Le 21 juin est une date, désormais, incontournable dans toutes les villes du monde. Aussi, cette année encore, nombre de métropoles ont résonné de sons de tout les styles et genres. Le 21 juin est une date, désormais, incontournable dans toutes les villes du monde. Aussi, cette année encore, nombre de métropoles ont résonné de sons de tout les styles et genres. Paris, San Francisco, Rivoli, Malaga, Melbourne et même Ahmedabad en Inde et Rangoun en Birmanie ne sont qu'une infime partie des villes qui ont eu le rythme dans leurs artères le soir du 21. Cette manifestation de renommée mondiale a germé dans la tête d'un musicien américain Joel Cohen en 1976. L'artiste travaillait à l'époque pour Radio France et proposait alors des "Saturnales de la musique" pour le soir du solstice d'été. En 1982, l'idée fut adoptée par Jack Lang, ministre français de la Culture de l'époque, et officialisée l'année suivante. Après seize ans d'existence, la fête de la musique s'est complètement internationalisée et les festivités sont menées tambour battant dans plus de 340 villes du monde de 110 pays. La principale vocation de cet événement est de promouvoir la musique dans son infinie diversité. Et pour ce faire, les autorités des villes dansantes se plient en quatre, ce soir là, pour qu'une ambiance festive imprègne tous les lieux. Cette année, Alger commence un peu à être de la partie, timidement, mais elle s'y met. Cette année, on a célébré la musique en boîte de nuit et au bord de la piscine Kiffan Club. En cette journée du 21, à la piscine la plus fréquentée d'Alger, la musique empiétait sur les farnientes. Beaucoup de monde attendait les Dj les plus en vue sur la place d'Alger, Starlight et MHD, mais aussi Nass, Ghost et Deep roover; celui-ci débarque accompagné d'un violoniste et d'un percussionniste pour dévoiler un concept proche du "Unlimited Show" de Dj Hakim B. Comme prévu, MHD fait bouillonner l'eau de la piscine dès qu'il est au platine avec ces titres désormais cultes tel qu' "In my live", son dernier opus et grand succès, sorti en collaboration avec "Djezma Not gonna stop". En soirée, les deux Djs se remettent au platine au Hilton Club pour l'opening de la soirée, fête de la musique organisée par la boîte Black & White. Dans la deuxième partie de la soirée, la scène est cédée à l'un des plus grands orfèvres mondiaux des platines, le Suédois Axwell. Le monstre est aussi producteur et dirigeant du label Axtone, mais il détient aussi l'une des plus volumineuses discographies avec autant de productions que de mixes. Cette année donc, Alger a commencé à se mettre au goût de la fête de la musique et ce, grâce à des initiatives de particuliers. Certes, nous sommes encore loin de la fiesta urbaine à Paris, mais il y a un début à tout. Paris, San Francisco, Rivoli, Malaga, Melbourne et même Ahmedabad en Inde et Rangoun en Birmanie ne sont qu'une infime partie des villes qui ont eu le rythme dans leurs artères le soir du 21. Cette manifestation de renommée mondiale a germé dans la tête d'un musicien américain Joel Cohen en 1976. L'artiste travaillait à l'époque pour Radio France et proposait alors des "Saturnales de la musique" pour le soir du solstice d'été. En 1982, l'idée fut adoptée par Jack Lang, ministre français de la Culture de l'époque, et officialisée l'année suivante. Après seize ans d'existence, la fête de la musique s'est complètement internationalisée et les festivités sont menées tambour battant dans plus de 340 villes du monde de 110 pays. La principale vocation de cet événement est de promouvoir la musique dans son infinie diversité. Et pour ce faire, les autorités des villes dansantes se plient en quatre, ce soir là, pour qu'une ambiance festive imprègne tous les lieux. Cette année, Alger commence un peu à être de la partie, timidement, mais elle s'y met. Cette année, on a célébré la musique en boîte de nuit et au bord de la piscine Kiffan Club. En cette journée du 21, à la piscine la plus fréquentée d'Alger, la musique empiétait sur les farnientes. Beaucoup de monde attendait les Dj les plus en vue sur la place d'Alger, Starlight et MHD, mais aussi Nass, Ghost et Deep roover; celui-ci débarque accompagné d'un violoniste et d'un percussionniste pour dévoiler un concept proche du "Unlimited Show" de Dj Hakim B. Comme prévu, MHD fait bouillonner l'eau de la piscine dès qu'il est au platine avec ces titres désormais cultes tel qu' "In my live", son dernier opus et grand succès, sorti en collaboration avec "Djezma Not gonna stop". En soirée, les deux Djs se remettent au platine au Hilton Club pour l'opening de la soirée, fête de la musique organisée par la boîte Black & White. Dans la deuxième partie de la soirée, la scène est cédée à l'un des plus grands orfèvres mondiaux des platines, le Suédois Axwell. Le monstre est aussi producteur et dirigeant du label Axtone, mais il détient aussi l'une des plus volumineuses discographies avec autant de productions que de mixes. Cette année donc, Alger a commencé à se mettre au goût de la fête de la musique et ce, grâce à des initiatives de particuliers. Certes, nous sommes encore loin de la fiesta urbaine à Paris, mais il y a un début à tout.