Suite à une décision de justice contestée par les victimes, les familles Kadri et Djekboub se retrouvent depuis mercredi soir à la rue, après avoir été expulsées du domicile qu'elles occupaient sise aux 14 et 16 rue Atarsia Brahim (ex-faubourg de la gare). Selon les documents qui ont été remis à Midi Libre, et d'après une lettre adressée par le directeur des domaines au président de la cour de Souk-Ahras en date du 15 septembre 2007, ce foncier, situé à l'adresse sus-citée, est toujours au nom de Baume August Eugène, depuis sa date d'enregistrement en date du 09 janvier 1940, volume 1115 n° 60; il a une superficie de 1.267 m2 et porte comme n° de lot le 877, alors que celui enregistré au nom des plaignants, les héritiers M.Y, en date du 19 décembre 1936, volume 1016 n° 49 se trouve au 10 rue colonel Amirouche (ex-rue du général Leval), lot n° 94 d'une superficie de 254 m2 . Les documents de l'APC confirment les adresses sus citées. Devant ces faits, les victimes Mme Hannachi (veuve Kadri) et ses enfants et Mme Moumeni (veuve Djekboub) et ses enfants, ont déclaré à la presse que le plaignant n'ouvre pas droit puisque, disent-elles, il n'est pas propriétaire du foncier en question. Ces familles, composées en majorité de moudjahidine qui avaient eu gain de cause devant la cour en première instance, se disent lésées par cette décision qui les a obligé à passer le week-end à la belle étoile surtout que jeudi soir, une pluie diluvienne s'est abattue sur la ville. Suite à une décision de justice contestée par les victimes, les familles Kadri et Djekboub se retrouvent depuis mercredi soir à la rue, après avoir été expulsées du domicile qu'elles occupaient sise aux 14 et 16 rue Atarsia Brahim (ex-faubourg de la gare). Selon les documents qui ont été remis à Midi Libre, et d'après une lettre adressée par le directeur des domaines au président de la cour de Souk-Ahras en date du 15 septembre 2007, ce foncier, situé à l'adresse sus-citée, est toujours au nom de Baume August Eugène, depuis sa date d'enregistrement en date du 09 janvier 1940, volume 1115 n° 60; il a une superficie de 1.267 m2 et porte comme n° de lot le 877, alors que celui enregistré au nom des plaignants, les héritiers M.Y, en date du 19 décembre 1936, volume 1016 n° 49 se trouve au 10 rue colonel Amirouche (ex-rue du général Leval), lot n° 94 d'une superficie de 254 m2 . Les documents de l'APC confirment les adresses sus citées. Devant ces faits, les victimes Mme Hannachi (veuve Kadri) et ses enfants et Mme Moumeni (veuve Djekboub) et ses enfants, ont déclaré à la presse que le plaignant n'ouvre pas droit puisque, disent-elles, il n'est pas propriétaire du foncier en question. Ces familles, composées en majorité de moudjahidine qui avaient eu gain de cause devant la cour en première instance, se disent lésées par cette décision qui les a obligé à passer le week-end à la belle étoile surtout que jeudi soir, une pluie diluvienne s'est abattue sur la ville.