La finalité de cette rencontre sur les matériaux de construction vise notamment à régulariser le marché, car le seul marché non encore organisé est bien celui des matériaux de construction et des entreprises. La finalité de cette rencontre sur les matériaux de construction vise notamment à régulariser le marché, car le seul marché non encore organisé est bien celui des matériaux de construction et des entreprises. Au cours d'une conférence de presse organisée, hier, à son siège de Bab Ezzouar, le président de l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), Mouloud Kheloufi, a affirmé avoir décidé «d'organiser les assises nationales du BTPH et nous avons lancé un appel aux ministères de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'hydraulique, et des Transports. Il y avait beaucoup de contraintes et même l'environnement était tellement hostile que nous n'avons pas pu avoir tous les professionnels du secteur, que ce soit les administrations ou les entreprises ayant une certaine qualification». Cela fait deux années que cette rencontre était préparée et la date du 18 juin 2009 a été choisie, soit le sixième anniversaire de l'agrément de l'AGEA et «nous avons eu comme parrainage les ministères de l'Habitat et de la PME et de l'artisanat. C'est la première que les professionnels s'exprimaient dans un cadre officiel avec les autorités compétentes. Depuis 1962, il n' ya pas eu d'assises nationales sur le bâtiment et les travaux publics (BTP), un secteur qui a été délaissé par notre gouvernement» a-t-il ajouté. La journée était chargée pour l'AGEA et pour les adhérents, ainsi que pour les représentants des ministères présents dans les différents ateliers, tels que ceux de la mise à niveau, la fiscalité et la finance, et enfin les matériaux de construction. La finalité de cette rencontre sur les matériaux de construction vise notamment à régulariser le marché, car le seul marché non encore organisé est bien celui des matériaux de construction et des entreprises. «Il devient impérieux de le réguler et de l'ordonnancer», selon Kheloufi. Le document des recommandations et des résolutions a été transmis aux autorités concernées et au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Celui-ci est le seul à pouvoir apporter des rectificatifs sur le code des marchés publics. Une note d'information a également été transmise au Premier ministère et au ministère de l'Habitat. Il s'agit d'informer tous les ministères concernés par le code des marchés publics, tels que ceux du Commerce, des Transports, des Finances, des Travaux publics, de l'Hydraulique et de l'Habitat. Mais le plus important est le ministère de la PME/PMI en raison du programme de mise à niveau. «Nous avons fourni à tout le monde une copie de ces résolutions sachant qu'il y avait toutes les organisations patronales et plus de 380 participants» a-t-il indiqué en soulignant au passage que «le problème le plus récurrent demeure celui relatif au ciment». Pour lui, «les 13 millions de tonnes de ciment produits par les entreprises publiques par an sont largement insuffisantes pour développer nos projets et réaliser tous les programmes de l'Algérie en matière d'urbanisme». D'autant plus qu'il «faut arrêter cette spéculation contraignante pour les entreprises, sachant que les entreprises privées ne produisent que 7 millions de tonnes, alors que les besoins nationaux sont estimés à 23 millions de tonnes». Concernant les agrégats, M. khaloufi estime qu'il «faut donner des cartes pour les entreprises possédant des carrières sachant que ce n'est pas n'importe quelle entreprise qui peut assumer une telle tâche». Pour ce qui est de la recherche, il affirme qu'elle «est très importante et stratégique pour nos entreprises qui sont toutes convaincues de sa nécessité même si notre secteur subit les problèmes de l'informel». «Sur 10.500 entreprises enregistrées au registre du commerce, 3.500 possèdent la qualification», selon le président de l'AGEA. L'Etat doit inciter les universités à travailler et collaborer avec les associations professionnelles pour aider les entreprises en axant les efforts aussi bien sur la formation que sur les formateurs. Les délais de réalisation sont également l'un des grands problèmes de notre secteur. Pour n'importe quel bon de commande que ce soit d'un million DA ou de 10 milliards de DA, les entreprises ont un délai d'une année, soutient Kheloufi. L'AGEA attend la promulgation des lois sur les coûts et les lieux bâtis pour voir clairement le secteur de l'architecture et de l'urbanisme précisant que «nous ne faisons pas de la charité pour nos entreprises, qui sont privées, le code des marchés publics doit donc être non contraignant. Nous souhaitons également travailler en partenariat avec les entreprises publiques, car il s'agit de l'avenir de nos entreprises». Le rapport des assises du BTPH fait notamment appel à l'article portant le dépassement du montant du contrat à moins 20 % qui est très mal interprété, d'où «les conséquences inhérentes aux déséquilibres financiers du projet et le ralentissement des travaux». Au cours d'une conférence de presse organisée, hier, à son siège de Bab Ezzouar, le président de l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), Mouloud Kheloufi, a affirmé avoir décidé «d'organiser les assises nationales du BTPH et nous avons lancé un appel aux ministères de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'hydraulique, et des Transports. Il y avait beaucoup de contraintes et même l'environnement était tellement hostile que nous n'avons pas pu avoir tous les professionnels du secteur, que ce soit les administrations ou les entreprises ayant une certaine qualification». Cela fait deux années que cette rencontre était préparée et la date du 18 juin 2009 a été choisie, soit le sixième anniversaire de l'agrément de l'AGEA et «nous avons eu comme parrainage les ministères de l'Habitat et de la PME et de l'artisanat. C'est la première que les professionnels s'exprimaient dans un cadre officiel avec les autorités compétentes. Depuis 1962, il n' ya pas eu d'assises nationales sur le bâtiment et les travaux publics (BTP), un secteur qui a été délaissé par notre gouvernement» a-t-il ajouté. La journée était chargée pour l'AGEA et pour les adhérents, ainsi que pour les représentants des ministères présents dans les différents ateliers, tels que ceux de la mise à niveau, la fiscalité et la finance, et enfin les matériaux de construction. La finalité de cette rencontre sur les matériaux de construction vise notamment à régulariser le marché, car le seul marché non encore organisé est bien celui des matériaux de construction et des entreprises. «Il devient impérieux de le réguler et de l'ordonnancer», selon Kheloufi. Le document des recommandations et des résolutions a été transmis aux autorités concernées et au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Celui-ci est le seul à pouvoir apporter des rectificatifs sur le code des marchés publics. Une note d'information a également été transmise au Premier ministère et au ministère de l'Habitat. Il s'agit d'informer tous les ministères concernés par le code des marchés publics, tels que ceux du Commerce, des Transports, des Finances, des Travaux publics, de l'Hydraulique et de l'Habitat. Mais le plus important est le ministère de la PME/PMI en raison du programme de mise à niveau. «Nous avons fourni à tout le monde une copie de ces résolutions sachant qu'il y avait toutes les organisations patronales et plus de 380 participants» a-t-il indiqué en soulignant au passage que «le problème le plus récurrent demeure celui relatif au ciment». Pour lui, «les 13 millions de tonnes de ciment produits par les entreprises publiques par an sont largement insuffisantes pour développer nos projets et réaliser tous les programmes de l'Algérie en matière d'urbanisme». D'autant plus qu'il «faut arrêter cette spéculation contraignante pour les entreprises, sachant que les entreprises privées ne produisent que 7 millions de tonnes, alors que les besoins nationaux sont estimés à 23 millions de tonnes». Concernant les agrégats, M. khaloufi estime qu'il «faut donner des cartes pour les entreprises possédant des carrières sachant que ce n'est pas n'importe quelle entreprise qui peut assumer une telle tâche». Pour ce qui est de la recherche, il affirme qu'elle «est très importante et stratégique pour nos entreprises qui sont toutes convaincues de sa nécessité même si notre secteur subit les problèmes de l'informel». «Sur 10.500 entreprises enregistrées au registre du commerce, 3.500 possèdent la qualification», selon le président de l'AGEA. L'Etat doit inciter les universités à travailler et collaborer avec les associations professionnelles pour aider les entreprises en axant les efforts aussi bien sur la formation que sur les formateurs. Les délais de réalisation sont également l'un des grands problèmes de notre secteur. Pour n'importe quel bon de commande que ce soit d'un million DA ou de 10 milliards de DA, les entreprises ont un délai d'une année, soutient Kheloufi. L'AGEA attend la promulgation des lois sur les coûts et les lieux bâtis pour voir clairement le secteur de l'architecture et de l'urbanisme précisant que «nous ne faisons pas de la charité pour nos entreprises, qui sont privées, le code des marchés publics doit donc être non contraignant. Nous souhaitons également travailler en partenariat avec les entreprises publiques, car il s'agit de l'avenir de nos entreprises». Le rapport des assises du BTPH fait notamment appel à l'article portant le dépassement du montant du contrat à moins 20 % qui est très mal interprété, d'où «les conséquences inhérentes aux déséquilibres financiers du projet et le ralentissement des travaux».