Un accrochage entre Israéliens et Palestiniens a eu lieu à la suite de l'incursion de soldats israéliens dans la bande de Ghaza. C'est une énième provocation israélienne contre ce territoire meurtri et qui s'est soldée par la mort de trois résistants palestiniens. Un accrochage entre Israéliens et Palestiniens a eu lieu à la suite de l'incursion de soldats israéliens dans la bande de Ghaza. C'est une énième provocation israélienne contre ce territoire meurtri et qui s'est soldée par la mort de trois résistants palestiniens. Trois résistants palestiniens qui ont essayé de s'opposer à l'incursion d'une patrouille israélienne dans la bande de Ghaza ont été tués. Ils viennent s'ajouter à une liste de six autres Palestiniens qui ont été blessés mardi dernier. Ainsi, depuis la sauvage agression de 22 jours de Tsahal sur la bande de Ghaza qui a fait 1.330 victimes, des milliers de blessés et détruit toute l'infrastructure de ce territoire contrôlé par le mouvement islamiste Hamas, Israël n'a pas abandonné sa politique de provocation. Raids de l'aviation et tirs de roquettes se multiplient alors même que les points de passage demeurent toujours fermés, laissant la population de Ghaza sans approvisionnement en produits de première nécessité. L'information sur la mort des trois résistants a été communiquée par une source médicale. Selon le docteur Mouawiya Hassanein, chef du service des urgences dans la bande de Ghaza, les corps des trois résistants ont été récupérés par les services de secours après l'accrochage. Les échanges de tirs ont eu lieu lorsque les soldats israéliens sont entrés à l'intérieur du territoire palestinien par le Nord. Comme quoi, Israël poursuit toujours ses attaques contre les territoires palestiniens malgré les appels de la communauté internationale lui demandant de mettre un terme à la violence et de poursuivre le processus de paix. Les négociations qui ont été menés sous médiation égyptienne pour la conclusion d'une trêve demeurent sans suite. L'ancien gouvernement israélien dirigé par Ehud Olmert a exigé la libération du soldat Shalit en contrepartie de la réouverture des points de transit. Ce qui a amené le gouvernement dirigé par le Hamas dans la bande de Ghaza à exiger en contrepartie la libération des centaines de prisonniers palestiniens détenus dans les geôles israéliennes. Ehud Olmert a jugé cette demande inacceptable… Malgré sa volonté de conclure une trêve avant de céder le témoin à son successeur, il a préféré quitter la tête de l'Exécutif sur un échec plutôt que de satisfaire cette demande légitime des Palestiniens. Avec l'arrivée d'un gouvernement de droite à Tel-Aviv, on assiste à une surenchère condamnée par l'ensemble de la communauté internationale, notamment de la part de la nouvelle administration américaine dirigée par Barack Obama et sa chef de la diplomatie Hillary Clinton. Ce qui complique davantage la tâche de Barack Obama, ce sont les déclarations du dirigeant extrémiste de droite Avidgor Lieberman, nommé au poste de ministre des Affaires étrangères, et qui a rejeté le processus de paix dont la feuille de route a été tracée à Annapolis, dont la finalité est la création à terme d'un Etat palestinien et qui est soutenue par Barack Obama. Ce tribun populiste originaire de Moldavie, célèbre pour ses déclarations à l'emporte-pièce et ses sorties incendiaires contre les Arabes israéliens dont il doute de la loyauté à l'égard d'Israël, voudrait tous les bouter hors des frontières d'Israël. Ses déclarations jusqu'au-boutistes n'épargnent ni l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas ni un gouvernement arabe modéré comme l'Egypte, qui entretient pourtant des relations diplomatiques avec Tel-Aviv. Il reproche entre autres au président Hosni Moubarak de ne pas vouloir se rendre en visite officielle en Israël. En retour, les Egyptiens ne reconnaissent pas le chef de la diplomatie israélienne A. Lieberman, et ont déclaré que les contacts avec les Israéliens se feront désormais par l'intermédiaire du leader travailliste Ehud Barak, par ailleurs ministre de la Défense dans le gouvernement israélien. On peut dire que Lieberman est un personnage embarrassant qui a déjà maille à partir avec la justice de son pays pour des affaires de corruption. Trois résistants palestiniens qui ont essayé de s'opposer à l'incursion d'une patrouille israélienne dans la bande de Ghaza ont été tués. Ils viennent s'ajouter à une liste de six autres Palestiniens qui ont été blessés mardi dernier. Ainsi, depuis la sauvage agression de 22 jours de Tsahal sur la bande de Ghaza qui a fait 1.330 victimes, des milliers de blessés et détruit toute l'infrastructure de ce territoire contrôlé par le mouvement islamiste Hamas, Israël n'a pas abandonné sa politique de provocation. Raids de l'aviation et tirs de roquettes se multiplient alors même que les points de passage demeurent toujours fermés, laissant la population de Ghaza sans approvisionnement en produits de première nécessité. L'information sur la mort des trois résistants a été communiquée par une source médicale. Selon le docteur Mouawiya Hassanein, chef du service des urgences dans la bande de Ghaza, les corps des trois résistants ont été récupérés par les services de secours après l'accrochage. Les échanges de tirs ont eu lieu lorsque les soldats israéliens sont entrés à l'intérieur du territoire palestinien par le Nord. Comme quoi, Israël poursuit toujours ses attaques contre les territoires palestiniens malgré les appels de la communauté internationale lui demandant de mettre un terme à la violence et de poursuivre le processus de paix. Les négociations qui ont été menés sous médiation égyptienne pour la conclusion d'une trêve demeurent sans suite. L'ancien gouvernement israélien dirigé par Ehud Olmert a exigé la libération du soldat Shalit en contrepartie de la réouverture des points de transit. Ce qui a amené le gouvernement dirigé par le Hamas dans la bande de Ghaza à exiger en contrepartie la libération des centaines de prisonniers palestiniens détenus dans les geôles israéliennes. Ehud Olmert a jugé cette demande inacceptable… Malgré sa volonté de conclure une trêve avant de céder le témoin à son successeur, il a préféré quitter la tête de l'Exécutif sur un échec plutôt que de satisfaire cette demande légitime des Palestiniens. Avec l'arrivée d'un gouvernement de droite à Tel-Aviv, on assiste à une surenchère condamnée par l'ensemble de la communauté internationale, notamment de la part de la nouvelle administration américaine dirigée par Barack Obama et sa chef de la diplomatie Hillary Clinton. Ce qui complique davantage la tâche de Barack Obama, ce sont les déclarations du dirigeant extrémiste de droite Avidgor Lieberman, nommé au poste de ministre des Affaires étrangères, et qui a rejeté le processus de paix dont la feuille de route a été tracée à Annapolis, dont la finalité est la création à terme d'un Etat palestinien et qui est soutenue par Barack Obama. Ce tribun populiste originaire de Moldavie, célèbre pour ses déclarations à l'emporte-pièce et ses sorties incendiaires contre les Arabes israéliens dont il doute de la loyauté à l'égard d'Israël, voudrait tous les bouter hors des frontières d'Israël. Ses déclarations jusqu'au-boutistes n'épargnent ni l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas ni un gouvernement arabe modéré comme l'Egypte, qui entretient pourtant des relations diplomatiques avec Tel-Aviv. Il reproche entre autres au président Hosni Moubarak de ne pas vouloir se rendre en visite officielle en Israël. En retour, les Egyptiens ne reconnaissent pas le chef de la diplomatie israélienne A. Lieberman, et ont déclaré que les contacts avec les Israéliens se feront désormais par l'intermédiaire du leader travailliste Ehud Barak, par ailleurs ministre de la Défense dans le gouvernement israélien. On peut dire que Lieberman est un personnage embarrassant qui a déjà maille à partir avec la justice de son pays pour des affaires de corruption.