Louisa Hanoune assure qu'elle est «une femme politique sérieuse» qui ne peut avancer aucun chiffre et qui n'a pas manqué de dénoncer un sondage d'opinion publié par un quotidien national qu'elle qualifie d'«appel au boycott» Louisa Hanoune assure qu'elle est «une femme politique sérieuse» qui ne peut avancer aucun chiffre et qui n'a pas manqué de dénoncer un sondage d'opinion publié par un quotidien national qu'elle qualifie d'«appel au boycott» La candidate du PT (Parti des travailleurs) à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune, est convaincue qu'elle a, aujourd'hui, « rendez-vous avec l'histoire ». C'est du moins ce qu'elle a laissé entendre, au cours de la conférence de presse qu'elle a animée, hier au CIP (Centre international de presse) à Alger. La pasionaria du PT qui a sillonné les 4 coins du pays et tenu 45 meetings dans 45 wilayas dans le cadre de la campagne électorale pour le scrutin de la présidentielle, a senti «une ferme volonté des populations à prendre ses responsabilités», renforcée «par le serment de ne pas laisser l'occasion passer». La tendance générale, souligne-t-elle «est au déclic», soutenant que « la volonté du peuple est invincible » et qu' « il y a nécessité d'opérer la rupture avec le système du parti unique ». Nous participons à cette élection, «pour gagner, non pour partager le pouvoir, ni récolter des miettes », se disant « prêts à gouverner et à diriger le pays avec la mobilisation populaire ». La patronne du PT qui craint la fraude «met en garde contre la manipulation des voix» et suggère qu' «ils ne doivent pas briser cet élan national» pour ne pas «provoquer les jeunes, les ouvriers, les femmes», rappelant que la participation de sa formation politique aux précédentes consultations populaires avait pour objectifs majeurs d'«éviter la guerre civile, la sauvegarde de la République et le rétablissement de la paix». Estimant que les données ont changé, maintenant que la paix est revenue, la secrétaire générale du PT exige que «la parole soit donnée au peuple pour libérer le pays des contradictions qui existent au sommet de l'Etat», soutenant que «le PT est un vrai parti nationaliste et d'avenir» qui a combattu «la politique de la privatisation, la fermeture d'usines, la désertification industrielle et la vente des biens de la collectivité nationale» et qui aura «l'audace et le courage de réviser l' accord d'association avec l'UE, conclu lorsque le pays était fragilisé» et son refus d'adhérer à l'OMC, ne voyant pas « l'utilité de ces accords multilatéraux» que «ni le PT ni Louisa Hanoune n'ont signés», a-t-elle observé. Elle croit dur comme fer que «le socialisme» est la seule alternative, du fait que «le capitalisme est en faillite», soutenant : «Nous ne permettrons à personne de jouer avec les biens de la collectivité nationale». Priée de dire son appréciation sur le taux de participation à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune assure qu'elle est «une femme politique sérieuse» qui ne peut avancer aucun chiffre et qui n'a pas manqué de dénoncer un sondage d'opinion publié par un quotidien national qu'elle qualifie d'«appel au boycott» et exprime son «écœurement» à l'égard de la campagne électorale d'un candidat, se déclarant «fort de notre programme et de l'adhésion en force de la jeunesse». Elle égratigne au passage le FLN qui achète les «consciences» et tire profit «du nomadisme politique» et assure que ses positions envers la Charte pour la paix et la réconciliation nationale «n'ont pas changé». Néanmoins, elle souligne qu'il faut aller plus loin sur cette question en «libérant le dossier des contradictions», tirant les leçons pour refermer à jamais les portes devant les provocations étrangères. La candidate du PT (Parti des travailleurs) à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune, est convaincue qu'elle a, aujourd'hui, « rendez-vous avec l'histoire ». C'est du moins ce qu'elle a laissé entendre, au cours de la conférence de presse qu'elle a animée, hier au CIP (Centre international de presse) à Alger. La pasionaria du PT qui a sillonné les 4 coins du pays et tenu 45 meetings dans 45 wilayas dans le cadre de la campagne électorale pour le scrutin de la présidentielle, a senti «une ferme volonté des populations à prendre ses responsabilités», renforcée «par le serment de ne pas laisser l'occasion passer». La tendance générale, souligne-t-elle «est au déclic», soutenant que « la volonté du peuple est invincible » et qu' « il y a nécessité d'opérer la rupture avec le système du parti unique ». Nous participons à cette élection, «pour gagner, non pour partager le pouvoir, ni récolter des miettes », se disant « prêts à gouverner et à diriger le pays avec la mobilisation populaire ». La patronne du PT qui craint la fraude «met en garde contre la manipulation des voix» et suggère qu' «ils ne doivent pas briser cet élan national» pour ne pas «provoquer les jeunes, les ouvriers, les femmes», rappelant que la participation de sa formation politique aux précédentes consultations populaires avait pour objectifs majeurs d'«éviter la guerre civile, la sauvegarde de la République et le rétablissement de la paix». Estimant que les données ont changé, maintenant que la paix est revenue, la secrétaire générale du PT exige que «la parole soit donnée au peuple pour libérer le pays des contradictions qui existent au sommet de l'Etat», soutenant que «le PT est un vrai parti nationaliste et d'avenir» qui a combattu «la politique de la privatisation, la fermeture d'usines, la désertification industrielle et la vente des biens de la collectivité nationale» et qui aura «l'audace et le courage de réviser l' accord d'association avec l'UE, conclu lorsque le pays était fragilisé» et son refus d'adhérer à l'OMC, ne voyant pas « l'utilité de ces accords multilatéraux» que «ni le PT ni Louisa Hanoune n'ont signés», a-t-elle observé. Elle croit dur comme fer que «le socialisme» est la seule alternative, du fait que «le capitalisme est en faillite», soutenant : «Nous ne permettrons à personne de jouer avec les biens de la collectivité nationale». Priée de dire son appréciation sur le taux de participation à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune assure qu'elle est «une femme politique sérieuse» qui ne peut avancer aucun chiffre et qui n'a pas manqué de dénoncer un sondage d'opinion publié par un quotidien national qu'elle qualifie d'«appel au boycott» et exprime son «écœurement» à l'égard de la campagne électorale d'un candidat, se déclarant «fort de notre programme et de l'adhésion en force de la jeunesse». Elle égratigne au passage le FLN qui achète les «consciences» et tire profit «du nomadisme politique» et assure que ses positions envers la Charte pour la paix et la réconciliation nationale «n'ont pas changé». Néanmoins, elle souligne qu'il faut aller plus loin sur cette question en «libérant le dossier des contradictions», tirant les leçons pour refermer à jamais les portes devant les provocations étrangères.