Le Président du Mali, Amadou Toumani Toure, a rendu hommage, hier, à Paris, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour les efforts déployés en vue du règlement de la crise du Kidal, dans la région du nord du Mali. "Je veux porter témoignage de l'implication du Président Abdelaziz Bouteflika pour avoir aidé le Mali à trouver le chemin de la paix", a déclaré le Président malien, lors d'une conférence intitulée "Culture de la paix : l'expérience du Mali dans la gestion des conflits". Une réunion qui s'est tenue au siège de l'Unesco, à l'occasion de la tenue de la semaine africaine. "Le Mali a placé sa confiance en l'Algérie comme pays facilitateur et sous l'égide duquel un accord, intitulé l'Accord d'Alger, a été signé le 4 juillet 2006 entre le gouvernement et l'Alliance démocratique du 23 mai pour le changement au Nord du Mali", a rappelé le chef de l'Etat malien. Il ne manque pas d'exprimer, a rapporté l'APS, à cette occasion, sa reconnaissance "au Guide de la Révolution libyenne, Maâmmar El Gueddafi pour l'engagement humanitaire de la Libye aux côtés du Mali". Le Président Amadou Toumani Toure a estimé que "l'appui de ces deux pays avait une valeur symbolique". Car, poursuit-il, "il nous conforte dans la conviction que les problèmes de sécurité et de développement dans la région sahélo-saharienne, sont communs à tous les pays, dont une partie du territoire, se trouve dans cette zone et leur solution ne pourra être que collective". Grâce à la médiation du Président Bouteflika, une solution avait été, rappelons-le, apportée au conflit qui opposait les rebelles touaregs du Mali au régime de Bamako après plusieurs années de lutte intestines. Les ex-rebelles touaregs avaient, rappelons-le, mené une série d'attaques contre des casernes dans le nord du Mali et le gouvernement malien et qui ont cessé grâce à l'intervention d'Alger qui a pu aider à mettre fin à la crise. Cet accord stipulait, notamment que "les ex-rebelles touaregs ne réclament plus l'autonomie de leur région". Le gouvernement malien s'est quant à lui, engagé à "accélérer le développement des trois régions du nord du Mali". Le Président du Mali, Amadou Toumani Toure, a rendu hommage, hier, à Paris, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour les efforts déployés en vue du règlement de la crise du Kidal, dans la région du nord du Mali. "Je veux porter témoignage de l'implication du Président Abdelaziz Bouteflika pour avoir aidé le Mali à trouver le chemin de la paix", a déclaré le Président malien, lors d'une conférence intitulée "Culture de la paix : l'expérience du Mali dans la gestion des conflits". Une réunion qui s'est tenue au siège de l'Unesco, à l'occasion de la tenue de la semaine africaine. "Le Mali a placé sa confiance en l'Algérie comme pays facilitateur et sous l'égide duquel un accord, intitulé l'Accord d'Alger, a été signé le 4 juillet 2006 entre le gouvernement et l'Alliance démocratique du 23 mai pour le changement au Nord du Mali", a rappelé le chef de l'Etat malien. Il ne manque pas d'exprimer, a rapporté l'APS, à cette occasion, sa reconnaissance "au Guide de la Révolution libyenne, Maâmmar El Gueddafi pour l'engagement humanitaire de la Libye aux côtés du Mali". Le Président Amadou Toumani Toure a estimé que "l'appui de ces deux pays avait une valeur symbolique". Car, poursuit-il, "il nous conforte dans la conviction que les problèmes de sécurité et de développement dans la région sahélo-saharienne, sont communs à tous les pays, dont une partie du territoire, se trouve dans cette zone et leur solution ne pourra être que collective". Grâce à la médiation du Président Bouteflika, une solution avait été, rappelons-le, apportée au conflit qui opposait les rebelles touaregs du Mali au régime de Bamako après plusieurs années de lutte intestines. Les ex-rebelles touaregs avaient, rappelons-le, mené une série d'attaques contre des casernes dans le nord du Mali et le gouvernement malien et qui ont cessé grâce à l'intervention d'Alger qui a pu aider à mettre fin à la crise. Cet accord stipulait, notamment que "les ex-rebelles touaregs ne réclament plus l'autonomie de leur région". Le gouvernement malien s'est quant à lui, engagé à "accélérer le développement des trois régions du nord du Mali".