C'est devenu, et ce, en dépit des textes stricts de la loi, monnaie-courante que de voir certaines cliniques privées jeter, sans se soucier des conséquences catastrophiques sur l'environnement, leurs déchets hospitaliers dans les décharges publiques. Pas plus tard que mercredi dernier, de jeunes "chiffonniers", fouinant dans la décharge publique de Berka El Zergua, ont été tout retournés en découvrant parmi les immondices des morceaux... humains au milieu de divers détritus hospitaliers. Scandalisés ils ont aussitôt saisi les autorités locales de l'APC d'El Bouni. Ces jeunes ont découvert des doigts, des morceaux de chair humaine, des intestins... ces différents organes sont vraisemblablement le résultat d'interventions chirurgicales effectuées au sein de ces établissements privés. Pour la Direction de la santé de la wilaya, il est clair que ce genre de dérives irresponsable est séverement punissable par les textes de loi en vigueur. Toutes les infrastructuelles hospitalières, aussi bien privées que publiques, sont tenues de se conformer strictement et scrupuleusement aux dispositions de leurs cahiers de charges, qui les contraint à incinérer leurs déchets Donc les hôpitaux publics tout comme les cliniques privées, sont tenus d'avoir des incinérateurs en état de marche. Il faut sans doute rappeler, que l'ANPEP (Association nationale pour la protection de l'environnement) avait déjà condamné publiquement de pareils cas, lorsque voilà plus d'une année, des pêcheurs annabis avait ramené en même temps que le poisson dans leurs filets, des membres humains et des compresses sanguinolantes. La question qui s'impose est la suivante : les établissements de santé privés sont-ils tous équipés d'incinérateurs de déchets? C'est devenu, et ce, en dépit des textes stricts de la loi, monnaie-courante que de voir certaines cliniques privées jeter, sans se soucier des conséquences catastrophiques sur l'environnement, leurs déchets hospitaliers dans les décharges publiques. Pas plus tard que mercredi dernier, de jeunes "chiffonniers", fouinant dans la décharge publique de Berka El Zergua, ont été tout retournés en découvrant parmi les immondices des morceaux... humains au milieu de divers détritus hospitaliers. Scandalisés ils ont aussitôt saisi les autorités locales de l'APC d'El Bouni. Ces jeunes ont découvert des doigts, des morceaux de chair humaine, des intestins... ces différents organes sont vraisemblablement le résultat d'interventions chirurgicales effectuées au sein de ces établissements privés. Pour la Direction de la santé de la wilaya, il est clair que ce genre de dérives irresponsable est séverement punissable par les textes de loi en vigueur. Toutes les infrastructuelles hospitalières, aussi bien privées que publiques, sont tenues de se conformer strictement et scrupuleusement aux dispositions de leurs cahiers de charges, qui les contraint à incinérer leurs déchets Donc les hôpitaux publics tout comme les cliniques privées, sont tenus d'avoir des incinérateurs en état de marche. Il faut sans doute rappeler, que l'ANPEP (Association nationale pour la protection de l'environnement) avait déjà condamné publiquement de pareils cas, lorsque voilà plus d'une année, des pêcheurs annabis avait ramené en même temps que le poisson dans leurs filets, des membres humains et des compresses sanguinolantes. La question qui s'impose est la suivante : les établissements de santé privés sont-ils tous équipés d'incinérateurs de déchets?