La réunion du Conseil de sécurité onusien, à l'initiative de Moscou, se tiendra au niveau ministériel, avec pour principal objectif de réaffirmer l'urgence de réactiver le processus de paix proche-oriental, dans l'impasse depuis des mois. Le processus de paix mis à mal par Israël suscite l'action du Conseil de sécurité. Le processus de paix au Proche-Orient, mis à mal par la politique dilatoire et agressive de l'occupant israélien, a suscité une nouvelle action du Conseil de sécurité des Nations unies, qui va tenir une réunion lundi à New York dans une nouvelle tentative de le réactiver et de résoudre le conflit israélo-palestinien, actuellement dans l'impasse. La réunion du Conseil de sécurité onusien, à l'initiative de Moscou, se tiendra au niveau ministériel, avec pour principal objectif de réaffirmer l'urgence de réactiver le processus de paix proche-oriental, dans l'impasse depuis des mois. Il a été mis à mal par la politique dilatoire et agressive de l'occupant israélien des terres arabes, qui refuse notamment de poursuivre les négociations de paix avec les Palestiniens, relancées en novembre 2007 à Annapolis (Etats-Unis). A propos du processus de règlement du conflit israélo-palestinien, Israël refuse d'engager un quelconque dialogue avec la partie palestinienne, ayant trait au statut final, écartant la solution de règlement à deux Etats, israélien et palestinien vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, mentionnée dans le plan arabe de paix et favorablement accueillie par la communauté internationale. Or, le nouveau Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui a succédé à Ehud Olmert à l'issue des législatives israéliennes, a jusqu'ici ignorés tous les résultats des accords de paix, conclus à ce jour, écartant la création d'un Etat palestinien, et entravant de ce fait, la reprise des négociations concernant un accord sur un statut définitif. Par son initiative pour l'aboutissement de la paix Proche-Orient, la Russie vise à obtenir une déclaration consensuelle du Conseil de sécurité qui réaffirmerait certains principes de base, notamment la solution des deux Etats. Elle a fait circuler un projet de texte qui souligne «l'urgence» de parvenir à un règlement sur cette base et la nécessité d'une «action diplomatique vigoureuse» pour y parvenir. Selon l'ambassadeur russe à l'Onu, Vitaly Tchourkine, la Russie veut profiter de son tour, ce mois-ci, à la présidence tournante du Conseil de sécurité pour «donner, par l'intermédiaire de l'ONU, un nouvel élan au processus de paix» dans la région, dans l'impasse depuis des mois. La réunion, qui consistera en un débat public, regroupera les chefs de diplomatie des quinze Etats membres du Conseil, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, sans la participation de représentants palestinien ou israélien. Le débat, qui sera présidé par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, rassemblera notamment les chefs de la diplomatie britannique, David Miliband, français, Bernard Kouchner, turc Ahmet Davutoglu et leurs autrichien et costaricien. La Chine sera représentée par un vice-ministre et les Etats-Unis par leur ambassadrice à l'Onu, Susan Rice, qui a rang de ministre. Le processus de paix mis à mal par Israël suscite l'action du Conseil de sécurité. Selon un diplomate occidental, cité par des médias, la réunion du Conseil de sécurité arrive alors que la nouvelle administration américaine de Barack Obama n'a pas encore arrêté les détails de sa politique au Proche-Orient. Le président Obama a fait de la résolution du problème israélo-palestinien, l'une de ses hautes priorités en matière de politique étrangère et répète inlassablement qu'une solution du conflit passe par la création d'un Etat palestinien. M. Obama a de surcroît pris l'initiative, qualifiée de «courageuse» par la Russie, d'inviter le chef du cabinet israélien aux Etats-Unis, le président palestinien Mahmoud Abbas et le président égyptien Hosni Moubarak. Ces visites doivent se dérouler dans les semaines qui viennent. Après avoir évoqué, pour leur part, les derniers développements de la question palestinienne et du conflit arabo-israélien, les ministres arabes des Affaires étrangères ont à l'issue d'une récente réunion extraordinaire au Caire, rappelé que la réalisation de la paix et de la stabilité dans la région passe par une solution définitive de ce conflit, et ont salué l'engagement de la nouvelle administration américaine pour la solution de deux Etats. Les chefs de diplomatie arabes ont réitéré leur soutien à la partie palestinienne qui exige la fin de toutes les activités de colonisation et le respect des engagements inscrits dans les précédents accords pour revenir à la table des négociations. La réunion du Conseil de sécurité onusien, à l'initiative de Moscou, se tiendra au niveau ministériel, avec pour principal objectif de réaffirmer l'urgence de réactiver le processus de paix proche-oriental, dans l'impasse depuis des mois. Le processus de paix mis à mal par Israël suscite l'action du Conseil de sécurité. Le processus de paix au Proche-Orient, mis à mal par la politique dilatoire et agressive de l'occupant israélien, a suscité une nouvelle action du Conseil de sécurité des Nations unies, qui va tenir une réunion lundi à New York dans une nouvelle tentative de le réactiver et de résoudre le conflit israélo-palestinien, actuellement dans l'impasse. La réunion du Conseil de sécurité onusien, à l'initiative de Moscou, se tiendra au niveau ministériel, avec pour principal objectif de réaffirmer l'urgence de réactiver le processus de paix proche-oriental, dans l'impasse depuis des mois. Il a été mis à mal par la politique dilatoire et agressive de l'occupant israélien des terres arabes, qui refuse notamment de poursuivre les négociations de paix avec les Palestiniens, relancées en novembre 2007 à Annapolis (Etats-Unis). A propos du processus de règlement du conflit israélo-palestinien, Israël refuse d'engager un quelconque dialogue avec la partie palestinienne, ayant trait au statut final, écartant la solution de règlement à deux Etats, israélien et palestinien vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, mentionnée dans le plan arabe de paix et favorablement accueillie par la communauté internationale. Or, le nouveau Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui a succédé à Ehud Olmert à l'issue des législatives israéliennes, a jusqu'ici ignorés tous les résultats des accords de paix, conclus à ce jour, écartant la création d'un Etat palestinien, et entravant de ce fait, la reprise des négociations concernant un accord sur un statut définitif. Par son initiative pour l'aboutissement de la paix Proche-Orient, la Russie vise à obtenir une déclaration consensuelle du Conseil de sécurité qui réaffirmerait certains principes de base, notamment la solution des deux Etats. Elle a fait circuler un projet de texte qui souligne «l'urgence» de parvenir à un règlement sur cette base et la nécessité d'une «action diplomatique vigoureuse» pour y parvenir. Selon l'ambassadeur russe à l'Onu, Vitaly Tchourkine, la Russie veut profiter de son tour, ce mois-ci, à la présidence tournante du Conseil de sécurité pour «donner, par l'intermédiaire de l'ONU, un nouvel élan au processus de paix» dans la région, dans l'impasse depuis des mois. La réunion, qui consistera en un débat public, regroupera les chefs de diplomatie des quinze Etats membres du Conseil, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, sans la participation de représentants palestinien ou israélien. Le débat, qui sera présidé par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, rassemblera notamment les chefs de la diplomatie britannique, David Miliband, français, Bernard Kouchner, turc Ahmet Davutoglu et leurs autrichien et costaricien. La Chine sera représentée par un vice-ministre et les Etats-Unis par leur ambassadrice à l'Onu, Susan Rice, qui a rang de ministre. Le processus de paix mis à mal par Israël suscite l'action du Conseil de sécurité. Selon un diplomate occidental, cité par des médias, la réunion du Conseil de sécurité arrive alors que la nouvelle administration américaine de Barack Obama n'a pas encore arrêté les détails de sa politique au Proche-Orient. Le président Obama a fait de la résolution du problème israélo-palestinien, l'une de ses hautes priorités en matière de politique étrangère et répète inlassablement qu'une solution du conflit passe par la création d'un Etat palestinien. M. Obama a de surcroît pris l'initiative, qualifiée de «courageuse» par la Russie, d'inviter le chef du cabinet israélien aux Etats-Unis, le président palestinien Mahmoud Abbas et le président égyptien Hosni Moubarak. Ces visites doivent se dérouler dans les semaines qui viennent. Après avoir évoqué, pour leur part, les derniers développements de la question palestinienne et du conflit arabo-israélien, les ministres arabes des Affaires étrangères ont à l'issue d'une récente réunion extraordinaire au Caire, rappelé que la réalisation de la paix et de la stabilité dans la région passe par une solution définitive de ce conflit, et ont salué l'engagement de la nouvelle administration américaine pour la solution de deux Etats. Les chefs de diplomatie arabes ont réitéré leur soutien à la partie palestinienne qui exige la fin de toutes les activités de colonisation et le respect des engagements inscrits dans les précédents accords pour revenir à la table des négociations.