L'importance de l'évaluation de la conformité des produits importés a été au centre des débats d'un séminaire d'information organisé hier à Alger par l'Institut algérien de normalisation (IANOR) conjointement avec la Chambre française de commerce et d'industrie en Algérie (CFCA). Le directeur général de l'IANOR, M.Aissaoui, après avoir fait la présentation de son établissement et rappelé l'histoire de la normalisation en Algérie de 1963 à nos jours, a souligné l'importance de l'évaluation de la conformité des marchandises qui, selon lui, «offre la meilleure garantie de qualité et de sécurité possible et le respect des critères établis par les organismes bancaires, les service des Douanes ou ceux définis par les clients». Pour lui, «l'évaluation de la conformité protège les consommateurs, les fournisseurs, et les importateurs». L'autre question abordée lors de ce séminaire a trait au certificat de contrôle de la qualité de la marchandise. Pour rappel, la Direction du contrôle des changes de la Banque d'Algérie a diffusé, le 16 février dernier, une note auprès des banques et établissements financiers intermédiaires agréés où il est exigé de ces établissements de fournir trois documents pour tout règlement d'une importation de bien. Il s'agit du certificat phytosanitaire pour les produits agro-alimentaires, le certificat d'origine de l'importation et le certificat de contrôle de la qualité de la marchandise. Ce dernier aurait d'ailleurs été au centre des débats et aurait fait l'objet de réserve et d'incompréhension de beaucoup d'établissements. En effet, la CFCA aurait auparavant soulevé la problématique qui réside essentiellement dans «la terminologie» employée par la Banque d'Algérie, d'où l'interrogation si le certificat de conformité équivaut au certificat de contrôle demandé. Le séminaire d'hier était une occasion pour les sociétés étrangères de s'enquérir de la législation algérienne et des nouvelles dispositions de la Banque d'Algérie afin, justement, d'éclaircir toute zone d'ombre concernant la note du 16 février. L'importance de l'évaluation de la conformité des produits importés a été au centre des débats d'un séminaire d'information organisé hier à Alger par l'Institut algérien de normalisation (IANOR) conjointement avec la Chambre française de commerce et d'industrie en Algérie (CFCA). Le directeur général de l'IANOR, M.Aissaoui, après avoir fait la présentation de son établissement et rappelé l'histoire de la normalisation en Algérie de 1963 à nos jours, a souligné l'importance de l'évaluation de la conformité des marchandises qui, selon lui, «offre la meilleure garantie de qualité et de sécurité possible et le respect des critères établis par les organismes bancaires, les service des Douanes ou ceux définis par les clients». Pour lui, «l'évaluation de la conformité protège les consommateurs, les fournisseurs, et les importateurs». L'autre question abordée lors de ce séminaire a trait au certificat de contrôle de la qualité de la marchandise. Pour rappel, la Direction du contrôle des changes de la Banque d'Algérie a diffusé, le 16 février dernier, une note auprès des banques et établissements financiers intermédiaires agréés où il est exigé de ces établissements de fournir trois documents pour tout règlement d'une importation de bien. Il s'agit du certificat phytosanitaire pour les produits agro-alimentaires, le certificat d'origine de l'importation et le certificat de contrôle de la qualité de la marchandise. Ce dernier aurait d'ailleurs été au centre des débats et aurait fait l'objet de réserve et d'incompréhension de beaucoup d'établissements. En effet, la CFCA aurait auparavant soulevé la problématique qui réside essentiellement dans «la terminologie» employée par la Banque d'Algérie, d'où l'interrogation si le certificat de conformité équivaut au certificat de contrôle demandé. Le séminaire d'hier était une occasion pour les sociétés étrangères de s'enquérir de la législation algérienne et des nouvelles dispositions de la Banque d'Algérie afin, justement, d'éclaircir toute zone d'ombre concernant la note du 16 février.