Moussa Touati s'est dit être en faveur d'un régime parlementaire qui consacre «le pouvoir du peuple». Comme la plupart des candidats, il a fait du changement un leitmotiv. Moussa Touati s'est dit être en faveur d'un régime parlementaire qui consacre «le pouvoir du peuple». Comme la plupart des candidats, il a fait du changement un leitmotiv. La participation du président du FNA à la course pour cette élection présidentielle a certainement un goût de revanche pour ce natif de la ville de Beni Slimane (wilaya de Médéa). La candidature de Moussa Touati aux élections presidentielles d'avril 2004 n'a pas, en effet, été avalisée par le Conseil constitutionnel. Cette fois-ci, ce fils de chahid, né en 1953, a pu souscrire à toutes les conditions requises pour se présenter à cette élection. C'est qu'entre temps, Touati et son parti ont pris des galons. Le FNA est en effet présent dans toutes les assemblées élues. A l'APN il est représenté par une quinzaine de députés alors que dans les assemblées locales (APC, APW), il dispose d'un peu plus de 1.800 élus. Aux élections locales de 2007, il a crée la surprise en surclassant le MSP et le PT. Ce parti s'est classé en troisième position juste derrière le FLN et le RND. Pourtant, Moussa Touati, qui ne manque pas d'ambition comme l'atteste si bien sa présence à ce scrutin, n'est pas satisfait de cette position. En tout cas, lors de la campagne électorale, il n'a pas hésité à revendiquer des élections anticipées. Le candidat Touati a fait de la dissolution de l'APN (Assemblée populaire nationale) un des thèmes majeurs de sa campagne électorale. « Cette assemblée n'est pas légitime car elle est en porte à faux avec les intérêts du peuple » a-t-il souvent clamé. Le candidat Touati s'est dit être en faveur d'un régime parlementaire qui consacre « le pouvoir du peuple ». Comme la plupart des candidats, il a fait du changement un leitmotiv. « Il est temps de provoquer le changement » est une formule qu'il a souvent employée, notamment lorsqu'il voulait séduire l'électorat juvénile. Car il a courtisé sans cesse les jeunes qui sont «le véritable capital du pays ». C'est pourquoi il a proposé la reforme du service national. Moussa Toauti, ou le «candidat des zaoulia» (les pauvres), comme il aime à se présenter, a inscrit en bonne place dans son programme électoral l'instauration d'un Etat de droit qui consacre l'équité et la justice sociale. La participation du président du FNA à la course pour cette élection présidentielle a certainement un goût de revanche pour ce natif de la ville de Beni Slimane (wilaya de Médéa). La candidature de Moussa Touati aux élections presidentielles d'avril 2004 n'a pas, en effet, été avalisée par le Conseil constitutionnel. Cette fois-ci, ce fils de chahid, né en 1953, a pu souscrire à toutes les conditions requises pour se présenter à cette élection. C'est qu'entre temps, Touati et son parti ont pris des galons. Le FNA est en effet présent dans toutes les assemblées élues. A l'APN il est représenté par une quinzaine de députés alors que dans les assemblées locales (APC, APW), il dispose d'un peu plus de 1.800 élus. Aux élections locales de 2007, il a crée la surprise en surclassant le MSP et le PT. Ce parti s'est classé en troisième position juste derrière le FLN et le RND. Pourtant, Moussa Touati, qui ne manque pas d'ambition comme l'atteste si bien sa présence à ce scrutin, n'est pas satisfait de cette position. En tout cas, lors de la campagne électorale, il n'a pas hésité à revendiquer des élections anticipées. Le candidat Touati a fait de la dissolution de l'APN (Assemblée populaire nationale) un des thèmes majeurs de sa campagne électorale. « Cette assemblée n'est pas légitime car elle est en porte à faux avec les intérêts du peuple » a-t-il souvent clamé. Le candidat Touati s'est dit être en faveur d'un régime parlementaire qui consacre « le pouvoir du peuple ». Comme la plupart des candidats, il a fait du changement un leitmotiv. « Il est temps de provoquer le changement » est une formule qu'il a souvent employée, notamment lorsqu'il voulait séduire l'électorat juvénile. Car il a courtisé sans cesse les jeunes qui sont «le véritable capital du pays ». C'est pourquoi il a proposé la reforme du service national. Moussa Toauti, ou le «candidat des zaoulia» (les pauvres), comme il aime à se présenter, a inscrit en bonne place dans son programme électoral l'instauration d'un Etat de droit qui consacre l'équité et la justice sociale.