L'éternel problème de l'imposante décharge publique, située à l'extrême est de la ville d'Aokas aux abords de la RN 9, se pose toujours avec acuité. Ses retombées sur l'avenir du tourisme dans la région demeure présentes. Ainsi donc, les élus locaux se trouvent placés entre le marteau et l'enclume, ceci en l'absence d'assiette pouvant servir à recevoir une décharge publique. L'actuelle décharge longeant la plage dite Achrit menace de contamination les lieux et leurs alentours. Des animaux sauvages, plusieurs espèces d'oiseaux et des chiens errants de la région d'Aokas affluent chaque jour vers ce site et fréquentent aussi la ville. Une situation qui menace sérieusement la faune, la flore et la santé publique, d'autant plus que le lieu reste fréquenté en dépit de cette menace par quelques baigneurs inconscients. Cet état d'alerte à poussé les responsables à procéder, cette année encore, à la fermeture de ladite plage dans le but de protéger la santé des estivants. À l'issue d'une réunion, tenue récemment dans le cadre des préparatifs de la saison estivale entre les services de la wilaya, le P/APC d'Aokas et celui de Tizi n'Ber, il a été décidé d'aménager la décharge de cette dernière commune en décharge intercommunale. L'APW a d'ailleurs consacré dans cet objectif un budget spécial pour son aménagement et extension. Cette décision a soulevé l'ire publique à Tizi n'Berber où les habitants s'opposent catégoriquement à cette idée par le biais de leurs associations. Les citoyens se disent déjà menacés par la présence de cette décharge implantée au village de Bourbia, à proximité de leurs habitations. En attendant des jours meilleurs, les services de l'APC d'Aokas continuent d'utiliser la décharge d'Achrit faute de mieux. L'éternel problème de l'imposante décharge publique, située à l'extrême est de la ville d'Aokas aux abords de la RN 9, se pose toujours avec acuité. Ses retombées sur l'avenir du tourisme dans la région demeure présentes. Ainsi donc, les élus locaux se trouvent placés entre le marteau et l'enclume, ceci en l'absence d'assiette pouvant servir à recevoir une décharge publique. L'actuelle décharge longeant la plage dite Achrit menace de contamination les lieux et leurs alentours. Des animaux sauvages, plusieurs espèces d'oiseaux et des chiens errants de la région d'Aokas affluent chaque jour vers ce site et fréquentent aussi la ville. Une situation qui menace sérieusement la faune, la flore et la santé publique, d'autant plus que le lieu reste fréquenté en dépit de cette menace par quelques baigneurs inconscients. Cet état d'alerte à poussé les responsables à procéder, cette année encore, à la fermeture de ladite plage dans le but de protéger la santé des estivants. À l'issue d'une réunion, tenue récemment dans le cadre des préparatifs de la saison estivale entre les services de la wilaya, le P/APC d'Aokas et celui de Tizi n'Ber, il a été décidé d'aménager la décharge de cette dernière commune en décharge intercommunale. L'APW a d'ailleurs consacré dans cet objectif un budget spécial pour son aménagement et extension. Cette décision a soulevé l'ire publique à Tizi n'Berber où les habitants s'opposent catégoriquement à cette idée par le biais de leurs associations. Les citoyens se disent déjà menacés par la présence de cette décharge implantée au village de Bourbia, à proximité de leurs habitations. En attendant des jours meilleurs, les services de l'APC d'Aokas continuent d'utiliser la décharge d'Achrit faute de mieux.