Rares sont les hôtels et les restaurants qui offrent un service appréciable à une clientèle exigeante. Manque d'hygiène, des mets congelés et un chef lieu insalubre où les déchets non collectés empestent l'air par une odeur nauséabonde, sont autant de points noirs qui devraient être enrayés. Rares sont les hôtels et les restaurants qui offrent un service appréciable à une clientèle exigeante. Manque d'hygiène, des mets congelés et un chef lieu insalubre où les déchets non collectés empestent l'air par une odeur nauséabonde, sont autant de points noirs qui devraient être enrayés. La wilaya de Tizi Ouzou recèle d'importantes potentialités dans le domaine du tourisme. Avec une façade maritime qui s'étend sur 85 km, une majestueuse chaîne montagneuse, le parc national du Djurdjura, de superbes massifs forestiers et des sources naturelles enchanteresses, son artisanat traditionnel..., la région a de quoi charmer ses visiteurs et les retenir. Malheureusement, en dépit de tous ces atouts, Tizi Ouzou n'arrive plus à retrouver sa place de destination préférée par les touristes qu'elle avait jusqu'au années 70. L'absence du confort dont ont besoin les vacanciers qui recherchent la détente fuyant le stress quotidien, est parmi les principales raisons qui les ont détournés de Tizi Ouzou. En effet, rares sont les hôtels et les restaurants qui offrent un service appréciable à une clientèle exigeante. Manque d'hygiène, des mets congelés et un chef lieu insalubre où les déchets non collectés empestent l'air par une odeur nauséabonde, sont autant de points noirs qui doivent être enrayés. Les quelques hôtels et restaurants qui offrent de bons services sont pris d'assaut durant cette saison. Même les plages n'arrivent plus à drainer les foules comme avant. La crise de Kabylie qui a duré de 2001 à 2004 et l'aménagement des plages qui s'éternise, ont fait changer de destination aux estivants nationaux. Même les tiziouzéens préfèrent se rendre ailleurs et les plages de Boumerdès sont souvent fréquentées par les habitants de la partie sud-ouest de la wilaya. Cette situation ne manque pas d'avoir des répercussion négatives sur la région et les commerçants des villes côtières sont les premiers à les subir. Ceux de Tigzirt sont montés au créneau trois fois depuis le 25 mai dernier pour demander la révision à la baisse du régime fiscal de la localité car, selon eux, les affaires vont trés mal. Il est important de mettre de l'ordre dans le secteur, si on veut donner une place de choix au tourisme pour la relance de l'économie locale. La wilaya de Tizi Ouzou recèle d'importantes potentialités dans le domaine du tourisme. Avec une façade maritime qui s'étend sur 85 km, une majestueuse chaîne montagneuse, le parc national du Djurdjura, de superbes massifs forestiers et des sources naturelles enchanteresses, son artisanat traditionnel..., la région a de quoi charmer ses visiteurs et les retenir. Malheureusement, en dépit de tous ces atouts, Tizi Ouzou n'arrive plus à retrouver sa place de destination préférée par les touristes qu'elle avait jusqu'au années 70. L'absence du confort dont ont besoin les vacanciers qui recherchent la détente fuyant le stress quotidien, est parmi les principales raisons qui les ont détournés de Tizi Ouzou. En effet, rares sont les hôtels et les restaurants qui offrent un service appréciable à une clientèle exigeante. Manque d'hygiène, des mets congelés et un chef lieu insalubre où les déchets non collectés empestent l'air par une odeur nauséabonde, sont autant de points noirs qui doivent être enrayés. Les quelques hôtels et restaurants qui offrent de bons services sont pris d'assaut durant cette saison. Même les plages n'arrivent plus à drainer les foules comme avant. La crise de Kabylie qui a duré de 2001 à 2004 et l'aménagement des plages qui s'éternise, ont fait changer de destination aux estivants nationaux. Même les tiziouzéens préfèrent se rendre ailleurs et les plages de Boumerdès sont souvent fréquentées par les habitants de la partie sud-ouest de la wilaya. Cette situation ne manque pas d'avoir des répercussion négatives sur la région et les commerçants des villes côtières sont les premiers à les subir. Ceux de Tigzirt sont montés au créneau trois fois depuis le 25 mai dernier pour demander la révision à la baisse du régime fiscal de la localité car, selon eux, les affaires vont trés mal. Il est important de mettre de l'ordre dans le secteur, si on veut donner une place de choix au tourisme pour la relance de l'économie locale.