L'enseignant chercheur hospitalo-universitaire obtient son statut particulier selon le décret exécutif, adopté le 3 mai 2008 par les ministères de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. C'est ce qui a été annoncé, le 24 mai dernier, dans le Journal officiel de la République algérienne. Les dispositions relatives au régime indemnitaire prévu par le décret exécutif 91-472 du 7 décembre 1991 sont abrogées. Ce corps percevra aussi, selon la même source au titre de l'exercice des activités de santé une rétribution mensuelle fixée à 55% du traitement du grade d'appartenance. Celle-ci sera soumise à condition et prise en compte pour le calcul de la pension de retraite. L'enseignant chercheur hospitalo-universitaire est chargé, à cet effet, d'assurer tous les soins liés à ses compétences, en particulier les soins optionnel et les soins de haut niveau. Il doit assurer, également, les prestations de santés liées à sa spécialité au sein des établissements et structures hospitalo-universitaire ainsi que de contribuer par la mise en œuvre des programmes d'action sanitaire et une meilleure efficience du système national de santé. Mais aussi de contribuer à la hiérarchisation des soins en soins essentiels, soins optionnels et soins de haut niveau. L'enseignant chercheur hospitalo-universitaire et le maître de conférence chercheur hospitalo-universitaire classe A, sont chargés de la conception, de l'élaboration ainsi que la mise en œuvre des programmes d'actions sanitaires. A rappeler que les hospitalo-universitaires ont observé plusieurs grèves cycliques illimitées durant de 3 à 5 jours successives en 2009. Les grévistes ont revendiqué, selon le secrétaire général de des professeurs et docents en sciences médicales, (SNPDSM), le professeur Nacer Djidjli, l'augmentation de la rétribution liée aux activités de santé des hospitalo-universitaires. Les enseignants chercheurs ont appelé l'Etat à réviser, particulièrement le point du régime indemnitaire, mais aussi le statut particulier. L'enseignant chercheur hospitalo-universitaire obtient son statut particulier selon le décret exécutif, adopté le 3 mai 2008 par les ministères de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. C'est ce qui a été annoncé, le 24 mai dernier, dans le Journal officiel de la République algérienne. Les dispositions relatives au régime indemnitaire prévu par le décret exécutif 91-472 du 7 décembre 1991 sont abrogées. Ce corps percevra aussi, selon la même source au titre de l'exercice des activités de santé une rétribution mensuelle fixée à 55% du traitement du grade d'appartenance. Celle-ci sera soumise à condition et prise en compte pour le calcul de la pension de retraite. L'enseignant chercheur hospitalo-universitaire est chargé, à cet effet, d'assurer tous les soins liés à ses compétences, en particulier les soins optionnel et les soins de haut niveau. Il doit assurer, également, les prestations de santés liées à sa spécialité au sein des établissements et structures hospitalo-universitaire ainsi que de contribuer par la mise en œuvre des programmes d'action sanitaire et une meilleure efficience du système national de santé. Mais aussi de contribuer à la hiérarchisation des soins en soins essentiels, soins optionnels et soins de haut niveau. L'enseignant chercheur hospitalo-universitaire et le maître de conférence chercheur hospitalo-universitaire classe A, sont chargés de la conception, de l'élaboration ainsi que la mise en œuvre des programmes d'actions sanitaires. A rappeler que les hospitalo-universitaires ont observé plusieurs grèves cycliques illimitées durant de 3 à 5 jours successives en 2009. Les grévistes ont revendiqué, selon le secrétaire général de des professeurs et docents en sciences médicales, (SNPDSM), le professeur Nacer Djidjli, l'augmentation de la rétribution liée aux activités de santé des hospitalo-universitaires. Les enseignants chercheurs ont appelé l'Etat à réviser, particulièrement le point du régime indemnitaire, mais aussi le statut particulier.