Ahmeur El Aïn est située à l'extrémité sud-est de la wilaya de Tipasa. Commune érigée sur la plaine de la Mitidja, elle jouit d'une superficie globale de 61 km. A vocation rurale elle se situe entre trois wilayas ( Tipasa, Blida et Ain Defla) elle fut dans le temps une jolie localité où il faisait bon vivre. D'ailleurs Les vieilles cartes postales de cette commune rendent malheureux les plus nostalgiques. Le phénomène de l'érection de bidonvilles à Ahmeur El Aïn prend de l'ampleur et ravage les 92% des terres agricoles et dont plus de 2/3 sont classés dans les catégories 1 et 2 et 80 % sont irrigués un vrai désastre pour les terres agricoles Les bidonvilles ne cessent de se développer et l'urbanisation anarchique cause ainsi d'énormes dégâts. Le taux d'occupation par logement (TOL) dépasse les 10 personnes. Le malaise social est sensible, toutes les familles vivent dans la promiscuité. Les résidants de ces lieux utilisent les tôles ondulées en zinc pour couvrir ou clôturer leurs demeures de fortune. Certains murs menacent même de s'écrouler. Selon les personnes rencontrées sur place, en été, les décharges sauvages et les flaques d'eaux stagnantes dégagent des odeurs nauséabondes qui affectent cruellement les populations. Les moustiques et les mouches envahissent les lieux menacant la santé des habitants qui continuent à y survivre en attendant des jours meilleurs. K. A. Ahmeur El Aïn est située à l'extrémité sud-est de la wilaya de Tipasa. Commune érigée sur la plaine de la Mitidja, elle jouit d'une superficie globale de 61 km. A vocation rurale elle se situe entre trois wilayas ( Tipasa, Blida et Ain Defla) elle fut dans le temps une jolie localité où il faisait bon vivre. D'ailleurs Les vieilles cartes postales de cette commune rendent malheureux les plus nostalgiques. Le phénomène de l'érection de bidonvilles à Ahmeur El Aïn prend de l'ampleur et ravage les 92% des terres agricoles et dont plus de 2/3 sont classés dans les catégories 1 et 2 et 80 % sont irrigués un vrai désastre pour les terres agricoles Les bidonvilles ne cessent de se développer et l'urbanisation anarchique cause ainsi d'énormes dégâts. Le taux d'occupation par logement (TOL) dépasse les 10 personnes. Le malaise social est sensible, toutes les familles vivent dans la promiscuité. Les résidants de ces lieux utilisent les tôles ondulées en zinc pour couvrir ou clôturer leurs demeures de fortune. Certains murs menacent même de s'écrouler. Selon les personnes rencontrées sur place, en été, les décharges sauvages et les flaques d'eaux stagnantes dégagent des odeurs nauséabondes qui affectent cruellement les populations. Les moustiques et les mouches envahissent les lieux menacant la santé des habitants qui continuent à y survivre en attendant des jours meilleurs. K. A.