Le président de l'APN et le président du Conseil consultatif islamique iranien ont dénoncé la «bienveillance» des pays occidentaux à l'égard de la politique sioniste qui opprime continuellement les Palestiniens. Abdelaziz Ziari a, ainsi, mis à nu le «silence approbateur» des pays occidentaux alors que l'entité sioniste a clairement affiché son intention de conférer un caractère racial à l'Etat d'Israël. Le président de l'APN, qui prononçait l'allocution d'ouverture des travaux de la 21e réunion du comité exécutif de l'Union parlementaire des Etats membres de l'organisation de la conférence islamique (UPCI), a surtout mis en évidence la gravité de la situation qui prévaut dans la ville sainte d'El Qods. Il dira l'urgence, pour les pays musulmans, de tout mettre en œuvre en vue de «préserver l'identité arabo- islamique de cette ville sacrée pour des milliards de personnes». Car, pour Abdelaziz Ziari qui a lancé un véritable cri d'alarme «cette essence arabo-islamique risque d'être dénaturée et détruite par les visées sionistes». L'Etat d'Israël procède de manière insidieuse à la judaïsation de la ville sainte avec, comme priorité à cette politique, la destruction systématique de la mosquée d'El Aqsa, un lieu sacré pour les musulmans. Les différents gouvernements de Tel Aviv ont proclamé ouvertement que Jérusalem est la capitale de l'Etat d'Israël alors que les Palestiniens et le reste du monde arabo-musulman, soutenus par de nombreux pays, ne l'entendent pas de cette oreille. Pour Abdelaziz Ziari, qui ne fait que réitérer la politique pronée depuis toujours par l'Algérie, «nous sommes aujourd'hui en face d'une sorte de génocide culturel et civilisationnel et d'un crime contre le patrimoine de l'humanité». Et c'est pourquoi l'intervenant a considéré, à juste titre d'ailleurs, que «cette situation appelle à des actions et des réactions urgentes qui doivent être menées par chacun d'entre nous, tant dans le cadre de nos relations bilatérales, qu'au sein des organisations multilatérales telles que les Nations unies et l'Unesco». Lui succédant à la tribune de cette réunion, qui a eu lieu à la Résidence Djenane El Mithak, le président du Conseil consultatif iranien n'y est pas allé de main morte pour dénoncer les Etats-Unis, Israël et les pays occidentaux qui s'acharnent sur le monde musulman comme l'atteste si bien la situation de certains pays comme l'Irak, l'Afghanistan. Ali Larijani, qui a dénoncé la politique de l'Etat hébreu, a reproché aux pays occidentaux de ne faire que dans le discours tant que la situation du peuple palestinien, privé de tous ses droits et faisant face à une terrible répression, voire même à un génocide qui ne dit pas son nom, n'a pas vraiment changé, loin s'en faut. Pour preuve, dira-t-il, «ils n'ont pu mettre fin à la construction des colonies, ni à l'arrêt de la démolition de la mosquée d'El Aqsa, encore moins à mettre fin aux souffrances du peuple palestinien». Pour lui ce peuple a le droit de résister et le mouvement Hamas, que les Occidentaux qualifient d'organisation terroriste, est considéré comme «un mouvement de résistance». Il a de même plaidé en faveur de l'arrêt de l'intervention américaine en Irak et en Afghanistan. Il est à noter que cette rencontre d'Alger de l'UPCI, qui s'achèvera aujourd'hui, est considérée comme «une étape importante» dans la préparation de la 6e Conférence, prévue à Kampala (Ouganda) en 2010. Le président de l'APN et le président du Conseil consultatif islamique iranien ont dénoncé la «bienveillance» des pays occidentaux à l'égard de la politique sioniste qui opprime continuellement les Palestiniens. Abdelaziz Ziari a, ainsi, mis à nu le «silence approbateur» des pays occidentaux alors que l'entité sioniste a clairement affiché son intention de conférer un caractère racial à l'Etat d'Israël. Le président de l'APN, qui prononçait l'allocution d'ouverture des travaux de la 21e réunion du comité exécutif de l'Union parlementaire des Etats membres de l'organisation de la conférence islamique (UPCI), a surtout mis en évidence la gravité de la situation qui prévaut dans la ville sainte d'El Qods. Il dira l'urgence, pour les pays musulmans, de tout mettre en œuvre en vue de «préserver l'identité arabo- islamique de cette ville sacrée pour des milliards de personnes». Car, pour Abdelaziz Ziari qui a lancé un véritable cri d'alarme «cette essence arabo-islamique risque d'être dénaturée et détruite par les visées sionistes». L'Etat d'Israël procède de manière insidieuse à la judaïsation de la ville sainte avec, comme priorité à cette politique, la destruction systématique de la mosquée d'El Aqsa, un lieu sacré pour les musulmans. Les différents gouvernements de Tel Aviv ont proclamé ouvertement que Jérusalem est la capitale de l'Etat d'Israël alors que les Palestiniens et le reste du monde arabo-musulman, soutenus par de nombreux pays, ne l'entendent pas de cette oreille. Pour Abdelaziz Ziari, qui ne fait que réitérer la politique pronée depuis toujours par l'Algérie, «nous sommes aujourd'hui en face d'une sorte de génocide culturel et civilisationnel et d'un crime contre le patrimoine de l'humanité». Et c'est pourquoi l'intervenant a considéré, à juste titre d'ailleurs, que «cette situation appelle à des actions et des réactions urgentes qui doivent être menées par chacun d'entre nous, tant dans le cadre de nos relations bilatérales, qu'au sein des organisations multilatérales telles que les Nations unies et l'Unesco». Lui succédant à la tribune de cette réunion, qui a eu lieu à la Résidence Djenane El Mithak, le président du Conseil consultatif iranien n'y est pas allé de main morte pour dénoncer les Etats-Unis, Israël et les pays occidentaux qui s'acharnent sur le monde musulman comme l'atteste si bien la situation de certains pays comme l'Irak, l'Afghanistan. Ali Larijani, qui a dénoncé la politique de l'Etat hébreu, a reproché aux pays occidentaux de ne faire que dans le discours tant que la situation du peuple palestinien, privé de tous ses droits et faisant face à une terrible répression, voire même à un génocide qui ne dit pas son nom, n'a pas vraiment changé, loin s'en faut. Pour preuve, dira-t-il, «ils n'ont pu mettre fin à la construction des colonies, ni à l'arrêt de la démolition de la mosquée d'El Aqsa, encore moins à mettre fin aux souffrances du peuple palestinien». Pour lui ce peuple a le droit de résister et le mouvement Hamas, que les Occidentaux qualifient d'organisation terroriste, est considéré comme «un mouvement de résistance». Il a de même plaidé en faveur de l'arrêt de l'intervention américaine en Irak et en Afghanistan. Il est à noter que cette rencontre d'Alger de l'UPCI, qui s'achèvera aujourd'hui, est considérée comme «une étape importante» dans la préparation de la 6e Conférence, prévue à Kampala (Ouganda) en 2010.