Depuis l'ouverture du nouveau siège de la sûreté urbaine en 2003, les 14.000 habitants de la cité du 1er novembre à Berrouaghia ont renoué avec la tranquillité. Le marché hebdomadaire, fréquenté surtout par les femmes, était le lieu de prédilection de groupes spécialisés dans le vol, les agressions à l'arme blanche, délestant leurs victimes de leur argent, bijoux et notamment les téléphones portables. Depuis ces deux dernières années, des patrouilles pédestres effectuées nuit et jour, la présence visible et discrète d'agents de la BMPJ et la collaboration citoyenne ont largement contribué à sécuriser maisons et lieux publics. Pour les cinq premiers mois de l'année 2009, les services de sécurité du quartier « 1er novembre » ont procédé à l'arrestation de 75 individus (une moyenne de 15 arrestations/mois) pour divers délits, vol, drogue, CBV, agression à l'arme blanche jusqu'à l'ivresse manifeste et publique. Selon les témoignages des autochtones, «la délinquance a connu une nette régression par rapport aux années passées, et ce, grâce à l'efficacité du travail de proximité de la police». A signaler également les opérations qui s'inscrivent dans le cadre de la stratégie d'un plan sécuritaire national préventif, notamment le redéploiement des éléments de police dans différents lieux publics, en plus d'un quadrillage zonal « invisible » pour la prise en charge optimale de la sécurité des citoyens. Depuis l'ouverture du nouveau siège de la sûreté urbaine en 2003, les 14.000 habitants de la cité du 1er novembre à Berrouaghia ont renoué avec la tranquillité. Le marché hebdomadaire, fréquenté surtout par les femmes, était le lieu de prédilection de groupes spécialisés dans le vol, les agressions à l'arme blanche, délestant leurs victimes de leur argent, bijoux et notamment les téléphones portables. Depuis ces deux dernières années, des patrouilles pédestres effectuées nuit et jour, la présence visible et discrète d'agents de la BMPJ et la collaboration citoyenne ont largement contribué à sécuriser maisons et lieux publics. Pour les cinq premiers mois de l'année 2009, les services de sécurité du quartier « 1er novembre » ont procédé à l'arrestation de 75 individus (une moyenne de 15 arrestations/mois) pour divers délits, vol, drogue, CBV, agression à l'arme blanche jusqu'à l'ivresse manifeste et publique. Selon les témoignages des autochtones, «la délinquance a connu une nette régression par rapport aux années passées, et ce, grâce à l'efficacité du travail de proximité de la police». A signaler également les opérations qui s'inscrivent dans le cadre de la stratégie d'un plan sécuritaire national préventif, notamment le redéploiement des éléments de police dans différents lieux publics, en plus d'un quadrillage zonal « invisible » pour la prise en charge optimale de la sécurité des citoyens.