Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, en homme averti, balise le terrain pour les prochaines échéances auxquelles sera confronté le vieux parti. L'heure de la mobilisation des troupes a sonné pour le patron du FLN qui ne veut pas prêter flanc à ses détracteurs et préparer sereinement le renouvèlement partiel du Sénat et le congrès qui aura lieu probablement au cours du premier trimestre 2010. «Le FLN a gardé intactes ses capacités de mobilisation», a-t-il affirmé récemment lors de son discours d'ouverture des travaux de la session ordinaire de l'Instance exécutive du parti, prenant bien soin de souligner «sa crainte de bousculade des militants pour se positionner». Et c'est pour prémunir le vieux parti de «cette bousculade», que le SG multiplie les réunions et rencontres des cadres et des militants pour préparer les conditions idoines pour les élections de la chambre haute du Parlement et la tenue des assises nationales de la formations politique. Le souvenir des kasmas et mouhafadath qui n'ont pas encore, jusqu'ici, réussi à finaliser leur restructuration donne davantage de soucis au premier responsable du FLN. Cette restructuration est l'otage de militants qui n'ont pas encore aplani leurs différents nés du clivage redresseurs/légalistes que le 8eme congrès rassembleur ou unificateur n'est pas arrivé à mettre en sourdine. Ce conflit qui a valu beaucoup d'efforts pour les dirigeants responsables de premier plan est toujours sur la place publique. Le SG du FLN garde en mémoire, également, le souvenir, en raison de cette «bousculade», des tristes épisodes vécus par le parti lors des élections communale et législative. Cette «bousculade», s'est répétée également lors du renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation, qui lui a valu de perdre plusieurs sièges au profit de son frère ennemi le RND de Ahmed Ouyahia. Des épisodes qui ont eu des retombées néfastes sur la cohésion du FLN et de sa perte d'influence sur la scène politique nationale. Cap donc sur la mobilisation de tous ce que le vieux parti compte de cadres et militants. Hier, le secrétaire général de l'Instance exécutive s'est réuni en comité restreint avec le président de l'APN et néanmoins militant du FLN «pour prendre des mesures pour le renouvellement partiel des membres du sénat et le congrès ». Aujourd'hui, il sera à Bordj Bou Arreridj pour présider une conférence régionale qui regroupera les cadres et militants de 5 wilaya de l'Est pour les mêmes motifs. Il sera question de mobilisation, d'unir les rangs pour ne pas se faire hara kiri, notamment pour les deux prochaines étapes cruciales et déterminantes pour l'avenir du parti. « Toute lutte entre les militants et les candidats portera préjudice au FLN», n'a-t-il pas manqué d'avertir encore dernièrement. Le 17 juin courant, ce sera au tour des femmes d'occuper la scène des activités partisanes. Ce sera l'occasion pour Abdelaziz Belkhadem d'installer la commission chargée de réfléchir et de donner des avis sur la mise en œuvre de la nouvelle disposition constitutionnelle relative à l'élargissement de la représentativité des femmes au sein des assemblées élues. Le lendemain est prévue la grande messe du FLN, l'université d'été. Elle est dédiée cette année pour les jeunes, une opération de charme en direction de cette importante frange de la population. "Le FLN et les jeunes", telle est la devise retenue pour ce regroupement, selon Saïd Bouhadja, chargé de la communication au sein du FLN qui affirme que «les solutions des concepts sorties des ateliers seraient discutées » par les participants de haut niveau. Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, en homme averti, balise le terrain pour les prochaines échéances auxquelles sera confronté le vieux parti. L'heure de la mobilisation des troupes a sonné pour le patron du FLN qui ne veut pas prêter flanc à ses détracteurs et préparer sereinement le renouvèlement partiel du Sénat et le congrès qui aura lieu probablement au cours du premier trimestre 2010. «Le FLN a gardé intactes ses capacités de mobilisation», a-t-il affirmé récemment lors de son discours d'ouverture des travaux de la session ordinaire de l'Instance exécutive du parti, prenant bien soin de souligner «sa crainte de bousculade des militants pour se positionner». Et c'est pour prémunir le vieux parti de «cette bousculade», que le SG multiplie les réunions et rencontres des cadres et des militants pour préparer les conditions idoines pour les élections de la chambre haute du Parlement et la tenue des assises nationales de la formations politique. Le souvenir des kasmas et mouhafadath qui n'ont pas encore, jusqu'ici, réussi à finaliser leur restructuration donne davantage de soucis au premier responsable du FLN. Cette restructuration est l'otage de militants qui n'ont pas encore aplani leurs différents nés du clivage redresseurs/légalistes que le 8eme congrès rassembleur ou unificateur n'est pas arrivé à mettre en sourdine. Ce conflit qui a valu beaucoup d'efforts pour les dirigeants responsables de premier plan est toujours sur la place publique. Le SG du FLN garde en mémoire, également, le souvenir, en raison de cette «bousculade», des tristes épisodes vécus par le parti lors des élections communale et législative. Cette «bousculade», s'est répétée également lors du renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation, qui lui a valu de perdre plusieurs sièges au profit de son frère ennemi le RND de Ahmed Ouyahia. Des épisodes qui ont eu des retombées néfastes sur la cohésion du FLN et de sa perte d'influence sur la scène politique nationale. Cap donc sur la mobilisation de tous ce que le vieux parti compte de cadres et militants. Hier, le secrétaire général de l'Instance exécutive s'est réuni en comité restreint avec le président de l'APN et néanmoins militant du FLN «pour prendre des mesures pour le renouvellement partiel des membres du sénat et le congrès ». Aujourd'hui, il sera à Bordj Bou Arreridj pour présider une conférence régionale qui regroupera les cadres et militants de 5 wilaya de l'Est pour les mêmes motifs. Il sera question de mobilisation, d'unir les rangs pour ne pas se faire hara kiri, notamment pour les deux prochaines étapes cruciales et déterminantes pour l'avenir du parti. « Toute lutte entre les militants et les candidats portera préjudice au FLN», n'a-t-il pas manqué d'avertir encore dernièrement. Le 17 juin courant, ce sera au tour des femmes d'occuper la scène des activités partisanes. Ce sera l'occasion pour Abdelaziz Belkhadem d'installer la commission chargée de réfléchir et de donner des avis sur la mise en œuvre de la nouvelle disposition constitutionnelle relative à l'élargissement de la représentativité des femmes au sein des assemblées élues. Le lendemain est prévue la grande messe du FLN, l'université d'été. Elle est dédiée cette année pour les jeunes, une opération de charme en direction de cette importante frange de la population. "Le FLN et les jeunes", telle est la devise retenue pour ce regroupement, selon Saïd Bouhadja, chargé de la communication au sein du FLN qui affirme que «les solutions des concepts sorties des ateliers seraient discutées » par les participants de haut niveau.