Dès les premières lueurs du jour, les vendeurs à la sauvette prennent d'assaut les trottoirs et artères de la ville, proposant toutes sortes de marchandises, légumes, vêtements et même des appareils électroménagers. Dès les premières lueurs du jour, les vendeurs à la sauvette prennent d'assaut les trottoirs et artères de la ville, proposant toutes sortes de marchandises, légumes, vêtements et même des appareils électroménagers. Les vendeurs ambulants et ceux à la sauvette, envahissent, tôt le matin, la ville de Douéra. Dès les premières lueurs du jour, ils prennent d'assaut les trottoirs et artères de la ville, proposant toutes sortes de marchandises, légumes, vêtements et même des appareils électroménagers. Ces marchandises, affichant des prix bien inférieurs à ceux des articles proposés à l'intérieur des boutiques, sont exposées sur des étals de fortune ou à même le sol. Des commerçants nous ont exprimé leur mécontentement face à cette situation qui perdure et qui porte un grand préjudice à leurs activités. A ce propos le proriétaire d'un magasin de tenues de sport se déclare outré par l'«anarchie» qui règne et qui résulte, selon un autre commerçant, de la «démission totale» de l'administration de ses fonctions. Il n'y a pas que les commerçants à se sentir envahis, s'exprimant sur le sujet, le directeur de l'école primaire (Youcef-Abdelkader) exacerbé par ce qu'il qualifie de «mafia des trottoirs» nous fait savoir que l'école est cernée par ces vendeurs, parfois même ils en bloquant l'accès. Plusieurs correspondances ont été adressées à l'APC de Douéra, au wali délégué de Draria et à la tutelle, «nous avons usé de toutes les voies légales, mais en vain», notre interlocuteur nous dira que les parents d'élèves ont menacé, à plusieurs reprises, d'avoir recours à une grève en empêchant leurs enfants de se rendre en classe. Pour avoir la version des autorités locales, nous nous sommes rapprochés de l'APC de Douéra, où nous avons été reçus par le premier responsable de cette administration pointée du doigt et accusée par tous les intervenants. Apres avoir exposé la situation et expliqué l'objet de notre visite, le président de l'APC Sadek Mokadem, nous avoue avoir une parfaite connaissance du sujet, mais que ce serait un dossier sensible dont aurait hérité, malheureusement, son administration: «Cela fait plus de 20 ans que cette situation perdure», nous dira-t-il, toutefois M.Mokadem nous affirme que ce dossier fait partie des priorités de l'APC. Afin d'éradiquer ce fléau, l'APC a mis en place un projet en cours de réalisation, celui d'un pôle commercial à l'entrée de la ville, il sera situé devant la caserne de la BMPJ. Selon le P/APC, les travaux connaîtraient une avance de 80%, chose que nous avons pu constater de visu, sa réception devrait se faire donc dans deux mois. Ce pôle commercial comportera plusieurs infrastructures, un marché communal avec 17 locaux sous forme de garages, il sera également doté d'un marché de proximité avec des étals en dur pour les marchands de fruits et légumes et au sein duquel sera aménagé un espace pour les poissonniers, en tout il aura une capacité de 300 étals en plus des 50 locaux commerciaux, propriété de l'Agerfa (Agence de gestion et de régulation du foncier d'Alger). Vu l'état d'avancement des travaux, les délais devraient être respectés, en effet il ne reste pratiquement plus à réaliser que l'aménagement de l'extérieur. Les habitants de Douéra prient pour que rien ne vienne compromettre l' inauguration de ce centre commercial qui permettra à leur ville de respirer enfin, en plus des chance de postes de travail que ce projet leur offrira. Les vendeurs ambulants et ceux à la sauvette, envahissent, tôt le matin, la ville de Douéra. Dès les premières lueurs du jour, ils prennent d'assaut les trottoirs et artères de la ville, proposant toutes sortes de marchandises, légumes, vêtements et même des appareils électroménagers. Ces marchandises, affichant des prix bien inférieurs à ceux des articles proposés à l'intérieur des boutiques, sont exposées sur des étals de fortune ou à même le sol. Des commerçants nous ont exprimé leur mécontentement face à cette situation qui perdure et qui porte un grand préjudice à leurs activités. A ce propos le proriétaire d'un magasin de tenues de sport se déclare outré par l'«anarchie» qui règne et qui résulte, selon un autre commerçant, de la «démission totale» de l'administration de ses fonctions. Il n'y a pas que les commerçants à se sentir envahis, s'exprimant sur le sujet, le directeur de l'école primaire (Youcef-Abdelkader) exacerbé par ce qu'il qualifie de «mafia des trottoirs» nous fait savoir que l'école est cernée par ces vendeurs, parfois même ils en bloquant l'accès. Plusieurs correspondances ont été adressées à l'APC de Douéra, au wali délégué de Draria et à la tutelle, «nous avons usé de toutes les voies légales, mais en vain», notre interlocuteur nous dira que les parents d'élèves ont menacé, à plusieurs reprises, d'avoir recours à une grève en empêchant leurs enfants de se rendre en classe. Pour avoir la version des autorités locales, nous nous sommes rapprochés de l'APC de Douéra, où nous avons été reçus par le premier responsable de cette administration pointée du doigt et accusée par tous les intervenants. Apres avoir exposé la situation et expliqué l'objet de notre visite, le président de l'APC Sadek Mokadem, nous avoue avoir une parfaite connaissance du sujet, mais que ce serait un dossier sensible dont aurait hérité, malheureusement, son administration: «Cela fait plus de 20 ans que cette situation perdure», nous dira-t-il, toutefois M.Mokadem nous affirme que ce dossier fait partie des priorités de l'APC. Afin d'éradiquer ce fléau, l'APC a mis en place un projet en cours de réalisation, celui d'un pôle commercial à l'entrée de la ville, il sera situé devant la caserne de la BMPJ. Selon le P/APC, les travaux connaîtraient une avance de 80%, chose que nous avons pu constater de visu, sa réception devrait se faire donc dans deux mois. Ce pôle commercial comportera plusieurs infrastructures, un marché communal avec 17 locaux sous forme de garages, il sera également doté d'un marché de proximité avec des étals en dur pour les marchands de fruits et légumes et au sein duquel sera aménagé un espace pour les poissonniers, en tout il aura une capacité de 300 étals en plus des 50 locaux commerciaux, propriété de l'Agerfa (Agence de gestion et de régulation du foncier d'Alger). Vu l'état d'avancement des travaux, les délais devraient être respectés, en effet il ne reste pratiquement plus à réaliser que l'aménagement de l'extérieur. Les habitants de Douéra prient pour que rien ne vienne compromettre l' inauguration de ce centre commercial qui permettra à leur ville de respirer enfin, en plus des chance de postes de travail que ce projet leur offrira.