Les commerces chinois ont envahi progressivement la capitale. Les riches couleurs et la brillance des matières utilisées attirent d'emblée le regard. Mais ces marchandises vues de près ne méritent pas un second regard. Certains de ces commerçants tentent de persuader que certains articles confectionnés avec du tissu synthétique, dérivés de nylon, sont en pur coton, ou même ils essayent de faire passer le satin pour de la pure soie de Chine. Ces commerçants recrutent au noir des jeunes filles et pour des salaires de misére. D'autres patrons de boutiques recourrent carrément à l'arnaque en faisant travailler ces jeunes filles à la journée pour 150DA, alors qu'ells pensent avoir été recrutées elles se voient expliquer le...lendemain que le "pauvre boutiquier" ne peut assurer les charges du personnel alors qu'une autre victime attend déjà d'occuper le poste pour une autre... jourmée. Les commerces chinois ont envahi progressivement la capitale. Les riches couleurs et la brillance des matières utilisées attirent d'emblée le regard. Mais ces marchandises vues de près ne méritent pas un second regard. Certains de ces commerçants tentent de persuader que certains articles confectionnés avec du tissu synthétique, dérivés de nylon, sont en pur coton, ou même ils essayent de faire passer le satin pour de la pure soie de Chine. Ces commerçants recrutent au noir des jeunes filles et pour des salaires de misére. D'autres patrons de boutiques recourrent carrément à l'arnaque en faisant travailler ces jeunes filles à la journée pour 150DA, alors qu'ells pensent avoir été recrutées elles se voient expliquer le...lendemain que le "pauvre boutiquier" ne peut assurer les charges du personnel alors qu'une autre victime attend déjà d'occuper le poste pour une autre... jourmée.