque d'emprunter cette piste pour accéder de l'autre côté du chemin Doudou-Mokhtar, qui reste d'ailleurs l'unique solution, vu qu'on ne peut pas traverser l'autoroute, en l'absence d'une passerelle qui pourrait éviter ces mésaventures qui pourraient être fatales. Sur l'autoroute Ben Aknoun-Dar el Beïda, ceci sous le pont de l'université des sciences politiques et de l'information (ITFC). Des dizaines de personnes empruntent, chaque jour, la montée menant vers le chemin Doudou-Mokhtar ou la rue Drareni de Hydra. Une passerelle de fortune a été aménagée par les citoyens: une espèce d'escaliers taillés dans la terre. Une jeune fille en tentant de les escalader a glissé et est tombé dans le fossé, manquant de peu l'autoroute. Quand il pleut, la boue rend l'escalade difficile, surtout pour les femmes, qui prennent le risque d'emprunter cette piste pour accéder de l'autre côté du chemin Doudou-Mokhtar, qui reste d'ailleurs l'unique solution, vu qu'on ne peut pas traverser l'autoroute, en l'absence d'une passerelle qui pourrait éviter ces mésaventures qui pourraient être fatales.