Le rendez-vous du 9e congrès du FLN se profile à l'horizon. En effet, il reste moins de trois mois pour la tenue de ce conclave prévu pour la deuxième quinzaine du mois de février 2010. Le rendez-vous du 9e congrès du FLN se profile à l'horizon. En effet, il reste moins de trois mois pour la tenue de ce conclave prévu pour la deuxième quinzaine du mois de février 2010. La direction politique du vieux parti met les bouchées doubles pour réunir les conditions, les meilleures à un rendez-vous tant attendu par les différentes composantes du parti. D'ores et déjà, les avant-projets sont fins prêts. Ces textes, élaborés par les cinq sous- commissions mises en place par la commission nationale de préparation du congrès, seront présentés devant les principales instances du parti dans les prochains jours. Le conseil national est, en effet, convoqué pour les 21, 22 et 23 décembre. Cette rencontre de la plus importante instance entre deux congrès sera précédée, la veille, en matinée, par la réunion de la Commission nationale de préparation du congrès alors que dans l'après midi ce sera au tour de l'instance exécutive de prendre le relais. En vérité, faut-il le rappeler, ce sont les membres de l'instance exécutive, au nombre de 120, qui font aussi office de commission nationale de préparation. Selon Said Bouhadja, membre de secrétariat exécutif, «les avants projets seront débattus et enrichis par ces instances du parti avant d'être transmis aux structures locales et permettre ainsi aux militants de base de se prononcer sur la teneur de ces documents». A l'occasion de ce congrès, selon certaines indiscrétions, le vieux parti reviendra à l'ancien schéma s'agissant des structures de direction. Il en est ainsi du comité central et du bureau politique, des appellations qui ont disparu des statuts du parti lors du 8e congrès bis tenu au début de l'année 2005 dans un contexte marqué par les divisions internes qui menaçaient fortement la stabilité interne du parti. «On a créée le conseil national, au sein duquel siégent 550 membres et l'instance exécutive, pour réunir un maximum de cadres dirigeants et éviter des déchirements supplémentaires» a indiqué notre interlocuteur. Le FLN, a-t-il totalement transcendé les clivages qui le minaient ? Difficile de répondre par l'affirmative tant nombre de militants et cadres, considérés comme proches de l'ex-secrétaire général, Ali Benflis, continuent de dénoncer leur marginalisation par l'actuelle direction qu‘ils accusent de vouloir les exclure du congrès. La «Cellule centrale de suivi», une structure qu'ils ont créée depuis plus de deux années maintenant et qui s'est distinguée par plusieurs actions, dont notamment un rassemblement national devant le siège central du parti, est allée jusqu'à menacer de tenir un congrès parallèle dans le cas où la direction politique du parti persiste à les marginaliser. C'est dire combien ce prochain congrès est à même de réveiller les vieux démons de la division et des luttes intestines, même si pour l'heure plusieurs de groupes au sein du parti se montrent discrets en refusant de dévoiler leurs cartes. Car des bruits courent sur un éventuel coup de force contre l'actuel secrétaire général de l'instance exécutive, Abdelaziz Belkhadem, à qui il est reproché d'être mou et d'avoir, par conséquent, échoué à maîtriser la situation interne. Il est vrai que le renouvellement des instances de base, n'a pas encore été achevé car dans certaines wilayas toutes les tentatives initiées par le secrétaire général par le biais de ses innombrables émissaires ont tourné court. Cela dit, beaucoup de paramètres peuvent entrer en considération concernant cette question et d'aucuns estiment que Belkhadem, qui dispose du soutien du président du parti, en l'occurrence Abdelaziz Bouteflika, est intouchable. La direction politique du vieux parti met les bouchées doubles pour réunir les conditions, les meilleures à un rendez-vous tant attendu par les différentes composantes du parti. D'ores et déjà, les avant-projets sont fins prêts. Ces textes, élaborés par les cinq sous- commissions mises en place par la commission nationale de préparation du congrès, seront présentés devant les principales instances du parti dans les prochains jours. Le conseil national est, en effet, convoqué pour les 21, 22 et 23 décembre. Cette rencontre de la plus importante instance entre deux congrès sera précédée, la veille, en matinée, par la réunion de la Commission nationale de préparation du congrès alors que dans l'après midi ce sera au tour de l'instance exécutive de prendre le relais. En vérité, faut-il le rappeler, ce sont les membres de l'instance exécutive, au nombre de 120, qui font aussi office de commission nationale de préparation. Selon Said Bouhadja, membre de secrétariat exécutif, «les avants projets seront débattus et enrichis par ces instances du parti avant d'être transmis aux structures locales et permettre ainsi aux militants de base de se prononcer sur la teneur de ces documents». A l'occasion de ce congrès, selon certaines indiscrétions, le vieux parti reviendra à l'ancien schéma s'agissant des structures de direction. Il en est ainsi du comité central et du bureau politique, des appellations qui ont disparu des statuts du parti lors du 8e congrès bis tenu au début de l'année 2005 dans un contexte marqué par les divisions internes qui menaçaient fortement la stabilité interne du parti. «On a créée le conseil national, au sein duquel siégent 550 membres et l'instance exécutive, pour réunir un maximum de cadres dirigeants et éviter des déchirements supplémentaires» a indiqué notre interlocuteur. Le FLN, a-t-il totalement transcendé les clivages qui le minaient ? Difficile de répondre par l'affirmative tant nombre de militants et cadres, considérés comme proches de l'ex-secrétaire général, Ali Benflis, continuent de dénoncer leur marginalisation par l'actuelle direction qu‘ils accusent de vouloir les exclure du congrès. La «Cellule centrale de suivi», une structure qu'ils ont créée depuis plus de deux années maintenant et qui s'est distinguée par plusieurs actions, dont notamment un rassemblement national devant le siège central du parti, est allée jusqu'à menacer de tenir un congrès parallèle dans le cas où la direction politique du parti persiste à les marginaliser. C'est dire combien ce prochain congrès est à même de réveiller les vieux démons de la division et des luttes intestines, même si pour l'heure plusieurs de groupes au sein du parti se montrent discrets en refusant de dévoiler leurs cartes. Car des bruits courent sur un éventuel coup de force contre l'actuel secrétaire général de l'instance exécutive, Abdelaziz Belkhadem, à qui il est reproché d'être mou et d'avoir, par conséquent, échoué à maîtriser la situation interne. Il est vrai que le renouvellement des instances de base, n'a pas encore été achevé car dans certaines wilayas toutes les tentatives initiées par le secrétaire général par le biais de ses innombrables émissaires ont tourné court. Cela dit, beaucoup de paramètres peuvent entrer en considération concernant cette question et d'aucuns estiment que Belkhadem, qui dispose du soutien du président du parti, en l'occurrence Abdelaziz Bouteflika, est intouchable.