Joint hier par téléphone, le candidat indépendant à l'élection présidentielle du 9 avril et leader du parti pour la Justice et la Liberté, en l'occurrence Mohamed Saïd, a affirmé au Midi Libre qu'il présentera le dossier d'agrément de son parti à la fin de la semaine prochaine. «Pour ce qui est de l'évaluation de l'élection présidentielle, je n'ai pas de déclaration à faire, car cela a déjà été fait. Mais, concernant le parti, il suit normalement son cours et je déposerai le dossier d'agrément au ministère de l'Intérieur à la fin de la semaine prochaine. Une fois que cela sera réglé avec les autorités concernées, je ferai parvenir un communiqué à la presse», a-t-il déclaré. Ayant réussi à galvaniser une foule compacte, durant le long et pénible périple de sa campagne électorale, avec son verbe rassembleur et ce en dépit du fait qu'il avait peu de chances de briguer l'investiture suprême en raison du rapport de force incommensurable et disproportionné avec le candidat sortant, réélu président pour un troisième mandat consécutif, Mohamed Saïd savait, en fait, pertinemment bien qu'il partait battu à l'avance. Les raisons l'ayant poussé à raisonner de cette façon-là résident «dans l'observation des énormes moyens financiers et logistiques utilisés par le président et le rôle partial joué par l'administration présageaient, à l'avance, l'issue du scrutin». Mais, Mohamed Saïd a été le premier candidat à adresser, diplomatiquement et avec déférence, ses félicitations à Abdelaziz Bouteflika à la suite de sa réélection à la magistrature suprême en reconnaissant sa défaite Cela signifie que le candidat du parti de la Justice et de la Liberté a tout simplement présenté ses civilités au candidat favori ayant recueilli 90,24 % des voix avec le taux historique de participation de plus de 74 %. Toutefois, Mohamed Saïd ne va pas, bien entendu abdiquer, au contraire, il va continuer à animer la scène politique avec ses sorties tonitruantes et ses meetings magistralement façonnés. Il contribuera donc efficacement, inlassablement et activement à la vie politique et démocratique du pays. Joint hier par téléphone, le candidat indépendant à l'élection présidentielle du 9 avril et leader du parti pour la Justice et la Liberté, en l'occurrence Mohamed Saïd, a affirmé au Midi Libre qu'il présentera le dossier d'agrément de son parti à la fin de la semaine prochaine. «Pour ce qui est de l'évaluation de l'élection présidentielle, je n'ai pas de déclaration à faire, car cela a déjà été fait. Mais, concernant le parti, il suit normalement son cours et je déposerai le dossier d'agrément au ministère de l'Intérieur à la fin de la semaine prochaine. Une fois que cela sera réglé avec les autorités concernées, je ferai parvenir un communiqué à la presse», a-t-il déclaré. Ayant réussi à galvaniser une foule compacte, durant le long et pénible périple de sa campagne électorale, avec son verbe rassembleur et ce en dépit du fait qu'il avait peu de chances de briguer l'investiture suprême en raison du rapport de force incommensurable et disproportionné avec le candidat sortant, réélu président pour un troisième mandat consécutif, Mohamed Saïd savait, en fait, pertinemment bien qu'il partait battu à l'avance. Les raisons l'ayant poussé à raisonner de cette façon-là résident «dans l'observation des énormes moyens financiers et logistiques utilisés par le président et le rôle partial joué par l'administration présageaient, à l'avance, l'issue du scrutin». Mais, Mohamed Saïd a été le premier candidat à adresser, diplomatiquement et avec déférence, ses félicitations à Abdelaziz Bouteflika à la suite de sa réélection à la magistrature suprême en reconnaissant sa défaite Cela signifie que le candidat du parti de la Justice et de la Liberté a tout simplement présenté ses civilités au candidat favori ayant recueilli 90,24 % des voix avec le taux historique de participation de plus de 74 %. Toutefois, Mohamed Saïd ne va pas, bien entendu abdiquer, au contraire, il va continuer à animer la scène politique avec ses sorties tonitruantes et ses meetings magistralement façonnés. Il contribuera donc efficacement, inlassablement et activement à la vie politique et démocratique du pays.