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90% des patriciens hospitalo-universitaires ont suivi le mouvement Grève cyclique des professeurs, maîtres de conférences et maîtres assistants en sciences médicales :
Hier, les professeurs, maîtres de conférences et maîtres assistants en sciences médicales sont entrés en grève dans toutes les villes sièges de facultés de médecine du pays. Le service minimum est assuré. Seuls les services dits sensibles tels que celui de cancérologie ou bien encore d'oncologie n'ont pas connu de perturbation. La grève cyclique de trois jours par semaine en sciences médicales est enclenchée depuis hier. Toutes les activités de soins et de prévention, les consultations ainsi que les examens d'exploration biologique et d'imagerie ne sont pas assurées. Seules les urgences continuent à être prises en charge normalement. Pour l'enseignement en sciences médicales, il a été décidé du boycott illimité de tous les examens et concours à dater d'hier. Cette action concerne les examens de graduation et de post-graduation, les DEMS, les concours de résidanat de professorat, de docentat de maîtrise d'assistanat ainsi que les jurys de thèse. C'est à l'appel du Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et du Syndicat national des maîtres-assistants en sciences médicales (SNMASM) que ce mouvement de débrayage sera entamé. Et ce débrayage est largement suivi par la corporation, à en croire le président du SNPDSM, le Pr. N. Djidjeli. Ce dernier a affirmé, hier, dans une déclaration au Midi Libre que 90% des paraticiens hospitalo-universitaires ont répondu favorablement au mot d'ordre de grève. La radicalisation du mouvement de contestation des praticiens hospitalo-universitaires, selon les initiateurs de ce débrayage, est due au non aboutissement du décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. Pour rappel, après la dernière grève ouverte touchant l'enseignement en sciences médicales, entamée le 03 janvier 2009 et le préavis de grève déposé pour les activités de soins, les autorités de tutelle se sont engagées, en attendant l'ouverture des discussions sur le régime indemnitaire, à défendre et à faire aboutir un projet de décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. Pour cela, ce décret devait suivre une « procédure d'urgence » pour répondre rapidement à leurs attentes. Deux mois après, rien n'a été publié. Pour l'heure, aucune réaction officielle des autorités concernées par ce dossier, notamment le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière n'a été enregistré. le Dr Saïd Barkat, ministre de la Santé, a, toutefois, réagi après avoir été interpellé par les journalistes de la Radio nationale sur cette question. Il a affirmé que le règlement de cette question dépasse les prérogatives de son département et que seul le Premier ministre peut prendre en charge cette question. Hier, les professeurs, maîtres de conférences et maîtres assistants en sciences médicales sont entrés en grève dans toutes les villes sièges de facultés de médecine du pays. Le service minimum est assuré. Seuls les services dits sensibles tels que celui de cancérologie ou bien encore d'oncologie n'ont pas connu de perturbation. La grève cyclique de trois jours par semaine en sciences médicales est enclenchée depuis hier. Toutes les activités de soins et de prévention, les consultations ainsi que les examens d'exploration biologique et d'imagerie ne sont pas assurées. Seules les urgences continuent à être prises en charge normalement. Pour l'enseignement en sciences médicales, il a été décidé du boycott illimité de tous les examens et concours à dater d'hier. Cette action concerne les examens de graduation et de post-graduation, les DEMS, les concours de résidanat de professorat, de docentat de maîtrise d'assistanat ainsi que les jurys de thèse. C'est à l'appel du Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et du Syndicat national des maîtres-assistants en sciences médicales (SNMASM) que ce mouvement de débrayage sera entamé. Et ce débrayage est largement suivi par la corporation, à en croire le président du SNPDSM, le Pr. N. Djidjeli. Ce dernier a affirmé, hier, dans une déclaration au Midi Libre que 90% des paraticiens hospitalo-universitaires ont répondu favorablement au mot d'ordre de grève. La radicalisation du mouvement de contestation des praticiens hospitalo-universitaires, selon les initiateurs de ce débrayage, est due au non aboutissement du décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. Pour rappel, après la dernière grève ouverte touchant l'enseignement en sciences médicales, entamée le 03 janvier 2009 et le préavis de grève déposé pour les activités de soins, les autorités de tutelle se sont engagées, en attendant l'ouverture des discussions sur le régime indemnitaire, à défendre et à faire aboutir un projet de décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. Pour cela, ce décret devait suivre une « procédure d'urgence » pour répondre rapidement à leurs attentes. Deux mois après, rien n'a été publié. Pour l'heure, aucune réaction officielle des autorités concernées par ce dossier, notamment le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière n'a été enregistré. le Dr Saïd Barkat, ministre de la Santé, a, toutefois, réagi après avoir été interpellé par les journalistes de la Radio nationale sur cette question. Il a affirmé que le règlement de cette question dépasse les prérogatives de son département et que seul le Premier ministre peut prendre en charge cette question.