"L'objectif essentiel de ce séminaire portant sur la maitrise des coûts et la productivité consiste à mettre en commun nos réflexions pour contribuer à introduire une nouvelle culture des coûts dans les entreprises" a affirmé hier Mahieddine Bouziane Khodja, docteur en sciences économiques, à l'occasion de l'ouverture du séminaire de trois jours se déroulant à l'Ecole supérieure algérienne des affaires (ESAA) des Pins Maritimes. Cette rencontre de concertation et de formation destinée aux cadres d'entreprise et aux managers permet aux participants de s'imprégner des récentes techniques en matière de rentabilisation des activités des entreprises en réduisant au maximum les dépenses et les frais de fonctionnement, tout en réalisant des performances sur les plans de la production et du rendement. Le conférencier estime que "l'important c'est d'apprendre aux managers à raisonner en termes de coûts", cela signifie que les entreprises sont appelées à travailler suivant un processus de production basé sur l'économie et l'étude scientifique des méthodes de gestion visant à équilibrer les dépenses et les recettes. Il s'agit de doter les managers de nouvelles technologies ayant fait leurs preuves dans les pays avancés et industrialisés et où les PME/ PME ont pour rôle primordial de réaliser des richesses, des dividendes et de générer des emplois de travail. Car, la finalité d'une entreprise est de réaliser des bénéfices afin d'assurer sa pérennité. En Algérie où de nombreuses entreprises ont besoin d'optimiser leurs profits, elles doivent impérativement construire une base de données prévisionnelle, car la planification scientifique et stratégique est un instrument efficace de détection des éventuelles imperfections et des difformités susceptibles de ruiner une entreprise. Un formateur en matière d'évaluation des coûts de productivité nous fait savoir que "dénicher les faux frais et les dépenses inutiles dans l'entreprise permettent surtout de préserver le bon fonctionnement tout en atteignant les objectifs fiés en termes de compétitivité et de concurrence. Cela dit, une entreprise s'adonnant au gâchis financier et aux pertes cycliques est vouée à l'échec". Le mode de raisonnement préconisé par le conférencier est fondé sur une méthode dynamique et un mode d'argumentation et de développement orienté vers une gestion mathématique et arithmétique qui doit ensuite être complétée et enrichie par une gestion managériale et entrepreneuriale précise et scientifique adaptée aux besoins et à la réalité de l'entreprise. C'est une question pertinente dans la mesure où les produits algériens souffrent d'un manque de productivité importante, selon un autre expert rencontré sur place. C'est ainsi qu'il met l'accent sur la cherté des produits algériens dont les coûts de production n'ont pas été maitrisés en terme de compétitivité dans le marché national ouvert de plus en plus aux produits étrangers qui coutent moins chers avec une qualité meilleure a-t-il ajouté. C'est pour quoi l'expert insiste sur la problématique de la maitrise des coûts dans les différents cycles de production. "L'objectif essentiel de ce séminaire portant sur la maitrise des coûts et la productivité consiste à mettre en commun nos réflexions pour contribuer à introduire une nouvelle culture des coûts dans les entreprises" a affirmé hier Mahieddine Bouziane Khodja, docteur en sciences économiques, à l'occasion de l'ouverture du séminaire de trois jours se déroulant à l'Ecole supérieure algérienne des affaires (ESAA) des Pins Maritimes. Cette rencontre de concertation et de formation destinée aux cadres d'entreprise et aux managers permet aux participants de s'imprégner des récentes techniques en matière de rentabilisation des activités des entreprises en réduisant au maximum les dépenses et les frais de fonctionnement, tout en réalisant des performances sur les plans de la production et du rendement. Le conférencier estime que "l'important c'est d'apprendre aux managers à raisonner en termes de coûts", cela signifie que les entreprises sont appelées à travailler suivant un processus de production basé sur l'économie et l'étude scientifique des méthodes de gestion visant à équilibrer les dépenses et les recettes. Il s'agit de doter les managers de nouvelles technologies ayant fait leurs preuves dans les pays avancés et industrialisés et où les PME/ PME ont pour rôle primordial de réaliser des richesses, des dividendes et de générer des emplois de travail. Car, la finalité d'une entreprise est de réaliser des bénéfices afin d'assurer sa pérennité. En Algérie où de nombreuses entreprises ont besoin d'optimiser leurs profits, elles doivent impérativement construire une base de données prévisionnelle, car la planification scientifique et stratégique est un instrument efficace de détection des éventuelles imperfections et des difformités susceptibles de ruiner une entreprise. Un formateur en matière d'évaluation des coûts de productivité nous fait savoir que "dénicher les faux frais et les dépenses inutiles dans l'entreprise permettent surtout de préserver le bon fonctionnement tout en atteignant les objectifs fiés en termes de compétitivité et de concurrence. Cela dit, une entreprise s'adonnant au gâchis financier et aux pertes cycliques est vouée à l'échec". Le mode de raisonnement préconisé par le conférencier est fondé sur une méthode dynamique et un mode d'argumentation et de développement orienté vers une gestion mathématique et arithmétique qui doit ensuite être complétée et enrichie par une gestion managériale et entrepreneuriale précise et scientifique adaptée aux besoins et à la réalité de l'entreprise. C'est une question pertinente dans la mesure où les produits algériens souffrent d'un manque de productivité importante, selon un autre expert rencontré sur place. C'est ainsi qu'il met l'accent sur la cherté des produits algériens dont les coûts de production n'ont pas été maitrisés en terme de compétitivité dans le marché national ouvert de plus en plus aux produits étrangers qui coutent moins chers avec une qualité meilleure a-t-il ajouté. C'est pour quoi l'expert insiste sur la problématique de la maitrise des coûts dans les différents cycles de production.
