La tribunal pénal près la cour d'Alger rouvrira, le 27 mai prochain, le dossier relatif à l'affaire du piratage des lignes téléphonique de plusieurs institutions de l'Etat par des étudiants palestiniens, des sociétés d'importation étrangères installées en Algérie et le chauffeur de l'ambassadeur d'Iraq en Algérie, avec l'aide de certains cadres d'Algérie télécom. L'affaire qui a fait perdre des milliards de dinars à Algérie Télécom a déjà été examinée par la cour d'Alger en 2008, mais elle a été reportée pour sa complication vu le nombre de personnes liées à cette affaire. Le dossier porte sur l'utilisation de certaines personnes de leurs « postes » comme cadres à Algérie Télécom pour pirater des lignes téléphonique et les transférer au profit des accusés cités ou des membres de leurs familles. Ceux-ci passent des appels internationaux sur le compte d'autre personnes et des établissements étatiques tel que le Palais du gouvernement, Sonatrach et plusieurs ambassades étrangères en Algérie, cela avec l'aide de 22 cadres d'Algérie Télécom, notamment ceux de l'agence d'Hussein Dey. L'affaire sera réexaminée au cours de cette nouvelle session criminelle après avoir été reportée pour absence de trois accusés. Ils sont écroués aux centres de détention de Berrouaghia et Chlef. Les prévenus sont poursuivis pour détournement de fonds publics et utilisation de la fonction à des fins personnelles et aussi d'utilisation illégale du réseau téléphonique. Pour rappel, en 2008, la cour les a condamnés à des peines allant de un à dix ans de prison ferme, mais les jugements n'ont pas été exécutés. L'affaire remonte à l'année 2000, lors du passage du système de l'analogique au numérique ce qui a facilité aux techniciens accusés dans cette affaire le piratage des lignes. Le piratage des lignes de plusieurs abonnées durera près de cinq ans. Pour rappel, le pot aux roses a été découvert en 2005 suite à une réclamation pour surfacturation de l'ambassade d'Argentine La tribunal pénal près la cour d'Alger rouvrira, le 27 mai prochain, le dossier relatif à l'affaire du piratage des lignes téléphonique de plusieurs institutions de l'Etat par des étudiants palestiniens, des sociétés d'importation étrangères installées en Algérie et le chauffeur de l'ambassadeur d'Iraq en Algérie, avec l'aide de certains cadres d'Algérie télécom. L'affaire qui a fait perdre des milliards de dinars à Algérie Télécom a déjà été examinée par la cour d'Alger en 2008, mais elle a été reportée pour sa complication vu le nombre de personnes liées à cette affaire. Le dossier porte sur l'utilisation de certaines personnes de leurs « postes » comme cadres à Algérie Télécom pour pirater des lignes téléphonique et les transférer au profit des accusés cités ou des membres de leurs familles. Ceux-ci passent des appels internationaux sur le compte d'autre personnes et des établissements étatiques tel que le Palais du gouvernement, Sonatrach et plusieurs ambassades étrangères en Algérie, cela avec l'aide de 22 cadres d'Algérie Télécom, notamment ceux de l'agence d'Hussein Dey. L'affaire sera réexaminée au cours de cette nouvelle session criminelle après avoir été reportée pour absence de trois accusés. Ils sont écroués aux centres de détention de Berrouaghia et Chlef. Les prévenus sont poursuivis pour détournement de fonds publics et utilisation de la fonction à des fins personnelles et aussi d'utilisation illégale du réseau téléphonique. Pour rappel, en 2008, la cour les a condamnés à des peines allant de un à dix ans de prison ferme, mais les jugements n'ont pas été exécutés. L'affaire remonte à l'année 2000, lors du passage du système de l'analogique au numérique ce qui a facilité aux techniciens accusés dans cette affaire le piratage des lignes. Le piratage des lignes de plusieurs abonnées durera près de cinq ans. Pour rappel, le pot aux roses a été découvert en 2005 suite à une réclamation pour surfacturation de l'ambassade d'Argentine