Le congrès du FLN, prévu au courant du 1er semestre 2010, donne déjà des frissons à la direction centrale du vieux parti. Le congrès du FLN, prévu au courant du 1er semestre 2010, donne déjà des frissons à la direction centrale du vieux parti. Le secrétaire général de l'instance exécutive du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem, qui présidait, hier, à Alger la session ordinaire de l'instance exécutive, n'a pas fait mystère. Comme à chaque importante échéance, le FLN, «est victime de campagnes calomnieuses», s'est indigné le secrétaire général de l'instance exécutive qui appelle ses troupes «à la vigilance» en ce «moment important» dans la vie du parti. A travers l'offensive déclenchée contre certains dirigeants du FLN, «c'est le parti qui est visé», a-t-il remarqué, soulignant que «les tentatives de déstabilisation ne datent pas d'aujourd'hui». Le premier responsable du vieux parti met en garde ses troupes contre les luttes intestines qui ont pour conséquence d'affaiblir le parti, indiquant : «Il n'est pas important de savoir qui est l'initiateur, mais le commanditaire et qui se cache derrière», s'est-il demandé, exprimant sa confiance en les capacités du vieux parti de surmonter tous les obstacles qui se dressent sur son chemin. «Aucune chose ne peut se faire sans la volonté et l'accord du FLN», a-t-il martelé prédisant «un échec», pour ceux qui, de l'extérieur ou de l'intérieur, tentent de déstabiliser le parti. Le patron du FLN s'attend «à une bataille féroce», durant toute la période des préparatifs du congrès et se dit «confiant en la mobilisation et en l'engagement des militants au message de Novembre véhiculé par le FLN». S'élevant contre ceux qui estime que le FLN «est un corps malade qui a besoin de réanimation» ou «sa place est au musée», il rappelle que l'acte de naissance du Front «est le message de Novembre 1954», jaloux de la préservation des constantes nationales et assure ne pas s'étonner des attaques qui visent le parti en premier lieu. Auparavant, et après l'installation du bureau, composé de six membres, de la session ordinaire de l'instance, le leader du FLN s'est félicité de la justesse des position du parti sur différentes questions nationales, notamment la révision de la Constitution, le soutien à la candidature du président de la République à un troisième mandat et le succès enregistré par la campagne électorale de l'élection présidentielle et avoue qu'«il est temps d'en finir avec la restructuration pour mettre un terme aux turbulences au sein des kasmas et mouhafadath».Pour cela il préconise de prendre «des mesures radicales», en prévision des échéances importantes qui attendent le FLN, notamment «le renouvellement du Tiers présidentiel», qui ne doivent pas faire, selon lui «l'objet de concurrence entre les militants du parti». Abordant l'Université d'été que compte organiser le parti, le secrétaire de l'instance exécutive assure que ce regroupement se penchera sur les problèmes qui touchent cette frange de la population et instruit ses cadres à être à l'écoute des préoccupation des jeunes, de tenter de trouver des solutions à la problématique des harragas et de construire des passerelles entre les générations. Il insiste par ailleurs, sur la place que doivent occuper les femmes sur les listes électorale du FLN, «de manière démocratique », exprimant son refus de les voir «marginalisées». Réagissant aux accusations de Lakhdar Bensaïd Le FLN saisit les tribunaux L'ancien secrétaire général de la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC), Lakhdar Bensaid, aura à répondre, le 14 du mois courant, devant le tribunal de Sidi M'hamed, des graves accusations qu'il a lancées contre certains dirigeants du FLN. En effet, récemment, l'ex-patron de l'Onec a affirmé que le député du FLN de la wilaya de Mostaganem et membre du secrétariat de l'instance exécutive du FLN, Abdelhamid Si Affif, "serait un fils de harki". La même accusation est portée contre le chef du groupe parlementaire du FLN, Ayachi Daadoua. Selon l'ex-leader de l'Onec, il serait lui aussi un fils de harki. Les députés Abbas Mohamed Lezrag de Relizane, Saadi Ghedir de Khenchela (FLN) et Nahet Youcef, député de la wilaya de Chlef et membres de l'exécutif du FLN seraient aussi des fils de harkis, toujours selon l'ex-secrétaire général de l'Onec. Le secrétaire général de l'instance exécutive du parti du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem, qui présidait, hier, à Alger la session ordinaire de l'instance exécutive, n'a pas fait mystère. Comme à chaque importante échéance, le FLN, «est victime de campagnes calomnieuses», s'est indigné le secrétaire général de l'instance exécutive qui appelle ses troupes «à la vigilance» en ce «moment important» dans la vie du parti. A travers l'offensive déclenchée contre certains dirigeants du FLN, «c'est le parti qui est visé», a-t-il remarqué, soulignant que «les tentatives de déstabilisation ne datent pas d'aujourd'hui». Le premier responsable du vieux parti met en garde ses troupes contre les luttes intestines qui ont pour conséquence d'affaiblir le parti, indiquant : «Il n'est pas important de savoir qui est l'initiateur, mais le commanditaire et qui se cache derrière», s'est-il demandé, exprimant sa confiance en les capacités du vieux parti de surmonter tous les obstacles qui se dressent sur son chemin. «Aucune chose ne peut se faire sans la volonté et l'accord du FLN», a-t-il martelé prédisant «un échec», pour ceux qui, de l'extérieur ou de l'intérieur, tentent de déstabiliser le parti. Le patron du FLN s'attend «à une bataille féroce», durant toute la période des préparatifs du congrès et se dit «confiant en la mobilisation et en l'engagement des militants au message de Novembre véhiculé par le FLN». S'élevant contre ceux qui estime que le FLN «est un corps malade qui a besoin de réanimation» ou «sa place est au musée», il rappelle que l'acte de naissance du Front «est le message de Novembre 1954», jaloux de la préservation des constantes nationales et assure ne pas s'étonner des attaques qui visent le parti en premier lieu. Auparavant, et après l'installation du bureau, composé de six membres, de la session ordinaire de l'instance, le leader du FLN s'est félicité de la justesse des position du parti sur différentes questions nationales, notamment la révision de la Constitution, le soutien à la candidature du président de la République à un troisième mandat et le succès enregistré par la campagne électorale de l'élection présidentielle et avoue qu'«il est temps d'en finir avec la restructuration pour mettre un terme aux turbulences au sein des kasmas et mouhafadath».Pour cela il préconise de prendre «des mesures radicales», en prévision des échéances importantes qui attendent le FLN, notamment «le renouvellement du Tiers présidentiel», qui ne doivent pas faire, selon lui «l'objet de concurrence entre les militants du parti». Abordant l'Université d'été que compte organiser le parti, le secrétaire de l'instance exécutive assure que ce regroupement se penchera sur les problèmes qui touchent cette frange de la population et instruit ses cadres à être à l'écoute des préoccupation des jeunes, de tenter de trouver des solutions à la problématique des harragas et de construire des passerelles entre les générations. Il insiste par ailleurs, sur la place que doivent occuper les femmes sur les listes électorale du FLN, «de manière démocratique », exprimant son refus de les voir «marginalisées». Réagissant aux accusations de Lakhdar Bensaïd Le FLN saisit les tribunaux L'ancien secrétaire général de la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC), Lakhdar Bensaid, aura à répondre, le 14 du mois courant, devant le tribunal de Sidi M'hamed, des graves accusations qu'il a lancées contre certains dirigeants du FLN. En effet, récemment, l'ex-patron de l'Onec a affirmé que le député du FLN de la wilaya de Mostaganem et membre du secrétariat de l'instance exécutive du FLN, Abdelhamid Si Affif, "serait un fils de harki". La même accusation est portée contre le chef du groupe parlementaire du FLN, Ayachi Daadoua. Selon l'ex-leader de l'Onec, il serait lui aussi un fils de harki. Les députés Abbas Mohamed Lezrag de Relizane, Saadi Ghedir de Khenchela (FLN) et Nahet Youcef, député de la wilaya de Chlef et membres de l'exécutif du FLN seraient aussi des fils de harkis, toujours selon l'ex-secrétaire général de l'Onec.