Le bureau de poste de la ville de Réghaïa, connaît au quotidien, une file ininterrompue de citoyens affluant vers ce service, afin d'y effectuer diverses opérations postales. L'opération la plus fréquente étant bien sûr le retrait en espèces (salaires, pensions, bourses…). Des chaînes interminables se constituent quotidiennement dès le matin devant le guichet de retrait à vue. Les fins de mois, les usagers qui n'arrivent pas à trouver une place à l'intérieur du bureau sont contraints d'attendre leur tour sur les trottoirs. Les citoyens qualifient cette situation d'"insupportable" "il faut trouver une solution à notre calvaire. On ne peut plus supporter de rester ainsi debouts des heures durant dans ces chaînes interminables. La misérable pension que je perçoit ne mérite vraiment pas toute ces souffrances", se plaint un vieux retraité s'appuyant sur une canne pour empêcher ses vieilles jambes de fléchir sous lui. Le distributeur automatique de billets installé à l'entrée dudit bureau connaît lui aussi le même sort, il est pris quotidiennement d'assaut par des dizaines de citoyens. Les chaînes persistent devant ce distributeur même après la fermeture du bureau de poste (quand le DAB est opérationnel bien sûr). Les écrivains publics installés sur le trottoir devant l'entrée de ce bureau de poste, rendent les choses encore plus compliquées sur les lieux. Leur présence ne fait qu'aggraver l'engorgement devant cet unique bureau de poste.Avec plus de 72.790 habitants (recensement de 2002), et un statut de principale ville à l'echelle de la localité de l'est de la capitale. Cette antenne de la poste reçoit des centaines d'usagers qui y viennent de l'ensemble des villages limitrophes pour y traiter diverses opérations postales. De ce fait un deuxième bureau de poste semble plus que nécessaire, voire s'impose. Hamid Bessalah ministre du secteur a déclaré lors d'un point de presse que la capitale nécessiterait environ 100 nouveaux bureaux de postes pour pouvoir faire face à la demande des citoyens. Le bureau de poste de la ville de Réghaïa, connaît au quotidien, une file ininterrompue de citoyens affluant vers ce service, afin d'y effectuer diverses opérations postales. L'opération la plus fréquente étant bien sûr le retrait en espèces (salaires, pensions, bourses…). Des chaînes interminables se constituent quotidiennement dès le matin devant le guichet de retrait à vue. Les fins de mois, les usagers qui n'arrivent pas à trouver une place à l'intérieur du bureau sont contraints d'attendre leur tour sur les trottoirs. Les citoyens qualifient cette situation d'"insupportable" "il faut trouver une solution à notre calvaire. On ne peut plus supporter de rester ainsi debouts des heures durant dans ces chaînes interminables. La misérable pension que je perçoit ne mérite vraiment pas toute ces souffrances", se plaint un vieux retraité s'appuyant sur une canne pour empêcher ses vieilles jambes de fléchir sous lui. Le distributeur automatique de billets installé à l'entrée dudit bureau connaît lui aussi le même sort, il est pris quotidiennement d'assaut par des dizaines de citoyens. Les chaînes persistent devant ce distributeur même après la fermeture du bureau de poste (quand le DAB est opérationnel bien sûr). Les écrivains publics installés sur le trottoir devant l'entrée de ce bureau de poste, rendent les choses encore plus compliquées sur les lieux. Leur présence ne fait qu'aggraver l'engorgement devant cet unique bureau de poste.Avec plus de 72.790 habitants (recensement de 2002), et un statut de principale ville à l'echelle de la localité de l'est de la capitale. Cette antenne de la poste reçoit des centaines d'usagers qui y viennent de l'ensemble des villages limitrophes pour y traiter diverses opérations postales. De ce fait un deuxième bureau de poste semble plus que nécessaire, voire s'impose. Hamid Bessalah ministre du secteur a déclaré lors d'un point de presse que la capitale nécessiterait environ 100 nouveaux bureaux de postes pour pouvoir faire face à la demande des citoyens.