Louisa Hanoune, farouche partisane de la dissolution de l'Assemblée populaire nationale (APN), n'a pas du tout apprécié les dernières déclarations de Abdelaziz Ziari, lequel s'est opposé à cette option et n'a pas hésité à lancer de nombreuses piques à ce parti. Louisa Hanoune, farouche partisane de la dissolution de l'Assemblée populaire nationale (APN), n'a pas du tout apprécié les dernières déclarations de Abdelaziz Ziari, lequel s'est opposé à cette option et n'a pas hésité à lancer de nombreuses piques à ce parti. Décidément la polémique s'est bel et bien installée entre le président de l'APN et la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT). Louisa Hanoune, farouche partisane de la dissolution de l'Assemblée populaire nationale (APN), n'a pas du tout apprécié les dernières déclarations de Abdelaziz Ziari lequel s'est opposé à cette option et n'a pas hésité à lancer de nombreuses piques à ce parti. La passionaria de la scène politique nationale était hier dans tous ses états en indiquant que «Ziari a dépassé les lignes rouges». «Normalement un homme d'Etat est tenu de respecter l'obligation de réserve», a-t-elle fait remarquer, en effet, lors d'une conférence de presse consacrée presque exclusivement à cette question. Pour rappel le président de l'APN a déclaré vendredi dernier sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale, dont il était l'invité dans le cadre de l'émission «En toute franchise» que «la dissolution de l'APN n'est pas à l'ordre du jour et n'a même jamais été envisagée un seul instant (…) La dissolution de l'Assemblée est une question qui, franchement, ne présente aucun intérêt dans l'état actuel des choses. Croyez-moi ce n'est absolument pas un problème à poser actuellement». Mais ce ne sont certainement pas ces propos qui ont suscité la colère de Louisa Hanoune puisque l'invité de la radio à quelque peu égratigné la première responsable du PT. Selon Ziari «on ne dissout pas une Assemblée parce qu'un parti politique à des problèmes internes». C'est sûrement cette phrase et l'annonce par Ziari que le PT, qui au départ de la législature avait 26 députés et ne disposerait , actuellement, que de 13 suite à une cascade de démissions, qui a le plus courroucé la dame du Parti des travailleurs. Louisa Hanoune a même présenté un projet de loi dans le but de mettre un terme au nomadisme politique, mais en vain. Même sur ce plan Ziari a égratigné Louisa Hanoune en estimant que le député à un mandat national et ne doit, par conséquent, être redevable qu'aux électeurs qui l'ont élu et nullement au parti sur la liste duquel il a été élu. «Il ne peut être juge et partie car il ne pense qu'a protéger son poste. Il ne veut pas perdre sa fonction», a encore tonnée hier la secrétaire générale du PT pour laquelle les déclarations du président d l'APN relèvent plutôt «de pratiques hégémoniques. On dirait que c'est le secrétaire d'une kasma FLN des années 70». La conférencière, qui a souligné que «c'est l'Assemblée la plus mal élue depuis l'Indépendance» a farouchement défendu sa revendication de dissolution de l' APN. Elle dira en outre que de nombreuses personnalités, y compris nombre de députés, sont on ne peut plus favorables à cette option. «Seuls les députés qui représentent les lobbies et qui ont acheté leur mandat sont en faveur du maintien de l'assemblée », a-t-elle encore soutenu en qualifiant ces députés de «députés taiwan». Cependant Louisa Hanoune, qui a annoncé sa volonté d'interpeller le président de la République et d'initier une opération de collecte de signatures pour appuyer sa revendication, a écarté toute éventualité de se retirer de cette Assemblée car, a-t-elle, indiqué, «le mandat de député est national et c'est de l'intérieur de l'Assemblée que l'on va se battre pour le changement». Décidément la polémique s'est bel et bien installée entre le président de l'APN et la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT). Louisa Hanoune, farouche partisane de la dissolution de l'Assemblée populaire nationale (APN), n'a pas du tout apprécié les dernières déclarations de Abdelaziz Ziari lequel s'est opposé à cette option et n'a pas hésité à lancer de nombreuses piques à ce parti. La passionaria de la scène politique nationale était hier dans tous ses états en indiquant que «Ziari a dépassé les lignes rouges». «Normalement un homme d'Etat est tenu de respecter l'obligation de réserve», a-t-elle fait remarquer, en effet, lors d'une conférence de presse consacrée presque exclusivement à cette question. Pour rappel le président de l'APN a déclaré vendredi dernier sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale, dont il était l'invité dans le cadre de l'émission «En toute franchise» que «la dissolution de l'APN n'est pas à l'ordre du jour et n'a même jamais été envisagée un seul instant (…) La dissolution de l'Assemblée est une question qui, franchement, ne présente aucun intérêt dans l'état actuel des choses. Croyez-moi ce n'est absolument pas un problème à poser actuellement». Mais ce ne sont certainement pas ces propos qui ont suscité la colère de Louisa Hanoune puisque l'invité de la radio à quelque peu égratigné la première responsable du PT. Selon Ziari «on ne dissout pas une Assemblée parce qu'un parti politique à des problèmes internes». C'est sûrement cette phrase et l'annonce par Ziari que le PT, qui au départ de la législature avait 26 députés et ne disposerait , actuellement, que de 13 suite à une cascade de démissions, qui a le plus courroucé la dame du Parti des travailleurs. Louisa Hanoune a même présenté un projet de loi dans le but de mettre un terme au nomadisme politique, mais en vain. Même sur ce plan Ziari a égratigné Louisa Hanoune en estimant que le député à un mandat national et ne doit, par conséquent, être redevable qu'aux électeurs qui l'ont élu et nullement au parti sur la liste duquel il a été élu. «Il ne peut être juge et partie car il ne pense qu'a protéger son poste. Il ne veut pas perdre sa fonction», a encore tonnée hier la secrétaire générale du PT pour laquelle les déclarations du président d l'APN relèvent plutôt «de pratiques hégémoniques. On dirait que c'est le secrétaire d'une kasma FLN des années 70». La conférencière, qui a souligné que «c'est l'Assemblée la plus mal élue depuis l'Indépendance» a farouchement défendu sa revendication de dissolution de l' APN. Elle dira en outre que de nombreuses personnalités, y compris nombre de députés, sont on ne peut plus favorables à cette option. «Seuls les députés qui représentent les lobbies et qui ont acheté leur mandat sont en faveur du maintien de l'assemblée », a-t-elle encore soutenu en qualifiant ces députés de «députés taiwan». Cependant Louisa Hanoune, qui a annoncé sa volonté d'interpeller le président de la République et d'initier une opération de collecte de signatures pour appuyer sa revendication, a écarté toute éventualité de se retirer de cette Assemblée car, a-t-elle, indiqué, «le mandat de député est national et c'est de l'intérieur de l'Assemblée que l'on va se battre pour le changement».