L'Autorité palestinienne s'est félicitée hier des déclarations du président américain Barack Obama, dans lesquelles il a réaffirmé la volonté de son pays à œuvrer pour la création d'un Etat palestinien. Ces déclarations de M. Obama "montrent le sérieux de la nouvelle administration américaine en ce qui concerne le processus de paix", a affirmé le porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas, Nabil Abou Roudeina. A ce propos, M. Abou Roudeina a souligné que la nouvelle administration américaine devrait adopter "une position claire exigeant l'arrêt de la colonisation (israélienne)" car, selon lui, elle peut exercer "des pressions sur Israël sur ce point et pour qu'il accepte un règlement basé sur deux Etats". Mardi, Barack Obama avait jugé "crucial" de progresser vers une "solution à deux Etats où Israéliens et Palestiniens puissent vivre en paix côte à côte, dans leurs Etats, en paix et en sécurité". Par ailleurs, M. Obama a reconnu que la nouvelle donne en Israël, où un cabinet de droite dirigé par le Benjamin Netanyahu, opposé à la création d'un Etat palestinien, doit être prochainement investi, n'allait pas simplifier le processus de paix avec les palestiniens. Depuis la reprise des négociations de paix israélo-palestiniennes en novembre 2007 à Annapolis (Etats-Unis), les Palestiniens et Israël ne sont pas parvenus à un accord sur les questions en suspens concernant notamment le statut d'El Qods occupée et le tracé des frontières. L'Autorité palestinienne s'est félicitée hier des déclarations du président américain Barack Obama, dans lesquelles il a réaffirmé la volonté de son pays à œuvrer pour la création d'un Etat palestinien. Ces déclarations de M. Obama "montrent le sérieux de la nouvelle administration américaine en ce qui concerne le processus de paix", a affirmé le porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas, Nabil Abou Roudeina. A ce propos, M. Abou Roudeina a souligné que la nouvelle administration américaine devrait adopter "une position claire exigeant l'arrêt de la colonisation (israélienne)" car, selon lui, elle peut exercer "des pressions sur Israël sur ce point et pour qu'il accepte un règlement basé sur deux Etats". Mardi, Barack Obama avait jugé "crucial" de progresser vers une "solution à deux Etats où Israéliens et Palestiniens puissent vivre en paix côte à côte, dans leurs Etats, en paix et en sécurité". Par ailleurs, M. Obama a reconnu que la nouvelle donne en Israël, où un cabinet de droite dirigé par le Benjamin Netanyahu, opposé à la création d'un Etat palestinien, doit être prochainement investi, n'allait pas simplifier le processus de paix avec les palestiniens. Depuis la reprise des négociations de paix israélo-palestiniennes en novembre 2007 à Annapolis (Etats-Unis), les Palestiniens et Israël ne sont pas parvenus à un accord sur les questions en suspens concernant notamment le statut d'El Qods occupée et le tracé des frontières.