Plusieurs secteurs d'activité ont retenu l'attention des parlementaires de la chambre basse du Parlement. Des élus du peuple ont relevé des insuffisances qu'il faudra corriger et des lacunes à combler. Il s'agit maintenant de répondre aux préoccupations et attentes des citoyens. Plusieurs secteurs d'activité ont retenu l'attention des parlementaires de la chambre basse du Parlement. Des élus du peuple ont relevé des insuffisances qu'il faudra corriger et des lacunes à combler. Il s'agit maintenant de répondre aux préoccupations et attentes des citoyens. Les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN), se sont retrouvés pour le quatrième jour pour poursuivre le débat général sur le plan d'action du gouvernement portant mise en œuvre du programme présidentiel pour les cinq années à venir. Plusieurs secteurs d'activité ont retenu l'attention des parlementaires de la chambre basse du Parlement. Des élus du peuple ont relevé des insuffisances qu'il faudra corriger et des lacunes à combler. Selon certains d'entre-eux, il s'agit maintenant de répondre aux préoccupations et attentes des citoyens et de traduire dans les faits les promesses et les engagements pris envers les populations. Les attentes et les préoccupations des Algériens sont nombreuses, notamment ceux en rapport direct avec les besoins vitaux et les conditions de vie. Les secteurs de la santé, la justice, l'éducation, l'emploi et le logement sont passés au peigne fin par les intervenants qui ont souligné la nécessité d'améliorer leurs performances pour garantir un développement harmonieux et durable du pays. Dans le domaine de la santé, les députés ont relevé des insuffisances dans la prise en charge des malades et la réalisation des infrastructures sanitaires. Ils ont également relevé des insuffisances qui restent à combler notamment les équipements des urgences médicales et le renforcement des équipements nécessaires dont le déficit est criant au niveaux des hôpitaux et autres infrastructures sanitaires de proximité, nonobstant les progrès enregistrés dans ce domaine. Le secteur de la justice a, de son côté, retenu l'attention des représentants du peuple. Partant du principe que la justice est la pierre angulaire de l'Etat de droit, les députés ont plaidé pour l'accélération du processus de modernisation de l'administration judiciaire et des prestations de services. Ils ont plaidé également pour la redynamisation des mécanismes de contrôle et la création de juridictions administratives. Nul n'est au dessus la loi, ont-ils souligné, axant leurs discours sur «la lutte contre la corruption qui gangrène le pays, la fraude fiscale qui est devenue un sport national et la lutte contre les fléaux sociaux et les déviations qui sont étrangères à notre culture». Concernant la lancinante question de l'emploi des jeunes, certains députés ont affirmé la nécessité de revoir le dispositif des 100 locaux commerciaux destinés à cette catégorie de la population qui se laisse gagner par le découragement et qui a pour conséquence, les protestations, les manifestations de rue, la harga, le suicide ou l'usage de la drogue et des psychotropes. Concernant le logement, notamment le social locatif, un député a plaidé pour l'effacement des dettes des locataires nécessiteux qui n'arrivent pas honorer les échéances mensuels de leur logement. Autre secteur et autres préoccupation soulevés par les élus du peuple. Il s'agit de l'éducation nationale, notamment dans l'Algérie profonde où les jeunes potaches sont obligés de parcourir de longues distances, par absence de moyens de transport, pour rejoindre leurs établissements scolaires. La restauration fait également défaut pour ces enfants. De ce fait, ils ont appelé le gouvernement à œuvrer à l'amélioration des conditions de scolarisation et la mise à niveau des établissements scolaires dans ces régions. D'autres députés ont soulevé l'urgence de la mise en œuvre du nouveau découpage administratif pour rapprocher l'administration du citoyen. Tout comme, ils ont rappelé le caractère urgent de la révision du code communal. Le code actuel est, selon eux, dépassé et ne répond plus aux attentes des élus et des citoyens. Un député du MPC (Mouvement pour la prédication et le changement, groupe dissident du MSP) a, quant à lui, plaide pour la liberté de création d'un parti politique et pour les libertés individuelles et collectives. Pour d'autres députés, la réhabilitation de la crédibilité de l'Etat est fondamentale pour garantir une paix durable, préconisant la poursuite, par d'autres mesures, de la politique de la réconciliation nationale. Les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN), se sont retrouvés pour le quatrième jour pour poursuivre le débat général sur le plan d'action du gouvernement portant mise en œuvre du programme présidentiel pour les cinq années à venir. Plusieurs secteurs d'activité ont retenu l'attention des parlementaires de la chambre basse du Parlement. Des élus du peuple ont relevé des insuffisances qu'il faudra corriger et des lacunes à combler. Selon certains d'entre-eux, il s'agit maintenant de répondre aux préoccupations et attentes des citoyens et de traduire dans les faits les promesses et les engagements pris envers les populations. Les attentes et les préoccupations des Algériens sont nombreuses, notamment ceux en rapport direct avec les besoins vitaux et les conditions de vie. Les secteurs de la santé, la justice, l'éducation, l'emploi et le logement sont passés au peigne fin par les intervenants qui ont souligné la nécessité d'améliorer leurs performances pour garantir un développement harmonieux et durable du pays. Dans le domaine de la santé, les députés ont relevé des insuffisances dans la prise en charge des malades et la réalisation des infrastructures sanitaires. Ils ont également relevé des insuffisances qui restent à combler notamment les équipements des urgences médicales et le renforcement des équipements nécessaires dont le déficit est criant au niveaux des hôpitaux et autres infrastructures sanitaires de proximité, nonobstant les progrès enregistrés dans ce domaine. Le secteur de la justice a, de son côté, retenu l'attention des représentants du peuple. Partant du principe que la justice est la pierre angulaire de l'Etat de droit, les députés ont plaidé pour l'accélération du processus de modernisation de l'administration judiciaire et des prestations de services. Ils ont plaidé également pour la redynamisation des mécanismes de contrôle et la création de juridictions administratives. Nul n'est au dessus la loi, ont-ils souligné, axant leurs discours sur «la lutte contre la corruption qui gangrène le pays, la fraude fiscale qui est devenue un sport national et la lutte contre les fléaux sociaux et les déviations qui sont étrangères à notre culture». Concernant la lancinante question de l'emploi des jeunes, certains députés ont affirmé la nécessité de revoir le dispositif des 100 locaux commerciaux destinés à cette catégorie de la population qui se laisse gagner par le découragement et qui a pour conséquence, les protestations, les manifestations de rue, la harga, le suicide ou l'usage de la drogue et des psychotropes. Concernant le logement, notamment le social locatif, un député a plaidé pour l'effacement des dettes des locataires nécessiteux qui n'arrivent pas honorer les échéances mensuels de leur logement. Autre secteur et autres préoccupation soulevés par les élus du peuple. Il s'agit de l'éducation nationale, notamment dans l'Algérie profonde où les jeunes potaches sont obligés de parcourir de longues distances, par absence de moyens de transport, pour rejoindre leurs établissements scolaires. La restauration fait également défaut pour ces enfants. De ce fait, ils ont appelé le gouvernement à œuvrer à l'amélioration des conditions de scolarisation et la mise à niveau des établissements scolaires dans ces régions. D'autres députés ont soulevé l'urgence de la mise en œuvre du nouveau découpage administratif pour rapprocher l'administration du citoyen. Tout comme, ils ont rappelé le caractère urgent de la révision du code communal. Le code actuel est, selon eux, dépassé et ne répond plus aux attentes des élus et des citoyens. Un député du MPC (Mouvement pour la prédication et le changement, groupe dissident du MSP) a, quant à lui, plaide pour la liberté de création d'un parti politique et pour les libertés individuelles et collectives. Pour d'autres députés, la réhabilitation de la crédibilité de l'Etat est fondamentale pour garantir une paix durable, préconisant la poursuite, par d'autres mesures, de la politique de la réconciliation nationale.