La première réunion des commandants et directeurs de la gendarmerie ou de force équivalente des pays de l'initiative «5+5 défense» a pris fin, hier, à Alger après deux jours de travaux sanctionnés par une série de recommandations. Lesquelles recommandations portent principalement sur la consolidation de la coopération et des échanges d'expériences et d'informations entre les pays de l'initiative afin de développer des projets conjoints de lutte contre la criminalité liée aux TIC. Il a également été préconisé la mise en place d'un point de contact «gendarmerie ou forces équivalentes» des pays de l'initiative pour une meilleure coordination, la planification de programmes techniques de formation spécialisée à même de permettre la maîtrise des TIC ainsi que le renforcement de la coopération opérationnelle en matière de contrôle des frontières par la programmation d'exercices nationaux. Intervenant à la clôture de cette rencontre, le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Bousteila, a tenu à relever encore une fois la nécessité «d'entreprendre des actions pour lutter contre la criminalité liée aux Technologies de l'information et de la communication (TIC)». «Il est nécessaire d'entreprendre des actions à même de permettre de faire face à la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication qui ne reconnaît pas de frontières nationales", affirme-t-il. Des actions, poursuit-il, qui «s'appuieront sur la mise en place de règles juridiques, la formation de spécialistes et la coopération entre les différents services sur les plans interne et externe». Le général-major estime qu'il est attendu des pays de l'initiative d'accorder la priorité à la modernisation des institutions et de rehausser le niveau et les capacités du potentiel humain. La première réunion des commandants et directeurs de la gendarmerie ou de force équivalente des pays de l'initiative «5+5 défense» a pris fin, hier, à Alger après deux jours de travaux sanctionnés par une série de recommandations. Lesquelles recommandations portent principalement sur la consolidation de la coopération et des échanges d'expériences et d'informations entre les pays de l'initiative afin de développer des projets conjoints de lutte contre la criminalité liée aux TIC. Il a également été préconisé la mise en place d'un point de contact «gendarmerie ou forces équivalentes» des pays de l'initiative pour une meilleure coordination, la planification de programmes techniques de formation spécialisée à même de permettre la maîtrise des TIC ainsi que le renforcement de la coopération opérationnelle en matière de contrôle des frontières par la programmation d'exercices nationaux. Intervenant à la clôture de cette rencontre, le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Bousteila, a tenu à relever encore une fois la nécessité «d'entreprendre des actions pour lutter contre la criminalité liée aux Technologies de l'information et de la communication (TIC)». «Il est nécessaire d'entreprendre des actions à même de permettre de faire face à la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication qui ne reconnaît pas de frontières nationales", affirme-t-il. Des actions, poursuit-il, qui «s'appuieront sur la mise en place de règles juridiques, la formation de spécialistes et la coopération entre les différents services sur les plans interne et externe». Le général-major estime qu'il est attendu des pays de l'initiative d'accorder la priorité à la modernisation des institutions et de rehausser le niveau et les capacités du potentiel humain.