Le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP) se déclare déçu par la nouvelle grille des salaires. Et pour cause, le pharmacien et le chirurgien dentiste sont à la catégorie 13 et le médecin généraliste à la catégorie 16 et ont un plan de carrière sérieusement compromis en l'absence de mesures incitatives concrètes. Les praticiens spécialistes, quant à eux, et malgré un plan de carrière consacré par décret depuis 2005 vivent, pour leur majorité, une situation de blocage qui pérennise leur classification au grade "1" en l'absence des modalités pratiques permettant leur progression sur le plan professionnel. Et avant de reprendre le chemin de la contestation et revenir au cercle quasi vicieux des grèves, le SNPSP sollicite l'intervention du président de la République. A travers une lettre ouverte, le SNPSP, qui regroupe des médecins, chirurgiens dentistes et pharmaciens généralistes et spécialistes du secteur public, relève que "l'adoption puis la mise en application de la nouvelle grille des salaires a suscité l'ire de tous les praticiens". Ce du fait "de la frustration" ayant accompagné sa promulgation après tant d'années d'attente. Des années d'espoir de l'amélioration du quotidien de ces praticiens à travers le nouveau statut général de la Fonction publique et ses corollaires (Statut particulier et régime indemnitaire). Cependant, regrette le SNPSP, la nouvelle grille des salaires a été confectionnée malheureusement en l'absence d'un dialogue social ouvert à toutes les organisations syndicales représentatives. Devant cette situation, le SNPSP note dans sa lettre ouverte qu'il " s'en remet respectueusement à votre autorité (autorité du président de la République, ndlr) pour que soit mis fin à toutes les difficultés et lever l'opacité qui entoure, à ce jour, la gestion d'un dossier dont dépend la carrière de milliers de praticiens". Le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP) se déclare déçu par la nouvelle grille des salaires. Et pour cause, le pharmacien et le chirurgien dentiste sont à la catégorie 13 et le médecin généraliste à la catégorie 16 et ont un plan de carrière sérieusement compromis en l'absence de mesures incitatives concrètes. Les praticiens spécialistes, quant à eux, et malgré un plan de carrière consacré par décret depuis 2005 vivent, pour leur majorité, une situation de blocage qui pérennise leur classification au grade "1" en l'absence des modalités pratiques permettant leur progression sur le plan professionnel. Et avant de reprendre le chemin de la contestation et revenir au cercle quasi vicieux des grèves, le SNPSP sollicite l'intervention du président de la République. A travers une lettre ouverte, le SNPSP, qui regroupe des médecins, chirurgiens dentistes et pharmaciens généralistes et spécialistes du secteur public, relève que "l'adoption puis la mise en application de la nouvelle grille des salaires a suscité l'ire de tous les praticiens". Ce du fait "de la frustration" ayant accompagné sa promulgation après tant d'années d'attente. Des années d'espoir de l'amélioration du quotidien de ces praticiens à travers le nouveau statut général de la Fonction publique et ses corollaires (Statut particulier et régime indemnitaire). Cependant, regrette le SNPSP, la nouvelle grille des salaires a été confectionnée malheureusement en l'absence d'un dialogue social ouvert à toutes les organisations syndicales représentatives. Devant cette situation, le SNPSP note dans sa lettre ouverte qu'il " s'en remet respectueusement à votre autorité (autorité du président de la République, ndlr) pour que soit mis fin à toutes les difficultés et lever l'opacité qui entoure, à ce jour, la gestion d'un dossier dont dépend la carrière de milliers de praticiens".