Les cours du pétrole brut ont brièvement franchi la barre des 70 dollars vendredi à New York, pour la première fois depuis octobre dernier, ont annoncé les agences de presse. Le baril de brut léger pour livraison en juillet a atteint 70,32 dollars sur le marché des matières premières de New York (Nymex), avant de redescendre à 69,70 dollars. A Londres, le baril de Brent s'échangeait à 69,35 dollars le baril. Malgré la récession et la demande moindre en pétrole, la hausse devrait se poursuivre, estiment certains experts. Mais, d'après le vice-premier ministre russe Igor Setchine, en charge de l'énergie, pour prévoir les évolutions sur le marché des matières premières, il fallait savoir comment progresseraient les économies de pays comme la Chine ou l'Inde. "Si les investissements (dans l'exploration et la production) ne se rétablissent pas, la prévision à 150 dollars le baril pourrait devenir réalité d'ici deux ou trois ans", a prévenu M. Setchine rappelant que cette prévision avait été émise par l'OPEP. Les cours du pétrole brut ont brièvement franchi la barre des 70 dollars vendredi à New York, pour la première fois depuis octobre dernier, ont annoncé les agences de presse. Le baril de brut léger pour livraison en juillet a atteint 70,32 dollars sur le marché des matières premières de New York (Nymex), avant de redescendre à 69,70 dollars. A Londres, le baril de Brent s'échangeait à 69,35 dollars le baril. Malgré la récession et la demande moindre en pétrole, la hausse devrait se poursuivre, estiment certains experts. Mais, d'après le vice-premier ministre russe Igor Setchine, en charge de l'énergie, pour prévoir les évolutions sur le marché des matières premières, il fallait savoir comment progresseraient les économies de pays comme la Chine ou l'Inde. "Si les investissements (dans l'exploration et la production) ne se rétablissent pas, la prévision à 150 dollars le baril pourrait devenir réalité d'ici deux ou trois ans", a prévenu M. Setchine rappelant que cette prévision avait été émise par l'OPEP.