La rencontre qui a opposé les Fennecs aux Zambiens a passionné les Souk-Ahrassiens qui ont préparé les festivités tôt le matin comme s'ils étaient sûrs de la victoire. En effet la wilaya toute entière a vécu des moments dignes de juillet 62 (l'indépendance) et de juin 82 (la victoire sur l'Allemagne). Déjà deux jours avant le match toutes les villes ont été parées de l'emblème national, les jeunes ont pris les drapeaux des édifices publics pour manifester dans les rues jour et nuit, en criant : «one, two, three, …viva l'Algérie». Partout dans les quartiers, des disque-jockeys, entourés de dizaines de bambins qui dansaient et chantaient aux rythmes des chansons glorifiant notre équipe nationale. Au coup d'envoi de la rencontre, la cité s'est transformée en ville morte; tous les citoyens (hommes, femmes, grands, petits...) étaient rivés, devant le petit écran at home ou dans les cafés. Au coup de sifflet final, c'est l'euphorie totale : jeunes, femmes et enfants sont descendus dans la rue pour fêter la victoire tant attendue, avec des cris et des youyous, brandissant le drapeau cher aux Algériens, dans un concert de claxons de véhicules bondés qui sillonnaient les artères de la ville et les quartiers à toute vitesse. Bref, c'était comme une fête de l'indépendance. La rencontre qui a opposé les Fennecs aux Zambiens a passionné les Souk-Ahrassiens qui ont préparé les festivités tôt le matin comme s'ils étaient sûrs de la victoire. En effet la wilaya toute entière a vécu des moments dignes de juillet 62 (l'indépendance) et de juin 82 (la victoire sur l'Allemagne). Déjà deux jours avant le match toutes les villes ont été parées de l'emblème national, les jeunes ont pris les drapeaux des édifices publics pour manifester dans les rues jour et nuit, en criant : «one, two, three, …viva l'Algérie». Partout dans les quartiers, des disque-jockeys, entourés de dizaines de bambins qui dansaient et chantaient aux rythmes des chansons glorifiant notre équipe nationale. Au coup d'envoi de la rencontre, la cité s'est transformée en ville morte; tous les citoyens (hommes, femmes, grands, petits...) étaient rivés, devant le petit écran at home ou dans les cafés. Au coup de sifflet final, c'est l'euphorie totale : jeunes, femmes et enfants sont descendus dans la rue pour fêter la victoire tant attendue, avec des cris et des youyous, brandissant le drapeau cher aux Algériens, dans un concert de claxons de véhicules bondés qui sillonnaient les artères de la ville et les quartiers à toute vitesse. Bref, c'était comme une fête de l'indépendance.
