Le marché des Trois-Horloges à Bab El-Oued est littéralement pris d'assaut ces jours-ci à l'occasion de la rentrée scolaire. Plusieurs commerçants, spécialistes dans l'informel, ont cela était attendu et prévisible, changé de marchandises juste quelques jours avant la reprise des cours. Ces petits débrouillards avaient commencé par vendre du pain, de la galette, de la coriandre ou de la Zlabia... au début du Ramadhan avant de ce rabattre, ces jours-ci sur les articles scolaires, créneau bien plus porteur en cette période. L'afflux des parents seuls ou accompagnés de leurs enfants fait le bonheur de ces revendeurs à la sauvette qui peuvent se targuer d'avoir eu un mois bien chargé. A vrai dire les prix, plus qu'abordables, proposés par ces jeunes commerçant attirent les maigres bourses saignées à blanc par le ramadhan. Les parents peuvent trouver, sur ces étals, des cahiers pour 10 dinars, des stylos entre 5 et 7 dinars... Même si ces produits chinois ne sont pas de meilleure qualité, les parents n'ont pas trop le choix et ne se montrent pas trop regardants et considèrent que ce sont là, pour eux, des occasions à ne pas rater pour pouvoir remplir les lourds cartables de leurs enfants. Le marché des Trois-Horloges à Bab El-Oued est littéralement pris d'assaut ces jours-ci à l'occasion de la rentrée scolaire. Plusieurs commerçants, spécialistes dans l'informel, ont cela était attendu et prévisible, changé de marchandises juste quelques jours avant la reprise des cours. Ces petits débrouillards avaient commencé par vendre du pain, de la galette, de la coriandre ou de la Zlabia... au début du Ramadhan avant de ce rabattre, ces jours-ci sur les articles scolaires, créneau bien plus porteur en cette période. L'afflux des parents seuls ou accompagnés de leurs enfants fait le bonheur de ces revendeurs à la sauvette qui peuvent se targuer d'avoir eu un mois bien chargé. A vrai dire les prix, plus qu'abordables, proposés par ces jeunes commerçant attirent les maigres bourses saignées à blanc par le ramadhan. Les parents peuvent trouver, sur ces étals, des cahiers pour 10 dinars, des stylos entre 5 et 7 dinars... Même si ces produits chinois ne sont pas de meilleure qualité, les parents n'ont pas trop le choix et ne se montrent pas trop regardants et considèrent que ce sont là, pour eux, des occasions à ne pas rater pour pouvoir remplir les lourds cartables de leurs enfants.