Sidi Saïd et les douze autres membres du staff dirigeant de la centrale syndicale se pencheront autant sur les préparatifs des festivités du 1er Mai, que sur le bilan de la participation de l'UGTA à l'élection présidentielle pour laquelle elle a mené campagne en faveur du président-candidat, Abdelaziz Bouteflika, réélu. Sidi Saïd et les douze autres membres du staff dirigeant de la centrale syndicale se pencheront autant sur les préparatifs des festivités du 1er Mai, que sur le bilan de la participation de l'UGTA à l'élection présidentielle pour laquelle elle a mené campagne en faveur du président-candidat, Abdelaziz Bouteflika, réélu. Le secrétaire général de l'UGTA a convoqué les membres du secrétariat national pour une réunion qui aura lieu aujourd'hui dans l'après midi au siège du syndicat. Deux questions seront au menu de cette rencontre, avons- nous appris hier de sources syndicales. En effet contexte politique et social oblige, Sidi Said et les douze autres membres du staff dirigeant de la centrale syndicale se pencheront autant sur les préparatifs des festivités du 1er mai, qui auront lieu cette année dans la wilaya de Jijel, que sur le bilan de la participation de l'UGTA à l'élection présidentielle pour laquelle elle a mené campagne en faveur du président candidat, Abdelaziz Bouteflika, réélu, faut-il le rappeler avec une écrasante majorité. Mais même si les dossiers brûlants ne seront pas sur la table des discussions aujourd'hui, le nouveau gouvernement n'ayant pas encore été nommé par le chef de l'Etat; il n'en reste pas moins qu'à la centrale syndicale on y pense avec force. De lourds dossiers, en effet, attendent d'être examinés par les responsables de la centrale syndicale. Il s'agirait principalement des dossiers relatifs au SNMG et la tripartite, du régime indemnitaire, des statuts particuliers des personnels de la fonction publique, de la fronde qui caractérise le front social et bien d'autres questions aussi qui préoccupent au plus haut degré le syndicat. Pour le SNMG (salaire national minimum garanti), que le président de la république s'est engagé le 24 février dernier à partir d'Arzew à réévaluer, la centrale syndicale voudrait sans doute arracher une augmentation conséquente. Dans le cadre de la tripartite, dont tout porte à croire qu'elle se tiendra à la rentrée sociale, les négociateurs de l'UGTA voudraient, au minimum, porter le SNMG à hauteur de 15.000 DA alors qu'il est de 12.000 DA actuellement. Il en est de même pour les négociations sur le nouveau régime indemnitaire des personnels de la fonction publique. Ce dossier n'a pas encore été abordé car il est lié à la question des statuts particuliers. Jusqu'à ce jour la majorité de ces statuts particuliers n'ont pas encore été élaborés, ce qui n'a fait que rajouter à la grogne des fonctionnaires et des travailleurs du secteur de la fonction publique qui s'impatiente de plus en plus. Entamées depuis l'année dernière les négociations entre les syndicats et les ministères et autres institutions publiques achoppent encore sur de nombreux points et, sur les 45 statuts particuliers, moins de 20 statuts seulement ont été élaborés et adoptés par le gouvernement. Ce dernier a décidé l'élaboration de l'ensemble des statuts particuliers. Une position qui a fait des gorges chaudes au sein des syndicats qui voudraient ouvrir parallèlement aussi les négociations sur le nouveau régime indemnitaire. C'est dire que face à cette «inertie » qui alimente la grogne et provoque des grèves cycliques, la centrale syndicale est appelée à faire pression sur le gouvernement pour hâter le processus et apaiser le front social. Car, si de nombreux syndicats, sur intervention express de Sidi Said, ont calmé le jeu et mis fin à des mouvements de débrayage pour cause de conjoncture politique marquée par la campagne électorale pour l'élection présidentielle du 9 avril passé, il n'est pas dit que cette trêve va être reconduite, loin s'en faut. Les cheminots et les dockers d'Alger, les travailleurs d'Arcelor Mitall Steel, pour ne citer que ceux-là, ont promis de revenir à la charge si Sidi Said, qui a promis de porter leurs préoccupations aux plus hautes autorités, ne tient pas ses engagements. En somme l'UGTA est appelé dés à présent à préparer les conditions les meilleures, pour que la rentrée sociale ne soit pas explosive. Une tache très ardue, qui donne moult soucis à Sidi Said et aux autres membres du secrétariat national de l'UGTA. Le secrétaire général de l'UGTA a convoqué les membres du secrétariat national pour une réunion qui aura lieu aujourd'hui dans l'après midi au siège du syndicat. Deux questions seront au menu de cette rencontre, avons- nous appris hier de sources syndicales. En effet contexte politique et social oblige, Sidi Said et les douze autres membres du staff dirigeant de la centrale syndicale se pencheront autant sur les préparatifs des festivités du 1er mai, qui auront lieu cette année dans la wilaya de Jijel, que sur le bilan de la participation de l'UGTA à l'élection présidentielle pour laquelle elle a mené campagne en faveur du président candidat, Abdelaziz Bouteflika, réélu, faut-il le rappeler avec une écrasante majorité. Mais même si les dossiers brûlants ne seront pas sur la table des discussions aujourd'hui, le nouveau gouvernement n'ayant pas encore été nommé par le chef de l'Etat; il n'en reste pas moins qu'à la centrale syndicale on y pense avec force. De lourds dossiers, en effet, attendent d'être examinés par les responsables de la centrale syndicale. Il s'agirait principalement des dossiers relatifs au SNMG et la tripartite, du régime indemnitaire, des statuts particuliers des personnels de la fonction publique, de la fronde qui caractérise le front social et bien d'autres questions aussi qui préoccupent au plus haut degré le syndicat. Pour le SNMG (salaire national minimum garanti), que le président de la république s'est engagé le 24 février dernier à partir d'Arzew à réévaluer, la centrale syndicale voudrait sans doute arracher une augmentation conséquente. Dans le cadre de la tripartite, dont tout porte à croire qu'elle se tiendra à la rentrée sociale, les négociateurs de l'UGTA voudraient, au minimum, porter le SNMG à hauteur de 15.000 DA alors qu'il est de 12.000 DA actuellement. Il en est de même pour les négociations sur le nouveau régime indemnitaire des personnels de la fonction publique. Ce dossier n'a pas encore été abordé car il est lié à la question des statuts particuliers. Jusqu'à ce jour la majorité de ces statuts particuliers n'ont pas encore été élaborés, ce qui n'a fait que rajouter à la grogne des fonctionnaires et des travailleurs du secteur de la fonction publique qui s'impatiente de plus en plus. Entamées depuis l'année dernière les négociations entre les syndicats et les ministères et autres institutions publiques achoppent encore sur de nombreux points et, sur les 45 statuts particuliers, moins de 20 statuts seulement ont été élaborés et adoptés par le gouvernement. Ce dernier a décidé l'élaboration de l'ensemble des statuts particuliers. Une position qui a fait des gorges chaudes au sein des syndicats qui voudraient ouvrir parallèlement aussi les négociations sur le nouveau régime indemnitaire. C'est dire que face à cette «inertie » qui alimente la grogne et provoque des grèves cycliques, la centrale syndicale est appelée à faire pression sur le gouvernement pour hâter le processus et apaiser le front social. Car, si de nombreux syndicats, sur intervention express de Sidi Said, ont calmé le jeu et mis fin à des mouvements de débrayage pour cause de conjoncture politique marquée par la campagne électorale pour l'élection présidentielle du 9 avril passé, il n'est pas dit que cette trêve va être reconduite, loin s'en faut. Les cheminots et les dockers d'Alger, les travailleurs d'Arcelor Mitall Steel, pour ne citer que ceux-là, ont promis de revenir à la charge si Sidi Said, qui a promis de porter leurs préoccupations aux plus hautes autorités, ne tient pas ses engagements. En somme l'UGTA est appelé dés à présent à préparer les conditions les meilleures, pour que la rentrée sociale ne soit pas explosive. Une tache très ardue, qui donne moult soucis à Sidi Said et aux autres membres du secrétariat national de l'UGTA.